Qui va à la chasse…
18 septembre 2020Samy, 30 ans, rentre de boîte de nuit et rencontre une étudiante assise sur le bas côté. Le feeling va très bien passer entre eux, même un peu trop…
Cher magazine interstron.ru, si je ne suis pas un de vos lecteurs des plus fidèles, j’adore tomber par hasard sur votre magazine et j’adore ce que vous faites !
La preuve, dès qu’il m’est arrivé une histoire de sexe un peu cochonne, j’ai tout de suite pensé à vous la raconter. Vous allez me dire, les histoires cochonnes, ça me connaît ! Je suis un gros teuffeur. Je passe mon temps en discothèque à choper de la minette humide avec des minijupes ras la touffe. Mais honnêtement, qui ne fait pas ça à 30 ans ? Là, où j’ai fait une très belle prise, c’était en rentrant de boîte de nuit.
Évidemment, je préfère vous le dire tout de suite, je n’avais pas bu une goutte d’alcool. Avec mes potes, on alterne le conducteur sobre, et cette nuit-là, c’était tombé sur moi. Je les ai donc tous déposés chez eux vers une heure du matin, nous étions rentrés tôt car nous avions fait la fête en semaine et qu’il n’y avait pas grand-chose à se mettre sous la dent.
Et sur le chemin du retour, j’ai vu une jeune étudiante qui avait l’air un peu perdue sur le bas-côté. Je lui ai demandé gentiment si je pouvais la raccompagner chez elle, je me doutais qu’elle voulait rentrer à la cité universitaire du centre-ville, et je ne trouvais pas très « safe » qu’elle se balade sur le bord de la route à cette heure tardive. Qui n’aurait pas réagi comme moi ?
Je peux vous assurer, cher lecteur, que je n’avais pas vraiment l’intention de me « la faire », j’étais crevé et je n’avais pas vraiment vu à quoi elle ressemblait de dos avec son gros anorak et son sac à dos usé. Je n’étais même pas sûr qu’il s’agisse d’une fille quand je me suis arrêté sur le bas-côté. Elle est montée dans ma caisse non sans m’avoir tout de même examiné avec attention. Je ne sais pas, je pense que je devais tout de même inspirer un peu la confiance, et elle est montée.
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Nous avons discuté dans la voiture, et très vite, le feeling est passé ! C’est marrant parce qu’en boîte de nuit, il est difficile que le feeling passe. Avec la musique, l’obscurité, les beuglements des potes, la transpiration, il n’y a que les corps qui peuvent se rencontrer. Là, il y avait avant tout l’esprit. Ça a tellement bien matché entre nous que c’est elle qui m’a demandé si on pouvait terminer la soirée chez moi. Bien sûr, je n’allais pas refuser une si belle opportunité !
Je l’ai ramené à la maison, et je lui ai offert un verre. Je n’avais pas envie d’aller trop vite avec elle, comme nous ne nous étions pas connus en discothèque, je ne savais pas vraiment comment interagir avec elle. Ce qu’elle voulait réellement. Heureusement, c’est elle qui a pris les devants ! Elle m’a collé contre le mur de mon salon alors que j’avais les deux verres en main et m’a roulé une grosse pelle, alors que mes mains étaient encore prises ! Impossible de me débattre…
Je me suis donc débarrassé de ce qui m’encombrait et je l’ai tout de suite emmenée dans ma chambre sans autre forme de procès. Et là, on a baisé comme des bêtes. Je veux dire, d’habitude j’ai l’impression que c’est moi qui fait l’amour aux femmes que je rencontre, là, tout était complètement emmêlé. Elle s’empalait comme une dingue sur ma queue et me la suçait comme une folle. Moi je lui touchais les nichons avec fièvre et énergie ! Ils étaient vraiment magnifiques.
À un moment, elle a sorti un sextoy de son sac et s’est masturbée avec, et je me suis vraiment demandé si elle faisait ça avec tout le monde ! Peut-être était-ce une étudiante avec une grosse libido qui attendait qu’un gentil automobiliste s’arrête pour la secourir, comme moi ? On est parfois la proie de ce que l’on croyait chasser…