Le train-train ne sifflera plus trois fois !

Nanou Redacteur 9 février 2022

Aline est coincé avec un homme qui ne la satisfait pas. Lorsqu’elle se tourne vers un collègue celui-ci lui fait découvrir plus d’une nouvelle pratique !

Moi, c’est Aline, trente-deux ans et jusque-là une vie d’une platitude navrante ! Un mari gentil, mais d’une insipidité qui touche au néant, pas plus d’un « rapport » hebdomadaire… Le samedi après-midi avec, et ce n’est pas optionnel chez lui, une douche avant et une après. Mis bout-à-bout, ça ne dépasse jamais des quarante minutes ! Je simule depuis des lustres. J’ai bien acheté un ou deux jouets…, et je me souviens encore de la scène qui a suivi ! Me traitant de tous les noms et me rabaissant plus bas que terre.

Un lundi matin, je suis arrivée tôt dans mon agence. Je suis directement allée dans le bureau de Germain qui est ingénieur commercial et je lui ai offert le baiser qu’il attendait depuis trois ans. Voici mon histoire de sexe !

Un ingénieur coquin

Il ne m’a même pas demandé ce qui lui valait ce soudain élan de sensualité. Il a refermé la porte à clef, a balayé tous les dossiers qui encombraient sa table de travail, m’a allongée dessus et s’est débraguetté tandis que je me tortillais pour remontrer ma jupe serrée. Il a été sidéré lorsqu’il s’est aperçu que je ne portais pas de culotte.

Je lui ai tendu un préservatif, signature, s’il en était encore besoin, de la nature préméditée de mon acte. Il a arraché la capote de son sachet et l’a enfilé puis ça a été mon tour. Il y est allé doucement, je dois renvoyer l’image d’une poupée de porcelaine ce n’est pas possible ! Aussi je l’ai harangué. « Fais de moi ce que tu veux, ta déesse, ta petite catin, ta belle salope, mais baise-moi ! Baise-moi fort ! »

Je n’ai pas eu besoin de me répéter ! Nous en avons cassé les tréteaux qui soutenaient le plan de travail ! Nous avons autant ri que joui. Devant le peu de confort, il m’a “finie” en me léchant. Enfin un homme qui avait une vraie passion pour ma chatte et aucun dégoût à y enfoncer la langue. J’étais pourtant mouillée d’un désir fou par plus d’une heure trente de RER et d’impatience.

Je l’ai sucé là, à genoux sur la moquette rêche, et pour la première fois de ma vie, j’ai goûté à du sperme. Loin de me répugner, j’ai adoré ça ! Cette sensation lorsque le liquide séminal jaillit sur votre langue et inonde votre palais. La surprise de la chaleur du foutre, de sa saveur. Il était légèrement salé, j’ai tout avalé.

Un amant récurrent

Dès le week-end suivant, j’ai prétexté une soirée entre copines et j’ai laissé mon époux seul avec son foot, ses plats micro-ondables et ses douches bijournalières.

J’ai retrouvé Germain chez lui. Dire que je m’étais convaincue que tout ce qui n’était pas “en missionnaire” était sale, quelle idiote. Je me suis sentie comme sortie d’une secte !

Mon amant s’est révélé aussi imaginatif que cochon. Il m’a déshabillée à peine entrée et m’a conduite dans sa chambre. Il avait repéré à quel point je n’étais pas habituée au cunnilingus. Je ne sais combien de temps il m’a léchée, combien d’orgasmes j’ai eu, mais je n’en pouvais plus de jouir sous sa langue experte.

La pièce était emplie de mes senteurs intimes, j’en étais rouge de honte, mais Germain, loin de s’en formaliser, m’a montré à quel point il bandait. J’ai voulu le sucer, mais il a insisté pour me faire couler un bain, je n’ai même pas bronché lorsqu’il a commencé à me prendre en photo. Sous son regard, je me savais belle et désirable.

Il a sorti un nécessaire de rasage et m’a garni le mont de Vénus de mousse épaisse en mentholée puis a joué délicatement avec la lame. Il a donné un petit miroir et j’ai vu mon pubis et mes grandes lèvres toutes glabres. J’ai adoré ce que j’ai découvert. Après m’avoir séchée, il m’a offert du champagne et s’est de nouveau laissé aller entre mes cuisses. Cet homme était un vrai amoureux du calice féminin.

Séance photo érotique

Il m’a ensuite fait poser devant son objectif, son œillade n’avait rien de vicieux, au contraire je me sentais désirable pour la première fois de ma vie. Le week-end ne nous a pas vus nous rhabiller. Les fellations ont succédé les assauts de ce taureau. C’est drôle parce qu’il est un peu moins grand que moi, mais quelle énergie sexuelle ! Il a éjaculé partout sur mon corps, me faisant découvrir le footjob (la masturbation avec les pieds), me bandant les yeux, jouant avec des glaçons ou du thé chaud, recouvrant mes tétons de chantilly avant de sucer le tout avec gourmandise.

C’est même moi qui lui ai demandé de dépuceler mon petit trou. Je voulais lui offrir ce Graal sur lequel tant d’hommes fantasment. Il a été d’une douceur extrême. Léchant mon anus longtemps puis l’ouvrant en me doigtant. Un peu de lubrifiant et je me suis laissée aller. J’ai respiré à fond et, comme pour une piqûre effectuée par un infirmier doué, il est quasi entré dans mon anneau sans que je ne le sente. Aucune douleur, au contraire, une chaleur s’est répandue dans mon bas-ventre et je me suis offerte totalement. Timide au départ, Germain m’a enculée avec une ivresse absolue. Il m’a invitée à me caresser le bouton, j’ai dégagé mon clitoris et je l’ai massé en petits mouvements circulaires. J’ai joui en même temps qu’il se déversait dans mon cul.

Les copines me couvrent pour le premier week-end de novembre. Voilà, j’ai un amant !

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