Fellation dans la galerie d’art

La rédaction 23 janvier 2023

Je m’appelle Béa, j’ai 34 ans et j’ai une histoire porno à partager. Je suis une jeune femme obsédée par la pipe. C’est quelque chose qui me fait me sentir puissante. J’adore mettre un homme à mes pieds en le suçant jusqu’à lui faire perdre la raison. J’adore quand ils n’en peuvent plus et qu’ils me le disent, qu’ils vont craquer, qu’ils vont venir, qu’ils vont jouir. Donner ce plaisir m’en donne énormément à moi aussi et je m’éclate à tenter plein de techniques pour jouer avec une queue. J’aime tester plein de choses, voir sur quelle partie de sa bite un homme est le plus sensible, s’il aime se faire titiller les couilles ou la prostate. Je m’éclate bien avec leurs queues, je dois dire.

Une fellation rêvée

J’ai l’impression d’atteindre leur intimité la plus secrète en les suçant, de les percer à jour en les tétant. C’est pour cette raison que j’ai ce réflexe un peu particulier qui est que dès que je rencontre un mec, je m’imagine ce que ça donnerait de le sucer ! Vous imaginez le nombre de bites qui peuplent mes pensées lubriques… C’est donc l’histoire d’une fellation, mais pas avec n’importe qui.

Louis, 42 ans, est un artiste que j’ai rencontré lors d’une exposition de peinture dont je m’occupais. Je devais lui montrer le lieu d’exposition où nous projetions d’accrocher ses œuvres et il n’était dispo que le vendredi soir. C’est quelqu’un qui me plaît beaucoup et qui a un charme fou, dans le style artiste torturé mais captivant. Il fait notamment des peintures à base de photos en noir et blanc qu’il prend tout avec un petit appareil photo. Il l’avait avec lui ce soir-là, dans la galerie. Je lui ai montré l’espace et il a pris quelques photos.

Notre discussion était vive et il n’avait pas l’air de vouloir partir. J’ai fini par lui proposer de sortir deux chaises et une bouteille de blanc de la réserve au fond de la galerie. Il a accepté gaiement et nous avons partagé la bouteille en parlant de son art. Dans ma tête, des images de moi en train de le sucer tournaient en boucle et commençaient à m’échauffer sérieusement. Vous devez vous dire que je suis une sacrée garce, à parler à un type droit dans les yeux tout en m’imaginant plonger la tête dans son entrejambe. Et vous avez raison ! Mais je vous jure que vivre comme ça est beaucoup plus amusant que de s’interdire de fantasmer.

Bien sûr, les choses ont fini par déraper, exactement comme je le prédisais dans ma tête. J’ai fait tomber le bouchon du vin entre ses pieds. Je me suis retrouvée à quatre pattes pour le ramasser. J’avais direct adopté une position de petite vicieuse. J’ai relevé la tête vers lui en lui souriant, telle une chatte se dirigeant tranquillement vers la souris qu’elle s’apprête à avaler toute crue.

Une chatte docile

Il a dégainé son appareil photo en guise de contenance. “Tu es sublime, avec tes formes et tes taches de rousseur, on doit te le dire tout le temps.” “Ouais, mais je m’en lasse pas”, j’ai miaulé. Comme nous étions tous les deux assez fantasques, mon petit jeu n’était pas si incongru que ça. Je me suis avancée un peu plus vers ses jambes et j’ai posé mon visage sur ses cuisses comme un animal de compagnie. Ça lui a fait perdre ses moyens, il a senti mon désir et il s’est autorisé à exprimer le sien.

Je l’ai aidé à retirer son t-shirt pour découvrir son magnifique torse aux abdos gracieusement dessinés. J’ai posé mon visage contre son ventre avec une expression d’abandon. Le contact de sa peau suffisait à faire enfler mon envie de lui comme un ballon prêt à éclater. J’ai ouvert la bouche lascivement contre sa peau, consciente d’activer un imaginaire érotique. Je voulais être sa muse. J’ai retiré mon débardeur pour qu’il puisse admirer ma poitrine et, sur un accord tacite, j’ai fait glisser son caleçon le long de ses cuisses jusqu’à ses chevilles fines.

Sa bite était dure comme du bois. Je voulais le mettre à mes pieds en le suçant, même si paradoxalement, c’était moi qui me trouvais à ses pieds présentement. Sa chair durcie est entrée dans le boudoir velouté de ma bouche et je me suis appliquée à le stimuler de partout, de mille manières, cherchant avec mes lèvres et ma langue le mouvement qui allait lui arracher le soupir le plus révélateur. Il aimait visiblement me regarder, car son visage était penché sur moi. Il a levé son appareil pour faire une photo de l’action. J’ai regardé l’objectif d’un œil intense et provocateur tout en continuant à le prendre en bouche.

Sa bite était réactive et ne faiblissait pas en dureté, ce que j’adorais. Il s’était mis debout pour mieux entrer dans ma bouche et me prendre tout en me photographiant. Il avait une espèce de brutalité douce, à m’attraper par les cheveux fermement tout en me caressant le visage. Ce partage était puissant, une vraie connexion par sa queue qui était notre point de contact, ma porte d’entrée sur son âme.

Le sol de la galerie était inconfortable, alors je l’ai emmené chez moi pour qu’il me prenne en photo sur mon lit dans mes dessous léopard, pour lui laisser un souvenir impérissable de moi. J’étais contente de rejoindre son panthéon de silhouettes en noir et blanc qui inspireraient peut-être son travail en peinture. À genoux dos à lui, j’ai tendu mon cul en arrière et il m’a prise avec sa main délicatement, un doigt dans le cul et un autre dans le vagin. Il me tenait prisonnière avec ce geste si plaisant. Je remuais les fesses pour le sentir dans mes deux trous. Nous avons fini sur la couette, à nous prendre et à nous vautrer dans le foutre tout en nous photographiant. Le résultat est très chaud et j’espère que le souvenir de mon corps figurera dans l’exposition !

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