La bourgeoise à quatre pattes !

La rédaction 9 juillet 2024

Thierry, 37 ans, Melun. Pendant une journée de travail, Thierry se rend chez une bourgeoise qui lui réserve une surprise cochonne.

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Le travail à domicile comporte de nombreuses surprises, parfois délicieusement cochonnes ! Je suis auto-entrepreneur, je nettoie les canapés, les tapis, les tentures chez une clientèle plutôt bourgeoise. Je tombe quelquefois sur des maisons dignes des émissions de téléréalité où un commando vient vider et désinfecter toutes les pièces de fond en comble. À de plus rares occasions, sur une femme seule qui me reçoit et m’offre un peu plus qu’un café en guise de pourboire. Cassandra fait partie de cette seconde catégorie. Lorsqu’elle m’a ouvert la porte, elle ne portait déjà pas grand-chose sur elle et au fur et à mesure que j’assainissais et aspirais une très belle et très épaisse moquette, j’ai bien vu qu’elle allait finir dans le plus simple appareil. Voici mon histoire de sexe.

Une approche à quatre pattes

Du sol moelleux et rose, se dégageait une bonne odeur de propre, c’est là que ma cliente s’est approchée de moi à quatre pattes, sans dire un mot, elle a tâté mon entrejambe, comme on apprécie la maturité d’un fruit sur le marché, puis elle m’a débraguetté et a sorti mon pieu ! Je bandais tel un forcené et je n’osais rien dire de peur de briser la magie du moment. Cassandra a attrapé mon sexe en bouche et s’est lancé dans une pipe de haute voltige. Fermant les paupières, elle s’enfonçait mon dard jusqu’au fond de la gorge, elle hoquetait, coinçait mon gland le plus loin possible puis recrachait ma hampe dans un bruit guttural en laissant s’échapper des tombereaux de salive. J’ai profité du spectacle et des sensations nouvelles qu’offrait une telle gorge profonde tout en la prenant en photo, ce qui a eu pour conséquence de la faire redoubler
d’énergie !

Soudain, ma queue a été recouverte, comme par magie, d’un préservatif dont je n’aurais su dire d’où mon amante avait bien pu le sortir. Ni une, ni deux, la belle s’est donnée à moi en se lovant à quatre pattes avec des ronronnements de chatte en chaleur. Et en parlant de chatte, celle de la propriétaire était des plus charnues, amples, roboratives, débordantes avec ses nymphes généreuses, son filet de mouille continu, surmonté par un clitoris de la taille d’une grosse perle et, ornant le tout, tel un diadème, une touffe de poil entretenue duquel émergeait un piercing à deux petites boules sombres ! Je me suis penché pour bouffer tout cet attirail, trou du cul compris, la belle semblait apprécier le traitement, feulant et griffant la moquette immaculée.

Double pénétration

Après lui avoir fourré deux doigts dans le cul et dans la moule, j’ai saisi ma pine et la lui ai enfoncée jusqu’à la garde dans le vagin. Elle en a eu le souffle coupé tant j’ai été brusque dans cette première saillie, mais très vite, elle m’a encouragé dans cette voie, me demandant de la traiter de tous les noms et de lui bourrer le bonbon comme un damné ! J’ai rarement mis autant de cœur à l’ouvrage, j’en transpirais tant je ramonais sa belle petite cheminée bien serrée, l’agonisant d’insultes plus fleuries les unes que les autres. Après cette levrette endiablée, j’ai retourné la sauvageonne pour la baiser en face à face, je voulais profiter de cette belle bourgeoise délurée et la voir jouir sous mes coups de pine déchaînés. Elle a triomphé deux fois, je l’ai pistonnée à mort, mes cuisses en étaient douloureuses, je me maintenais au-dessus d’elle comme quand on fait des pompes et mon pieu allait et venait à fond dans sa chatte devenue un véritable cloaque de mouille éclaboussante.

Son bourgeon a encore gonflé sous mes assauts et elle a eu encore deux orgasmes éblouissants. J’étais fier comme Artaban de donner autant de plaisir à une femme qui, visiblement, ne manquait pas d’expérience en matière de sexe. Je me suis même autorisé à repartir à l’attaque de son intimité avec ma langue. Cela m’a permis de faire une pause et j’adorais le parfum de son jus. J’avais également envie de téter son gros clito qui ne cessait de bander comme pour me dire « suce-moi de nouveau ». J’en ai profité pour remettre mes doigts dans tous ses orifices, elle est partie une énième fois et m’a demandé, cette fois-ci, d’ôter ma capote pour me pomper. Cela a été le final qu’elle attendait a priori autant que moi. Je l’ai photographiée encore, ma queue astiquée et pompée jusqu’à ce que je crache tout mon foutre dans sa bouche. En même temps je lui tripotais le bout des seins, eux aussi, ornés de piercings, assortis à celui qu’elle avait sur le pubis. Elle m’a souri tout en avalant ma semence jusqu’à la dernière goutte, elle m’a bien vidé les couilles !

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