Bien sodomisée

La rédaction

6 novembre 2020

Jos…, 60 ans, se trouve un amant de dernière minute pour ne pas passer le week-end seule. Elle va être servie avec une sodomie dont elle se souviendra.

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Je vous remercie encore pour la rubrique sur la sodomie et les confessions des lectrices qui m’ont permis de me dévergonder. Je me préparais pour un week-end pourri. Mon mari était parti avec sa maîtresse. Et mon amant, lui, me larguait parce que je lui avais reproché de m’avoir sodomisée trop brutalement.

Bref, j’ai jeté mon dévolu sur un quadra avec une barbe de trois jours et une queue de cheval. Pas mon genre d’homme, mais pour baiser je ne regarde pas la tête. J’ai été agréablement surprise par son expérience, bien qu’il soit vulgaire et vicieux. Maintenant je sais ce que c’est de me faire traiter comme une chienne. Il tenait des propos salaces pendant que je le suçais, mais sa grosse queue plantée au fond de ma chatte dans diverses positions m’a fait grimper aux rideaux.

Avec lui, je me suis vraiment sentie salope et je l’ai autorisé à me sodomiser. Il a pris le temps de me préparer l’anus avec sa langue, puis avec ses doigts lubrifiés.

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Cette fois-ci, je n’ai pas eu mal malgré son organe qui affichait une taille au-dessus de la moyenne. Sa queue était bien plus grosse que celle de mon ex-amant. Il a pris son temps pour que je m’habitue. C’est bon de sentir un gros machin qui vous écarte les fesses… Bon, le passage du gland a été un peu pénible, mais il a réussi à me la mettre profondément.

Il m’a baisée par le petit trou dans plusieurs positions. Celle que j’ai préférée c’est en levrette. Il m’a pilonné le cul en me branlant le clitoris. J’ai hurlé comme une petite chienne prise par un gros molosse.

Après une courte pause, je lui ai fait une pipe et je l’ai laissé jouir dans ma bouche. Dilemme : j’avale ou je crache ? Il m’a encouragée gentiment avec des mots salaces, alors j’ai avalé. Voilà un homme qui sait parler aux femmes, bon baiseur, bon enculeur.

Je ne sais pas si mon mari va rentrer de chez sa pétasse, mais en tout cas, j’ai trouvé chaussure à mon pied… Je devrais dire « bite à mon cul » pour faire un excès de vulgarité… Au point où j’en suis…

Merci encore pour toutes les confessions en espérant que la mienne sera publiée. J’ai hâte de voir la tête des mecs qui me reconnaitront, des mecs qui m’ont baisée et m’ont trouvée coincée de l’anus. Maintenant, je suis une grosse cochonne, une vieille salope, bonne par tous les trous. Grâce à interstron.ru.