Coup de théâtre
11 juin 2020Clément, 29 ans.
Bonjour à tous, moi c’est Clément. Je n’ai que 29 ans et pourtant, je m’y connais pas mal en matière de sexe et d’histoire de sexe ! J’ai rencontré il y a peu Martine qui n’a que 19 ans à un cours de théâtre dans lequel je me rends toutes les semaines. Je ne suis pas très doué au théâtre, je ne sais même pas réellement pourquoi je continue à m’y rendre avec autant d’assiduité. Peut-être que quelque part, j’avais simplement envie de faire de nouvelles rencontres, voire aussi de réussir enfin à m’affirmer. La plupart des gens me trouvent très timide et réservé, et j’ai souvent du mal à trouver une bonne blague ou une bonne répartie au bon moment. Je pensais que le théâtre allait m’aider à m’épanouir mais non, cela m’a juste prouvé que je n’aurais jamais le même charisme que les autres. Tant pis, je fais avec ça !
Pour en revenir à Martine, j’avais l’impression qu’elle était un peu comme moi. La première fois que je l’ai vue passer la porte dans son tee-shirt beaucoup trop grand, j’ai eu l’impression qu’elle venait elle aussi pour se trouver elle-même. Pour laisser exprimer chez elle quelque chose qu’elle taisait.
Alors nous avons parlé ; au départ avec beaucoup de réserve, puis nous avons commencé à s’apprivoiser l’un et l’autre. Elle habitait à 200 m, moi à l’autre bout de la ville. Un soir, elle m’a proposé de passer chez elle, boire un thé chaud. Elle a précisé qu’elle n’aimait pas l’alcool, et quelque part ça m’a rassuré. Moi non plus. Une fois arrivé dans son studio (qui était vraiment très bien rangé), l’ambiance était assez sage. Nous étions tous les deux un peu mal à l’aise de ce qu’il était en train de se jouer. Nous n’osions pas réellement parler de nous alors nous nous contentions d’échanger quelques banalités. Sur ses cours, sur le théâtre, sur mes jobs. Et elle a commencé à me parler de sexe, je ne sais trop pourquoi. Elle m’a révélé qu’elle pensait qu’avec le théâtre, elle aurait enfin pu libérer son corps ; et que la majorité de ses anciennes relations la trouvait trop frigide, qu’elle manquait de lâcher-prise. Je lui ai proposé d’être son initiateur ! Elle n’était pas canon, mais tout de même, elle avait de très beaux yeux bleus. Ceux-là même qui ont dit « oui » immédiatement à ma proposition coquine. Pour commencer, je l’ai d’abord mise à l’aise. Peut-être que ses précédentes conquêtes voulaient aller trop vite en besogne ? J’ai toujours pensé que la pénétration n’était absolument pas indispensable à une bonne relation sexuelle, alors j’ai commencé par lui faire un cunni.
Un très long cunni bien sensuel qui a duré pendant une vingtaine de minutes. Dès les premiers coups de langue, je la sentais très serrée, ses cuisses étaient pratiquement fermées et elle laissait aller les bras le long de son corps, tendus. Puis, petit à petit, j’ai cru percevoir quelques gémissements et son dos se cambrait de plus en plus. J’ai enfoncé un doigt dans sa petite fente, elle était bien humide ! Pour une fille qui se revendique comme « frigide » cela m’a fait assez bizarre. J’ai enfilé une capote et je l’ai pénétrée. « Ça va ? » lui ai-je murmuré à l’oreille. Elle ne m’a pas répondu, je sentais que ce moment était très spécial pour elle – qu’il oscillait entre de la découverte et ce que j’espérais être un peu de plaisir. Alors j’ai continué, continué. Jusqu’à mon orgasme. Nous nous sommes revus de nombreuses fois depuis et avons essayé différentes choses. À chaque fois, nous allons un peu plus loin et dernièrement, nous nous sommes même risqués à une sodomie.
Et vous voulez que je vous dise ? Je suis passé d’une fille « frigide » à une fille qui ne veut plus que je « la baise que dans le cul ». Et tout ça en 6 mois à peine.
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« J’ai pu, cette fois, me jeter langue la première sur ses mamelons roses tandis que ma main fourrageait dans sa toison courte. Son odeur enivrante me filait une gaule d’acier. Mon bassin bougeait tout seul, comme s’il avait une vie propre et indépendante de ma volonté. Je n’ai même pas eu le temps de me faire sucer, j’étais trop affolé ! J’ai enfilé une capote et je me suis collé derrière elle, debout. » Stephane, 27 ans.
« Antoine s’est jeté avec appétit sur mes nibards, rejoint quelques secondes après par Georges. Mes seins étaient une de mes plus belles fiertés. Gros, ronds, pleins, durs, je sais qu’ils sont depuis toujours une de mes cartes maîtresses pour plaire aux hommes et pour les attirer dans mes filets. Je sentais la main d’Antoine caresser avec curiosité ma petite culotte. Il était en train de repérer les fentes et les bosses, et évaluer mon taux d’humidité » Cindy, 30 ans.