Les miches de la boulangère

La rédaction 19 septembre 2020

Mohamed, 19 ans, veut réconforter la femme de son patron boulanger. Ils se retrouvent dans l’arrière boutique pour une séance de sexe torride.

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Je suis apprenti dans une boulangerie du 16e arrondissement de Paris. Je ne donne pas le nom pour ne pas avoir de problème. Mais la vérité, c’est que le patron traite mal sa femme, Sabine. Il l’insulte quand elle ne va pas assez vite. Il la rabaisse devant les clients et la laisse seule tous les dimanches. Elle n’a que le lundi pour se reposer, alors que Monsieur se prend deux jours en mode tranquille. Ça m’énerve trop, surtout que Sabine est gentille et jolie. Elle a 40 ans, elle est rousse avec un petit nez et une belle bouche. Elle a aussi un beau corps, des seins ronds et un cul ferme. Je dis ça parce que je l’ai touché. Je vais tout vous raconter.

Ce dimanche d’août, on avait la boutique complètement vide. Je suis sorti de l’arrière-salle et là, j’ai surpris Sabine qui pleurait devant sa caisse enregistreuse. Je lui ai demandé doucement ce qu’elle avait. Elle a fait comme s’il ne se passait rien en s’essuyant les yeux, mais j’ai vu dans son regard qu’elle était super triste. Je me suis approché d’elle et je ne sais pas pourquoi, mais je l’ai serrée contre moi. Elle s’est dégagée en disant : « Mohamed, que faites-vous ? » J’aurais pu lâcher l’affaire, mais j’ai senti qu’elle avait besoin de moi. J’ai fait :« Madame, le chef ne vous parle pas bien. Si c’était moi, je vous traiterais comme une reine ! » Elle m’a regardé droit dans les yeux et elle a tendu la main pour prendre la mienne. Une minute plus tard, on était en bas du magasin et je la basculais sur le plan de travail de son boulanger de mari.

De la farine volait partout. J’ai remonté la robe de la patronne jusqu’au-dessus de ses seins et je l’ai matée tout ce que j’ai pu. Elle portait un ensemble en dentelle rose très chic qui moulait ses formes. Elle a dégrafé elle-même le soutien-gorge et j’ai vu ses belles brioches « jumper » vers moi. Waouh… impossible de ne pas goûter ce bel étalage ! J’ai plongé la tête dedans. En même temps, j’ai attrapé l’élastique de sa culotte et je l’ai fait rouler jusqu’aux chevilles. En touchant le tissu, j’ai senti de la mouille… La bouche pleine de ses tétons, j’ai tâté sous elle. Un cul comme un beau morceau de pâte, que j’ai pétri comme si je moulais une miche. Sabine gémissait et j’ai pris de la confiance. Très lentement, j’ai commencé à lui titiller la raie. Et j’ai osé trouver son petit trou, que j’ai pénétré avec mon index.

La boulangère criait maintenant. Avec ma main libre, j’ai sorti ma queue de mon pantalon et je l’ai guidée entre ses cuisses. Je bandais plus que pour n’importe quelle meuf ! Il faut dire qu’en mettant ma queue entre ses cuisses, j’ai senti qu’elle avait le vagin chaud comme un fournil… Je n’ai pas tenu plus longtemps et je l’ai enfilée avec ma baguette bien dure, puis je me suis mis à la pilonner comme il faut.

Sabine a tendu ses bras en arrière pour s’offrir totalement. J’ai replongé entre ses brioches qui s’agitaient au rythme de mes coups de reins. En même temps, ses cuisses se sont fermées pour qu’elle puisse me sentir mieux en elle. J’ai durci encore un peu et j’ai bourré plus fort. Les reins de la patronne se sont soulevés du plan de travail… elle a gueulé « Mohamed, plus fort ! ». Je me suis redressé d’entre ses seins et j’ai tout donné. Bam ! Bam ! Bam ! Le plan de travail tapait contre le mur. Enfin, son orgasme super intense est arrivé et Sabine s’est mise à brailler. J’ai bien cru que tout le quartier allait nous entendre !

Pour me finir, j’ai profité qu’elle était toute tremblante et à dispo devant moi pour retirer ma bite collante. Et je me suis branlé contre sa minette gonflée. Elle a adoré recevoir mon jus dessus et a même mis les doigts pour goûter. « Hum, c’est mieux qu’un glaçage ! » commenta-t-elle en me regardant avec des yeux gourmands. Depuis, le dimanche est devenu notre jour préféré, à moi et à la boulangère.

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