Aux pieds !

La rédaction 10 mai 2024

Alex, 40 ans, Auvergne, réalise enfin son plus grand fantasme en se faisant masturber par les pieds d’une femme rencontré virtuellement.

Chacun a son jardin secret en termes de fantasmes. Les miens tournent beaucoup autour de la sodomie, mais aussi des pieds… Je rêvais avec émoi de me faire branler la bite par une femme avec cette partie du corps souvent dénigrée dans l’érotisme ou renvoyée aux soumis. Je n’avais jamais osé exposer ce type de fantasmes à mes partenaires, car j’ai toujours eu peur de passer pour un détraqué. Jusqu’à ce que je fasse la rencontre de Nelly, une jeune femme que j’ai croisée sur un forum de discussion. Nous y parlions de notre passion commune pour un jeu vidéo, mais nous avons vite dérivé sur la sexualité quand nous nous sommes mis à nous parler en privé. Comme nous ne savions rien l’un de l’autre, la parole entre nous était totalement libre de tout jugement. Nous avons alors évoqué le sujet des fantasmes inavouables et du fait de se sentir légitime à les partager ou non. Voici mon histoire de sexe.

Des photos pour se masturber à distance

C’est là qu’elle m’a avoué qu’elle adorait le plaisir anal assez intense, avec des doigts, des bites ou des jouets tels que les perles anales, ces sortes de chapelets de boules qui viennent stimuler cet endroit si jouissif. Cela a évidemment aiguisé ma curiosité, car il était rare d’échanger ainsi avec une femme en toute transparence. Je l’ai imaginée jouer avec ses perles anales et les images qui me sont venues à l’esprit m’ont tout de suite mis dans un état d’excitation avancé. En retour, je lui ai parlé de mon goût pour la sodomie et de mon léger fétichisme pour les pieds des femmes. Cela lui a plu que je me confesse à mon tour. Nous avons commencé à nous exciter par messages interposés en nous mettant en scène dans des jeux de rôles virtuels où nous réalisions les fantasmes que nous avions partagés. Cette complicité textuelle nous a liés tous les deux dans une grande intimité. Jusqu’à ce que Nelly propose que nous nous rencontrions. J’ai fait ma valise pour aller passer le week-end chez elle. Quand je l’ai vue sur le quai de la gare, elle m’a tout de suite plu. Elle était fluette, un corps de gazelle et un petit air mutin délicieux dans le regard. J’étais assez intimidé de la rencontrer enfin pour de vrai, et en même temps elle a su me mettre à l’aise.

Chez elle, nous avons reparlé de nos échanges, les joues rosies par la timidité, et elle m’a proposé de poursuivre notre jeu virtuel dans le réel. L’idée était de reproduire nos petits scénarios sexuels et de nous prendre en photos pour avoir ensuite des supports masturbatoires quand nous serions de nouveau à distance. Je trouvais l’idée très excitante, bien qu’intimidante. Elle a repris l’échange de messages que nous avions eu sur son téléphone pour le lire à voix haute. La pièce s’est tout de suite chargée de notre excitation mutuelle. « Tu m’embrasses, me déshabilles, caresses la peau de mes cuisses et de mon cul, tu enfonces doucement tes doigts enduits de salive dans les profondeurs de ma chair. Tu prépares le terrain avec douceur. » Les mots sortis de sa bouche n’en étaient que plus enivrants. Elle a guidé mes gestes par cette lecture et je me suis mis à faire ce qu’elle disait. L’embrasser, la déshabiller, la caresser. Son cul était aussi appétissant que dans mes rêves. Je l’ai doigtée et l’ai gratifiée d’un anulingus, jusqu’à la sentir tremblante de désir. Elle mouillait abondamment. J’ai enfilé en elle le chapelet de perles anales qu’elle avait préparé, doucement, lui soutirant des soupirs propres à me faire perdre la raison. Pendant que je jouais avec son cul, je tâchais de stimuler tout son corps par mes caresses et mes baisers. J’ai pris en photo ce que je lui faisais pour illustrer ce roman-photo de nos fantasmes que nous étions enfin capables de mettre en œuvre.

Mon fantasme des pieds

À son signal, j’ai pu la prendre par son fondement et entrer dans l’étau suave et tiède de sa chair. La stimulation de ma verge à cet endroit était si délectable que j’ai très vite été sur le bord d’exploser. Ses fesses frémissaient de plaisir sous mes coups et la posséder de la sorte nous faisait nous sentir plus proches que jamais. J’ai joui une première fois, n’y tenant plus, et elle aussi car elle se branlait avec la main en même temps que je la sodomisais.

Après une pause et un passage sous la douche, elle m’a proposé de réaliser mon fantasme autour des pieds. Elle m’a relancé en me suçant et en me caressant, et elle a réussi à me faire repartir au quart de tour. Elle était allongée, nue sur le lit et moi à genoux au-dessus d’elle. Elle a attrapé ma queue entre ses deux pieds pour me branler de cette manière que je n’avais encore jamais expérimentée. Le contact de sa voûte plantaire contre la peau de mon intimité a enflammé mon désir. En un rien de temps, j’étais de nouveau empli de toute la tension de mon plaisir. Je regardais, fasciné, tout en prenant des photos, ce ballet de ses pieds sur ma queue, celle-ci qui enflait… Jusqu’à ce que la sève de ma jouissance coule sur elle, mon foutre venant consteller sa peau immaculée.

Désormais, je regarde souvent les photos de ce doux souvenir, dans l’attente de notre prochaine rencontre.

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