Ma thaïlandaise aux gros seins

La rédaction 22 avril 2024

Kim – 42 ans – Angoulême, part avec un homme marié après l’avoir sucé pendant que sa femme était sous la douche.

Je veux dédier ces mots à mon cochon de mari qui me rend si heureuse et me comble notamment sur le plan sexuel. Je l’ai connu alors que je travaillais dans mon pays d’origine, la Thaïlande. J’étais réceptionniste, cet homme plein de charme a débarqué avec sa femme et … est reparti pour la France avec moi et mes « big bags », c’est comme cela qu’il appelle mes seins, monsieur est dans le bâtiment ! Voici mon histoire de sexe.

Pompé avec sa femme à côté !

La première fois que je l’ai sucé, c’était dans sa chambre, sa légitime était sous la douche et il lui parlait en même temps que je lui pompais son beau chibre qui me dégoulinait littéralement dans la gorge. J’avais honte et tout à la fois, j’étais excitée comme jamais, à tel point que j’ai dû changer de culotte après qu’il m’ait éjaculé dans la bouche !

Depuis entre mes boobs, mes lèvres et sa bite toute rose et gonflée c’est une histoire d’amour sans fin. Dès le réveil, avant qu’il ne parte au bureau, il a le droit à sa branlette de notaire, il ne va jamais au travail sans que je lui aie vidé les couilles soit sur ma poitrine ou au fond de ma gorge. Il raffole de formes voluptueuses, de mes hanches pleines, de mes fesses charnues et, bien sûr, de mes seins toujours disponibles à ses caresses et à sa bouche gourmande.

Scène de sexe en photo

Ce qui lui plaît par-dessus tout, c’est aussi de me prendre en photo, dès que nous baisons, il sort son portable et capture nos scènes de sexe autant qu’il le peut. J’aime quand il adopte cette allure vicieuse, que son regard ne lui suffit plus. Je sais que, plus tard, il m’enverra des vidéos dans lesquelles il se branle et gicle sur les images qu’il a enregistrées.

Cet été, tous les jours, il m’a demandé de me caresser pendant notre sieste, je mettais alors mes joyaux à l’air, commençant par effleurer mes énormes tétons très érectiles et à pincer mes sombres mamelons, puis je remontais ma robe pour éveiller mon secret, ma chatte mouille très vite et je n’ai qu’à glisser un doigt sur mon clitoris pour déclencher l’inondation. Une fois surchauffée par le désir, François me tendait sa belle bite pour que je la suce. Son bâton est assez court, mais il est large et emplit ma bouche à merveille, je faisais le tour du gland avec ma langue puis mon mari s’allongeait, il sait que j’aime être au-dessus pour les fellations.

Mes gros lolos peuvent alors ballotter et entrer en contact avec ses cuisses et ses couilles, il en frissonne à chaque fois lorsqu’il sent ainsi mes tétons l’agacer avec légèreté. Il n’attendait qu’une chose, que je remonte mon buste et que mes mamelles englobent son pénis, mes mains les soutenant, mes doigts venant guider le membre viril, j’alternais les coups de langue, les aspirations tout en branlant le manche prisonnier. Une fois dur comme l’airain et le méat débordant de pré-sperme salé et huileux, je m’abandonnais totalement à son bon vouloir.

Tout en chaleur !

Le climat brûlant du sud de la France m’a toujours mise en chaleur, d’ailleurs il désirait souvent me prendre en levrette, telle sa petite chienne lubrique, c’est ainsi qu’il m’appelle dans ces moments de forte tension érotique. Je me soumettais chaque fois de bonne grâce, m’offrant à quatre pattes et lui présentant mes fesses qu’il écartait en grand, épiant mes trous ainsi révélés, de nouveau je fondais de cette action ô combien vicieuse. Je suis très exhibitionniste et je sentais mon con couler à flots. Prête et affamée, je réclamais sa queue, qu’il ne tardait pas à enfiler dans mon conduit lubrifié, la délivrance que je ressentais à cet instant était irréelle, je me penchais un peu plus afin d’ouvrir mon cul et ma chatte davantage, les coups de boutoir pouvaient alors s’emballer.

François me claquait les fesses, fort, me traitant de tous les noms qui m’excitent, et, pour me faire définitivement décoller, me pénétrait le petit trou avec son index et son majeur. Les vrillant dans l’orifice étroit, il venait appuyer sur sa bite en train de me foutre jusqu’aux bourses, faisant ainsi pression sur mon point G. Combien de fois ai-je inondé le matelas de cette chambre d’hôtel ? Tous les jours, je crois ! Il me bourrait à fond, longtemps, puis, transpirant de tout son corps et après m’avoir menée à deux ou trois reprises à l’orgasme, me demandait de m’allonger de nouveau sur le dos pour jouir à son tour.

Il m’a tout fait, gicler dans ma chatte et même épisodiquement dans mon anus, très souvent dans ma gorge dont la gourmandise pour sa semence ne se dément pas, mais sa préférence allait le plus souvent à mes seins, les lardant de jets de sperme chaud que je léchais en portant mes loches à ma bouche affamée.

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