Mon amant Italien

La rédaction 7 mai 2024

Amina – 30 ans – Annemasse, trouve un amant italien et baise avec lui devant son mari car il ne peux plus satisfaire les besoins de sa femme.

Me suis-je marié par amour ? Sans aucun doute, par intérêt ? Aussi ! Marcel, de vingt-sept ans mon aîné, sans traîner la patte, a sa troisième jambe en panne. Pas de manière définitive, mais elle ne peut plus satisfaire mes besoins, et ils sont gigantesques ! Mais j’ai été élevée selon certains principes parmi lesquels la fidélité entre époux passe avant tout. Alors, après les jouets et les petites pilules bleues, mon cher et tendre m’a proposé un marché. Je peux avoir un amant, baiser tant que je veux avec des jeunes, mais il est toujours présent. Passif la plupart du temps, il lui arrive de participer. A minima il me shoote pendant que je me fais prendre dans toutes les positions. Voici mon histoire de sexe.

Un italien très bien bâti

Jacomo est un Italien follement excitant. Il m’a branchée pendant une soirée, je lui ai donné les conditions pour me revoir et il a accepté sur le champ. Cette séance était notre troisième, Marcel avait réservé une suite et m’a photographiée longuement avant que mon amant ne surgisse. Lorsqu’il est entré dans la chambre, chibre à l’air, bandant comme un fauve et qu’il m’a découverte nue sur le lit, les jambes écartées et le sexe plus humide qu’une forêt tropicale, il s’est littéralement jeté sur moi. C’est comme s’il ne voyait plus mon époux, il n’en avait que pour mes seins, ma chatte, mon cul !

Après m’avoir aspiré les bourgeons mammaires à m’en faire mal, il s’est attaqué à mon minou. Il lèche divinement bien, il n’utilise même pas ses doigts pour visiter mes orifices, juste sa langue qui décrit des arabesques sans fin entre mes nymphes et mon clitoris. Rien à faire, en quelques minutes je gémissais, dévorée par un orgasme fabuleux. Je lui ai fait signe avec mon index de venir prendre ma place, Marcel s’est rapproché, il adore que je fixe l’objectif quand je pompe une autre bite que la sienne. Celle de Jacomo est une de mes préférées, je le concède aisément. Longue, toujours dure, elle ne supporte pas un poil ni sur la hampe pas plus que sur le pubis, c’est un régal à sucer, à laper, ses couilles si douces sont un véritable bonbon lorsque je les gobe. J’entoure la couronne du gland avec des lèvres serrées, parfois je m’autorise même à mordiller cette belle cerise juteuse. Puis je me déchaîne en avalant la colonne tout au fond de ma gorge en allant de plus en plus vite, je monte, je descends, le membre se gonfle encore jusqu’à ce que les bras puissants de mon étalon me renversent. Là, je sais que nous allons entrer dans le vif du sujet, je relève une cuisse, j’écarte bien mes grandes gambettes fuselées et je penche la tête en avant pour essayer de voir le chibre déchirer le voile de mouille de ma chatte avant qu’il ne s’engouffre jusqu’aux burnes dans la fournaise de mon abricot !

Pas de levrette mais une bonne missionaire

Parfois, à ce stade, Marcel bandouille, ce jour-là, rien, son sexe ressemblait à un gros rigatoni trop cuit ! Heureusement, du côté de Jacomo, c’était tout le contraire, son pénis en érection m’a rendue dingue. Il bandait dur, son mât était gonflé à l’extrême et les veines étaient visibles tout au long du mandrin. Il ne s’est même pas donné la peine de me foutre en levrette alors qu’il sait à quel point cela me fait décoller, il s’est satisfait de ce missionnaire torride, décalant aussi son torse en arrière afin que mon vicelard de mari puisse bien appréhender l’action en cours.

Il faut dire que mon corps était secoué en tous sens avec beaucoup de vigueur et d’enthousiasme. Je sentais mon con chauffer, ma mouille commençait à tremper les draps sous mon cul, mes seins bandaient à en être douloureux, les succions liminaires n’ayant rien fait pour arranger la situation !

Dans le cul pendant que le mari dort

J’ai trouvé le chemin de l’orgasme deux fois encore, la première sans rien faire, la seconde en m’astiquant le bourgeon avec les doigts, comme lorsque j’étais adolescente et que je découvrais, maladroite, les joies de la masturbation.

Jacomo est un peine à jouir, surtout lorsqu’il a chaud et qu’il a donné de sa personne, nous sommes donc allés prendre une douche et quand nous sommes revenus, mon mari dormait, avachi sur le fauteuil dans lequel il était installé ! Le pauvre n’a même pas assisté à son moment préféré, l’éjaculation de mon amant ! En général, il veut que cela soit sur mes nichons ou sur mon cul, mais comme monsieur ronflait presque, j’ai invité Jacomo à m’enculer.Je me suis mise à quatre pattes, j’ai ouvert mes fesses avec mes mains et il m’a sodomisée avec un peu de salive sur l’anneau. Quelques minutes plus tard, il réveillait Marcel en sursaut, criant son extase de répandre son sperme abondant tout au fond de mon petit trou !

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