Mon ancien petit copain
9 juillet 2024Aude, 28 ans, Paris retrouve son amour du lycée pour écrire son livre. Bien qu’il soit marié, une partie de jambes en l’air ne se refuse pas !
Chers lecteurs, j’ai une histoire assez étonnante à vous raconter. Je suis une jeune écrivaine de 28 ans et je donne aussi des cours de musique. Pour les projets d’un livre, j’ai décidé de retrouver tous mes anciens petits copains. J’avais envie de savoir ce qu’ils étaient devenus et de trouver de la matière pour mon roman, pourquoi pas un personnage également. Je suis remontée très loin dans mes contacts et j’ai retrouvé Luc, mon petit ami de classe de première… ça faisait donc plus de 10 ans que l’on ne s’était pas vus. Je m’étais souvenue qu’à l’époque, il voulait coucher avec moi, je n’avais pas trop envie, même s’il me plaisait. Je l’ai retrouvé sur les réseaux sociaux et je l’ai contacté. Voici mon histoire de sexe.
Rattraper le passé
Amusé, il a accepté que je vienne le voir chez lui, à Amboise, dans la vallée de la Loire. Luc avait mené sa vie, il était cuistot, avait une femme enceinte, un chien et un pavillon. C’était incroyable pour la Parisienne que je suis qui vit encore en chambre de bonne ! Nous avons calé une date et je suis arrivée chez lui un week-end. Sa femme lui avait laissé la maison et nous nous sommes installés dans le jardin, moi avec mon carnet pour prendre des notes, lui avec ses cigarettes. Nous avons refait le film des quelques jours qu’avait duré notre histoire. Il s’en souvenait très bien car, disait-il, je lui plaisais beaucoup à l’époque. Lui était plus âgé que moi, il devait avoir 18 ans, et il avait voulu m’embrasser, alors que moi, je n’étais pas prête. C’était pour cela qu’on avait arrêté de se voir. C’était fou de revivre ces moments du collège à deux.
En l’évoquant, cette période ne paraissait plus si lointaine. J’ai trouvé ça excitant quand il m’a dit qu’il me trouvait très belle à l’époque et encore plus aujourd’hui. La discussion s’est poursuivie super tard dans la nuit, il m’a préparée à dîner et nous avons bu du vin. Sa présence était agréable, même si tout nous séparait. Nos mondes, nos parcours… Il avait fait des gardes à vue, erré dans des formations professionnelles. Je lui trouvais un petit côté « bad boy » qui me séduisait. Je pouvais voir aussi que je ne le laissais pas indifférent. C’était comme une parenthèse hors du temps, une rencontre qui n’aurait pas dû se produire mais que j’avais provoquée. Ce faisant, j’avais exhumé nos désirs du passé.
« Tu m’aurais fait quoi si tu avais pu, si j’avais dit oui ? », ai-je osé demander en buvant du vin. Il a ri et ne s’est pas démonté. « J’aurais voulu qu’on soit tous les deux assis côte à côte comme maintenant et j’aurais glissé ma main entre tes cuisses pour te toucher à travers ton jean et en t’embrassant. J’aurais aimé sentir ton excitation toute nouvelle. » Ses mots m’ont fait frémir. C’était tellement loin de l’image du gros macho que j’avais de lui ! J’étais assise dans son jardin, près de lui, en jean justement. J’ai demandé : « Tu ne veux pas me montrer ? ». Luc est devenu très silencieux tout à coup et il m’a fixée un instant.
Ma chatte en feu sur sa queue
Puis il a baissé les yeux et a tendu la main vers mon entrecuisse et il a touché mon jean. Cette main, c’était comme si je l’avais désirée sans pouvoir la recevoir et maintenant, avec mon désir de femme, je pouvais enfin la sentir en sachant vraiment ce que je voulais. J’ai scellé mes lèvres aux siennes et j’ai ressenti comme une gorgée de désir teintée de nostalgie. Comme il était tout de même assez directif (comme au lycée), on s’est assez vite retrouvés à se rouler d’énormes pelles, moi à califourchon sur lui, et lui posé sur sa chaise de jardin. Je frottais mon entrejambe sur son érection à travers son pantalon. Le frottement de nos jeans et de nos sexes était très stimulant, ça faisait monter le désir et laissait entrevoir des minutes exquises à venir. Ma chatte était à la fois en feu et trempée de mouille, je le sentais dans ma culotte. Ce moment était tellement inattendu, rare, facile à briser, facile à réduire en miettes, que je voulais le tenir prisonnier.
Je frottais de plus en plus fort ma minette contre sa queue, puis je me suis mise debout le plus rapidement possible pour enlever mon jean et le sien. Nos sexes étaient nus, mais nous avions gardé nos hauts. Qu’importe, on se voulait, on avait dépassé la limite et il fallait maintenant consommer, quitte à se baiser maladroitement. Je l’ai à nouveau enfourché en m’installant sur sa bite et je me suis pénétrée avec, sans d’autre forme de préambule. Sa verge chauffait en moi et même si mon frétillant était mouillé, il devait s’habituer à cette intrusion soudaine. J’avais le souffle court et son visage était, lui aussi, alangui et rosi par l’excitation. Nous avons baisé comme ça, assez sauvagement, et je donnais des coups de reins pour qu’il me pénètre à fond, comme pour rattraper toutes ces années pendant lesquelles nous n’avions pas baisé.
Dans le cul pour bien finir !
Puis j’ai eu envie de l’avoir dans mon cul, car j’adore la sodomie. Je le lui ai dit et je me suis retrouvée à quatre pattes dans l’herbe. Il avait une capote bien lubrifiée alors, avec mon aide, il a réussi à se faufiler en moi. Avec lui j’avais envie de sexe brutal, de sexe qui racle, qui bourrine, qui enflamme. Mon cul se prenait son engin gonflé d’excitation et c’était un kiff absolu. Mes genoux s’égratignaient sur le sol, mais c’était tellement excitant que mon plaisir agissait comme un calmant sur mes douleurs. J’aimerais qu’il me foute, j’aimais me dire que j’étais sa copine de lycée, sur laquelle il s’était branlé avant de s’endormir, et que maintenant il penserait peut-être à mon cul quand il baiserait avec sa femme.
« Tu as bien changé depuis le collège », disait-il, tout essoufflé, en continuant de me sauter par le cul. Il était adroit, me prenait avec un bon rythme et une pression parfaite. Je le sentais tout entier dans cette partie si sensible qu’il remplissait. Nous avons fini par jouir presque en même temps, moi à l’aide de ma main qui me branlait et de ses doigts à lui avec lesquels il me doigtait pendant qu’il m’enculait.
Je suis rentrée chez moi le lendemain et je me suis dit que cette aventure ferait une très bonne scène dans mon livre… Finalement, je crois que sans le savoir, je l’ai un peu utilisé pour trouver mon histoire !
(Photo à la une : Getty Images)
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