Monsieur Clément
18 juillet 2021Je suis comptable dans une entreprise de transport. J’ai la trentaine et je suis mariée. Mon époux travaille de nuit dans un CHU. Il y a quelque temps, ma voiture est tombée en panne, et un de mes collègues de boulot. Nous nous connaissons depuis mon entrée dans la boîte, il y a un peu plus de dix ans. Il a 54 ans. Il s’est toujours montré plus que correct avec moi, malgré des regards parfois insistants… Je m’appelle Josiane, j’ai 47 ans et voici mon histoire porno.
Pour le remercier
Un soir, pour le remercier de son dévouement, je l’ai invité à prendre l’apéro à la maison. Il était très heureux. Assis dans le canapé du salon l’un à côté de l’autre, nous parlions boulot, nos verres à la main. Clément me dévorait de ses grands yeux. Moi, j’étais de plus en plus troublée. Comme dans un rêve, je l’ai vu s’approcher de moi et déposer un tendre baiser sur mes lèvres. Je suis devenue rouge pivoine et, interloquée, j’ai demandé : « Pourquoi ? » Il m’a simplement répondu : « Et pourquoi pas ? Tu es très belle, j’ai envie de toi. » Il m’a repris les lèvres, sa langue s’est frayé un chemin dans ma bouche pour se mélanger à la mienne, je ne bougeais plus. Clément m’a ôté le verre des mains pour le poser, avec le sien, sur la table basse. Puis il a repris ma bouche, ses mains ont parcouru mon corps et ouvert mon chemisier pour en sortir mes seins. Je me suis surprise à le déshabiller à mon tour.
Bientôt, nous nous sommes retrouvés nus sur le canapé. Mon collègue bandait déjà, son sexe était énorme. Bien plus volumineux que celui de mon mari. Avec un gland gros comme un brugnon et une tige d’une belle épaisseur. Je l’ai caressé doucement, désireuse de le prendre dans ma bouche. Mais je craignais de ne pas y arriver. Il m’a fortement incitée à le faire, alors je m’y suis essayée. À mon grand étonnement, sa queue est entrée dans ma bouche grande ouverte. J’ai salivé du mieux que je pouvais afin de l’exciter au maximum. Clément me cajolait les cheveux. Subitement, il m’a arrêtée et m’a assise dans le canapé. À genoux devant moi, il m’a attirée à lui, passant mes jambes au-dessus de ses épaules, et il s’est occupé de mon petit sexe. Il a insinué sa langue pointue entre mes lèvres humides et gonflées, et m’a léchée avec ardeur, tout en massant ma poitrine durcie par le plaisir. J’étais totalement réceptive à ses attouchements.
Il m’a dévoré
Mon nouvel amant avait l’air avide de mon minou, il a trouvé mon bouton intime et a joué dessus avec ses lèvres, m’arrachant des cris de plus en plus sonores. J’étais en feu, je lui ai saisi le visage à deux mains et je l’ai remonté jusqu’au mien pour l’embrasser. Sa verge était raide et luisante, son gland perlait, j’avais très envie de ce bâton de chair tendue. Je lui ai demandé de me prendre là, maintenant, tout de suite. Clément m’a renversée dans le canapé, je sentais sa bite battre contre mon ventre. J’ai posé les mains sur ses fesses, écartant mes cuisses au maximum afin de lui faciliter le passage. Il s’est soulevé sur un bras, je l’ai regardé me stimuler la vulve humide avec l’autre main. Alors qu’il me pénétrait doucement, j’ai fermé les yeux en respirant très fort, pour profiter du moment. Mes parois semblaient épouser cet immense phallus. A l’intérieur de moi, la bite me paraissait encore plus grosse, je la sentais vraiment bien. Quand Clément a été au fond de mon ventre, il s’est couché sur moi, me picorant les joues, le front, le nez et le cou de baisers.
J’étais chaude comme la braise. Mon collègue s’est activé, faisant coulisser son gros engin dans mon ventre, je l’accompagnais en remuant les hanches. Ses coups de reins se sont accentués. Moi, je m’accrochais à lui en gémissant de plus en plus fort, de plus en plus haut. Clément haletait en me disant que j’étais bonne, qu’il allait me faire l’amour encore et encore… Je l’ai senti durcir comme de l’acier, j’ai passé mes jambes autour de ses hanches et mes bras autour de son cou, et je l’ai supplié de venir en moi. Je voulais sentir ses divins soubresauts, j’avais envie que sa longue tige tressaute en moi, qu’il me gicle tout ce qu’il avait dans le ventre, je désirais que son sperme tiède et crémeux inonde mon bassin. Nous étions en sueur, le parfum de sa peau mélangé à celui de son after-shave était entêtant. Nos corps étaient soudés par nos sexes. Je me suis concentrée sur cette chose énorme qui grossissait toujours en moi, au fond de mon ventre, jusqu’à connaître l’extase. J’ai laissé échapper un couinement animal pendant que mon amant se vidait dans ma grotte. Il a râlé très fort alors que je sentais sa sève couler.
Nous sommes restés couchés, liés, pendant un long moment, sans bouger. J’avais la chatte pleine de sa semence, c’était délicieux. Le plus extraordinaire a été quand je l’ai senti grossir et se tendre de nouveau en moi… Ce soir-là, Clément m’a baisée trois fois, il était insatiable. Il devait me désirer depuis très longtemps. Vers quatre heures du matin, j’ai dû le mettre dehors. La porte refermée, je frissonnais de tout mon corps, j’avais encore très envie de lui.
Depuis, Clément est devenu mon amant. Je n’en ai pas encore parlé à mon mari. Il m’a déjà confié qu’il rêvait de me voir faire l’amour avec un autre. Moi, je serais plus que partante pour une partie à trois avec mes deux hommes… Une double pénétration dans le lit conjugal, quoi de plus excitant ?
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