Tournée au manège
9 mai 2024Kévin, 34 ans rencontre une touriste américaine aux Champs-Elysées qui va lui offrir la pipe de sa vie.
Il m’est arrivé une histoire de sexe un peu folle durant les dernières fêtes de fin d’année. Je suis allé à Paris voir des amis et je me suis retrouvé un soir à me balader tout seul au marché de Noël des Champs-Élysées. C’était magique, mais je me suis dit que j’aurais eu envie de partager ce moment et un vin chaud avec une femme… Et pourquoi pas prolonger la soirée avec elle. J’ai fini ma balade en rêvassant. Puis je suis arrivé devant la grande roue du jardin des Tuileries. Je n’ai pas résisté à la tentation et suis monté dans le manège.
Une tournée avec des intentions coquines
C’était un peu enfantin de faire ça, mais ça me faisait envie, le côté magique de cette attraction avec les lumières de la ville tout autour. Au moment de monter dans la cabine qui se présentait, je me suis retrouvé coude à coude avec une jeune fille qui était seule comme moi. Quelle heureuse coïncidence ! C’était une jolie blonde qui avait l’air d’être, elle aussi, à l’affût d’une rencontre. Je l’ai déduit de la manière dont elle m’a dévisagé. Un peu gênés, nous avons pris place l’un à côté de l’autre. La grande roue s’est mise en branle. Puis l’inconnue s’est mise à me parler, en faisant un peu de small talk.
C’était une touriste américaine de 25 ans, de passage à Paris avec sa famille. Elle était en quête de contacts, ça se sentait. Nos corps à travers nos manteaux se sont rapprochés l’un de l’autre et j’ai senti sa chaleur diffuse et rassurante à mes côtés. Elle était charmante et avait l’air d’avoir conscience de l’attrait de ses charmes. J’aimais son assurance. Est-ce que ce ne serait avec cette femme que j’allais pouvoir boire un vin chaud à deux ? La grande roue s’est arrêtée un moment alors que nous étions tout en haut de l’engin. La vue sur les Champs était belle, c’était féérique et romantique. « Let’s pretend we are boyfriend and girlfriend, ok ? » a-t-elle proposé. Elle voulait que nous prétendions être en couple pendant un court instant volé.
Premier baiser au manège
Elle a posé ses lèvres froides et légèrement gercées sur les miennes. Notre baiser les a réchauffées rapidement, et la chaleur s’est diffusée dans ton mon corps pour nourrir le désir naissant que j’avais ressenti à son approche. La roue était toujours à l’arrêt. Sa langue s’est enfoncée dans ma bouche, ses lèvres étaient goulues et me dévoraient le visage. J’aimais sa fougue, qui avait quelque chose de communicatif dans ce décor de conte de fées un peu incongru. Puis elle s’est enhardie et a commencé à glisser ses mains sous mon manteau pour toucher mon torse, descendre sur ma braguette et caresser l’érection entre mes cuisses à travers mon jean.
Elle avait le don de mettre le feu aux poudres en m’entreprenant de la sorte, en stimulant mon entrejambe sous le ciel bleu nuit. Elle m’a laissé lui caresser les seins sous son propre manteau. Nos souffles se sont faits plus pressants encore, je la sentais proche du halètement et j’aurais voulu savoir à quoi ressemblait sa voix quand elle se faisait baiser, puis quand elle avait un orgasme. C’est toujours un bonheur de découvrir le bruit que les femmes font au moment de la jouissance. C’est le partage d’une intimité profonde et secrète, autant que la nudité. Elle m’a dit en français avec un délicieux accent américain : « J’ai envie de te sucer. » La roue est repartie de plus belle. Je ne pouvais pas refuser pareille invitation alors, une fois à terre, je lui ai proposé de me suivre.
Elle me suce la bite
Nous avons pris deux vins chauds sur la route. Je ne savais toujours pas comment elle s’appelait, mais ce que je savais, c’est que j’avais envie de sa bouche sur ma queue. Maintenant qu’elle l’avait suggéré, je ne pouvais plus détacher mon esprit de cette image digne d’un cadeau de Noël avant l’heure. Nous sommes allés chez mes amis, qui étaient partis faire des courses. Pris par notre désir, nous avons trébuché dans le couloir jusqu’à la chambre, en nous embrassant et en retirant nos vêtements. Une fois sur le lit, elle m’a mis son téléphone entre les mains. « Je veux un souvenir de Paris », a-t-elle dit tout en se dirigeant vers ma queue.
Elle n’avait pas menti, elle avait vraiment envie de me sucer, vu le cœur qu’elle y a mis ! Il y a des femmes comme ça, qui aiment sentir le plaisir de l’homme à être pris en bouche, qui ne s’en sentent pas dégradées, et ce sont, je dois dire, les meilleures suceuses que je connaisse. Sa langue et les pressions de sa bouche sur mon membre étaient parfaitement dosées, alternant succions, gorge profonde et léchages délicats sur le gland… De quoi tomber amoureux ! Je l’ai prise en photo sous tous les angles de vue possibles, puis dans la chambre, le salon, la salle de bain, où nous avons poursuivi nos ébats, car elle ne tenait pas en place ! Sa jolie tête blonde s’activant sur ma queue, sous toutes les coutures.
Je n’ai pas pu contenir trop longtemps mon orgasme qui m’a cueilli comme une bourrasque. Elle a accepté ensuite de recevoir mes caresses pour lui faire plaisir à mon tour. Puis chacun est reparti à sa vie pour fêter Noël de son côté… le corps encore imprégné de l’odeur de l’autre.
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