J’ai pétri la boulangère

La rédaction 19 août 2019

Farid, 37 ans, caviste.

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Le matin, mon petit plaisir est d’aller chercher un croissant tout chaud chez ma boulangère. Sa boutique est juste en bas de chez moi, mais je n’y vais jamais en jogging et pantoufles. Au contraire, je mets une tenue propre, je me coiffe et je m’arme de mon plus beau sourire…

Mylène fait non seulement du très bon pain, mais elle est aussi à tomber. Grande, fine, elle a les plus jolis yeux du monde et un air canaille qui me ravit. À chaque fois, on flirte un peu, je la complimente sur sa bonne mine, elle me demande de mes nouvelles… Alors un soir où je l’ai croisée quand elle fermait la boulangerie, je n’ai pas pu résister : je l’ai invitée à monter boire un verre à la maison.

Mylène n’a pas hésité longtemps. Dans l’escalier qui monte jusque chez moi, je l’ai fait passer devant. J’ai pu mater son joli cul à quelques centimètres de moi, une belle brioche que j’aurais voulu croquer… Une fois dans le salon, j’ai sorti du vin et deux verres puis nous avons commencé à papoter.

Il était tard quand Mylène a voulu rentrer chez elle. Nous étions vraiment pompettes… Pour lui dire au revoir, je me suis penché doucement vers elle et je lui ai fait un bisou sur la joue, tout près des lèvres. Elle a rougi et m’a rendu la pareille, tout près de la bouche aussi. J’ai enfin pris mon courage à deux mains et je l’ai embrassée sensuellement. Je me retenais depuis si longtemps !
Mylène sentait très bon. Un mélange de fleur d’oranger et de sueur de la journée, mi-salé mi-sucré. Et quel régal de la déshabiller lentement, avant de la conduire dans ma chambre… Là, elle a pris le relais, enlevant un à un mes vêtements. Nous nous sommes longuement caressés et embrassés. Tout était si naturel que j’ai même osé lui proposer un petit jeu. J’ai un sextoy dans mon placard, un truc que des potes m’ont offert pour déconner il y a quelques années. Je n’avais jamais eu l’occasion de l’essayer mais avec Mylène, tout était si facile et si fort que j’ai pensé que c’était le moment.

Je lui ai murmuré mon idée à l’oreille, et elle a juste souri. Quand je lui ai tendu l’objet, elle l’a pris entre ses mains fines et il a eu l’air encore plus gros, presque trop pour sa belle vulve aux lèvres serrées… Nous nous sommes mis l’un en face de l’autre et Mylène s’est godée la chatte avec une facilité déconcertante. Le jouet entrait et sortait si bien, elle devait ruisseler de nectar à l’intérieur !

Je me suis branlé furieusement en la matant, le plastique rose brillant de plus en plus à mesure qu’il se couvrait de cyprine. Nos gémissements montaient maintenant très fort et plus le gode rentrait vite dans la minette de Mylène, plus je voulais y mettre mon chibre. Je me suis finalement jeté sur elle, arrachant le jouet qui est sorti avec un bruit de succion incroyable. Quand j’ai enfin pénétré la douce, ma queue a été comme engloutie en elle. Un bonheur auquel j’osais à peine croire…

Je ne l’ai malheureusement pas ramonée bien longtemps, car surexcité par nos préliminaires, j’ai éclaté au bout de quelques minutes. Mais Mylène n’a pas arrêté les hostilités pour autant ! Se désempalant de mon dard, elle s’est mise au-dessus de moi et a pivoté, plaçant son sexe béant au-dessus de ma bouche. La catin s’est alors assise sur mon visage, m’obligeant à boire mon propre foutre ! Je me sentais à la fois humilié et étrangement excité : sentir nos jus mélangés couler dans ma gorge rendait mon fantasme de faire l’amour avec elle tellement plus réel… J’ai léché et avalé pour le plus grand plaisir de cette surprenante donzelle. Elle a joui très fort, s’embrochant sur ma langue et bloquant presque ma respiration. Une sensation totalement inédite pour moi, mais je dois l’avouer, très agréable.

Les jours suivants, nous avons pris un rythme plus normal avec Mylène, à base de rancards et de petites soirées en amoureux. Nous n’avons pas encore remis ça au lit, attendant de nous découvrir plus. J’avoue être très impatient : vu notre première nuit, que va me réserver la belle boulangère pour la suite ?

(Photo à la une : Getty Images)

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« Bref, nous sommes rentrés et, une fois sur le lit, Jean-Pierre m’a fait le cunni du siècle pour bien m’humidifier afin que ça glisse tout seul. Il a lancé le rabbit, ça vibrait dans tous les sens, c’était assez impressionnant. » Emmanuelle.

Du pain, du vin, du sexe…
« Une fois dans sa superbe maison, elle m’a expliqué qu’elle n’avait jamais fait l’amour avec un inconnu, mais que je lui plaisais et qu’elle n’en pouvait plus, que ses envies de baiser devenaient trop fortes. » Romain.

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