La femme de mon pote

La rédaction 6 août 2020

Sylvia est un peu volage. Que voulez-vous elle aime tant le sexe. Lorsqu’en rentrant à la maison, Guillaume trouve sa belle s’activant sur la queue de son meilleur ami il se dit qu’après tout, entre amis, on partage tout !

Je cherchais un job d’été pour faire rentrer un peu d’argent afin de m’offrir le voyage de mes rêves aux États-Unis. Heureusement, Victor, le meilleur ami de mon mari, Guillaume, m’avait conseillé, lors d’un dîner, d’écrire une lettre de motivation à sa boîte d’intérim qui recrutait à tour de bras. Je ne suis pas très douée en lettre de motivation et je lui ai donc demandé de m’aider à la rédiger.

J’avais sorti une tenue très moulante et assez riquiqui pour dévoiler mes points forts. Victor me plaisait depuis longtemps et je savais que Guillaume ne serait pas jaloux s’il se passait quelque chose entre nous. Évidemment, mon piège a fonctionné ! Victor avait terriblement de mal à se concentrer sur ma prose. Son regard passait de mes cuisses aux formes qui se dessinaient sous mon tee-shirt.

Comme j’ai vu qu’il était chaud bouillant, j’ai alors entamé les hostilités : « Bon, plutôt que de perdre du temps, tu veux que je te montre ce qu’il y a sous mon petit haut ? Sérieusement, on ne peut pas travailler correctement dans ces conditions, je ne te sens pas du tout concentré. » Victor est resté un instant muet, interloqué par ma proposition plus qu’indécente.

Il en brûlait d’envie, ça se voyait, mais n’osait pas s’attaquer à la femme de son meilleur ami. Et sa culpabilité m’amusait encore plus. Alors, j’ai pris sa main et je l’ai posée fermement sur mon tee-shirt. « Tire dessus ! » Victor ne s’est pas fait prier.

Il a levé du bout des doigts le fin morceau de tissu et dans un sourire qui trahissait son désir, s’est mis à contempler mes deux petites aréoles et mes tétons pointus. Ah l’amitié ne fait pas vraiment le poids devant les appâts d’une femme, c’est moi qui vous le dis ! Je savais que Victor ne reviendrait plus en arrière, c’était trop tard, “le mal était fait”.

Aussi, je me suis levée face à lui et je lui ai dit d’une voix un peu autoritaire « Embrasse-moi ! » Il a pris mon visage entre ses mains, l’a contemplé pendant quelques secondes avant de presser doucement ses belles lèvres contre les miennes. Que c’était bon de connaître enfin Victor si intimement.

Sa langue s’est mise à chercher la mienne avec douceur, et nos salives se sont mélangées avec délice. Il a ensuite plongé sa tête un peu plus bas, en direction de mon buste et de mes seins dressés. Il est venu les téter avec gourmandise. Une main très aventureuse s’est glissée sous mon short à la recherche du galbe de mes fesses.

Il redessinait le pli de ma raie à travers ma culotte, à l’aide de son majeur. C’était très excitant. Je sentais mon petit string s’humidifier et mon bas-ventre pétillait de désir. J’avais envie que les choses sérieuses commencent ! Et le plus vite possible ! Je me suis donc campée à genoux sur mon tapis face à son entrejambe. Victor a compris le message. Le cochon a pris son temps pour ouvrir sa ceinture et descendre sa braguette, me faisant saliver d’impatience de découvrir son sexe. Et quel sexe ! Quelle belle surprise ! Il était parfaitement épilé, épais et long. Sa tige se terminait par un énorme gland bien dessiné, quelques veines venaient souligner l’élégance de son érection et ses couilles bien pleines semblaient hurler leur envie qu’on les vide jusqu’à la dernière goutte.

Je l’ai branlé un peu, pour apprécier le toucher de sa queue, la douceur de sa peau fine et délicate entre mes doigts, puis je lui ai proposé de s’asseoir sur la chaise pour être plus à son aise. Ça m’amusait de voir le cul nu de Victor déposer son odeur sur le mobilier de notre maison conjugale, celle que je partageais depuis plus de trois ans avec Guillaume. Un peu comme s’il marquait son territoire dans la tanière d’un autre. En tout cas, c’est comme ça que je me suis racontée l’histoire, je sais que Guillaume ne voit pas du tout les autres hommes comme des rivaux, plus comme des alliés dans la baise.

Victor attendait patiemment, le souffle court, que mes lèvres encerclent sa bite. J’ai commencé par donner quelques coups de langue sur la tige, puis sur le bout du gland. Je voulais le faire bouillir de désir et je procédais pas à pas, avec finesse. Puis, j’ai resserré mes lèvres à la base de son gland, en tournant doucement autour.

Enfin, je me suis empalée sur son membre, très doucement, observant avec minutie les détails de son visage, dont l’expression se détendait au fur et à mesure de ma progression.

J’aimais sentir que j’avais du pouvoir et de l’emprise sur les hommes. J’aimais les voir s’abandonner à mes caresses expertes. J’en retirais une vraie satisfaction sexuelle.

À genoux entre les cuisses de mon amant du jour, j’ai entendu la porte d’entrée s’ouvrir.

Une décharge d’adrénaline a embrasé tout mon corps. Guillaume allait nous surprendre tous les deux dans le bureau. « Chérie ? c’est moi ? Je suis rentré ! » l’ai-je entendu hurler depuis le fond du couloir, d’une voix guillerette. Il était dans un bon jour en plus ! Formidable ! Quand j’ai vu sa petite tête coquine apparaître derrière la porte de notre bureau, j’ai deviné qu’il s’attendait à nous retrouver l’un dans l’autre. Ou l’un sur l’autre.

Victor, lui, tirait une tête de trois mètres de long et restait muet, très étonné de la réaction de son meilleur ami. « Bah alors Victor ? C’est comme ça qu’on rédige une lettre de motivation ? C’est ce qu’ils t’apprennent en école de commerce ? » s’est amusé Guillaume, un peu moqueur. « Surprise, chéri ! J’espère que tu aimes… » lui ai-je dit en mettant fin à ma fellation et en me jetant à son cou. J’ai embrassé Guillaume avec fougue. « Seulement si je peux participer… » m’a alors dit ce coquin.

Évidemment ! Le sexe, c’est comme les bons repas, ça se partage, et c’est encore mieux entre amis.

J’ai aidé Guillaume à se mettre à poil, il bandait déjà. Ça ne m’étonnait pas, vu la scène digne d’un porno qu’on venait de lui offrir ! Je me suis ruée sur sa queue dont une pointe de pré-sperme brillait au bout de son urètre, signe manifeste d’un désir brûlant.

Je me suis bien évidemment cambrée outrageusement sur la table du bureau pour que Victor puisse profiter à sa guise de mon postérieur que j’exposais pour lui.

Très timidement, il a posé une main sur mes fesses pour me palper. Puis j’ai senti un doigt s’introduire dans mon intimité.

C’était bon, trop bon, et il n’en fallait pas plus pour me faire totalement vriller.

J’adore les expériences extra-conjugales mais rien ne me retourne plus le cerveau que quand mon mari y participe. Je me suis alors mise totalement à nue sous les sifflements de mes deux spectateurs. Je crois que Victor a un peu halluciné en découvrant mon corps, mes piercings et tatouages discrets qui sublimaient des courbes entretenues par le sport.

Je suis d’abord venue m’occuper oralement de la queue de Victor, je savais que Guillaume préférait être le premier à me pénétrer la chatte. Le coquin a commencé quelques allers-retours et je sentais que ce sandwich allait me faire jouir en quelques secondes.

Guillaume l’a certainement senti aussi et a retiré sa bite pour y déposer un peu de gel lubrifiant. Je devinais ses intentions qui me faisaient frémir de plaisir. Mais je feignais de l’ignorer me concentrant sur la belle queue de Victor qui me caressait tendrement les cheveux.

Guillaume est revenu avec sa queue bandante et luisante, puis, tout doucement, il a commencé à forcer mon anus avec le bout de sa queue. Comme ce dernier se trouvait particulièrement résistant, il s’est aidé de son pouce pour conquérir ce conduit capricieux, étirant et flattant mes sphincters habilement. Puis, il a replacé sa bite stratégiquement, à l’entrée de mon cul et a donné un bon coup de rein. Ça y’était ! Je sentais le membre viril de Guillaume s’introduire dans mon petit trou.

Je profitais pleinement de ces deux bites qui remplissaient parfaitement mes orifices avec une envie grandissante de me masturber.

« Tu veux l’enculer Victor ? Je viens de creuser le trou, elle est totalement ouverte ! » s’est exclamé Guillaume.

Il savait que le dirty talk avait un fort pouvoir érotique sur moi et l’entendre parler de mon intimité dans des termes si crus n’a fait qu’amplifier mon excitation.

Les deux amis ont alors changé de place en se tapant dans la main au passage, on aurait dit un changement de terrain au tennis. Décidément, ce trio prenait des allures potaches. Victor est donc venu se pluguer dans mon cul et Guillaume m’a enfoncé sa queue bandante dans la bouche. « Allez suce. Oui, ça vient tout droit de ton cul ».

C’est peut-être un peu honteux mais j’aimais qu’il me parle comme ça. Je n’étais plus qu’une chose, à sa merci, offerte. Je ne pouvais plus tenir plus longtemps. J’ai glissé deux phalanges en direction de ma petite fente et j’ai appuyé sur le petit bouton dur de mon clitoris.

Il a réagi au quart de tour, je savais que j’allais jouir rapidement et violemment, j’étais beaucoup trop excitée depuis le début de mes échanges salivaires avec Victor. J’ai fermé les yeux au moment de l’orgasme, j’avais un peu honte de livrer autant de moi, autant d’abandon à Victor, qui me connaissait pourtant si peu.

Je me suis laissée aller au plaisir qui envahissait maintenant tout mon corps. Tous mes muscles se sont mis à trembler d’un coup, j’ai senti des petites contractions sur mon anus venir remercier les à-coups de la queue de Victor.

« Laissons-la se reposer un peu» a proposé Guillaume. Il savait qu’après un orgasme, j’avais besoin d’un peu de temps pour reprendre mes esprits.
Je devais d’ailleurs faire peine à voir : ma vision était encore un peu trouble et je souriais béatement, shootée aux endorphines et à la dopamine. Une vraie droguée.

J’ai contemplé les corps presque nu (Victor avait conservé sa chemise tout du long, certainement par pudeur) de mes deux mâles, de mes deux chevaliers servants et ma mine réjouit les a fait sourire à leur tour.

« Bon ! Qu’est-ce qu’on va faire de ces deux queues bien bandantes ? Et si, elles se finissaient dans ma bouche ? » ai-je proposé, enjouée d’avance par un final que j’appréciais particulièrement. Les deux compères sont venus secouer leurs gros morceaux de chair à quelques centimètres de mon visage.

Victor en a profité pour enfourner une nouvelle fois sa queue dans ma bouche. Et je l’ai pompée avec plaisir sous l’œil complaisant de mon mari. Puis, j’ai ouvert bien grand la bouche en tirant la langue, dans une attitude de salope qui les a aguichés de plus belle. C’est Guillaume qui est venu le premier, certainement plus habitué aux trios.

Il m’a aspergée le palais et la langue de son foutre chaud et salé. J’ai tout gardé en bouche et me suis retournée vers Victor pour qu’il vienne compléter ma gorgée.

Ce dernier s’est encore astiqué pendant quelques secondes, puis tout d’un coup m’a balancé un premier jet à la figure qui a atterri sur mon menton. Heureusement, il a réussi à mieux viser pour les autres et ma bouche était à présent emplie de leur nectar. J’ai bien avalé le tout en une grosse gorgée bruyante et en rattrapant les gouttes perdues sur le coin de mes lèvres et de mon menton. « C’est une bonne petite cochonne ça, c’est bien » m’a félicité Guillaume avec tendresse.

« Bon, on se boit une bière et vous terminez la lettre de motivation ? » Guillaume était déjà revenu sur Terre alors que moi, je planais encore de nos délicieux ébats.

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru