String, nuisette et porte-jarretelles

La rédaction 21 mai 2020

Amel, 25 ans.

Salut à tous, je m’appelle Amel et je voulais raconter ma dernière rencontre cul du moment, je pense que cela peut intéresser votre magazine. Il s’appelle Éric et a cinq ans de plus que moi. On s’est connu lors d’une soirée chez une amie, un anniversaire surprise, pour elle comme pour moi puisque pour la première fois de ma vie, je suis rentrée avec le mec le plus mignon de la soirée. Dès les premiers instants et les premiers baisers, Éric s’est montré très attentionné, faisant preuve de beaucoup d’écoute et de beaucoup de tendresse. J’aimais bien, ça me changeait de la plupart des autres garçons qui avaient terminé leur nuit dans mon lit et qui se comportaient comme des toquards.

La première fois avec Éric me revient comme un bon souvenir mais rien d’exceptionnel non plus. Il m’avait fait quelques préliminaires assez agréables : un cunnilingus pour commencer puis il avait enchaîné avec une masturbation assez sommaire, mais efficace ! Suffisamment en tout cas pour que je mouille et que mon vagin ouvre ses portes à sa bite (qui était assez grosse). Il avait un peu de mal à bander alors il a fait quelques allers-retours puis il s’est arrêté. « Je peux te masturber jusqu’à ce que tu jouisses, si tu veux… » m’a-t-il proposé comme alternative, dépité par sa demi-molle pendante. Je lui ai dit que ça allait, et on s’est endormi dans les bras l’un de l’autre sans autre forme d’érotisme.

La seconde fois que l’on s’est vu, il m’avait apporté un ensemble de lingerie très joli ! Il m’a expliqué qu’il aimerait que je le porte et que je défile devant lui. Je me suis prêtée à son petit jeu bien volontiers – j’adore être le centre de l’attention – et j’ai marché comme une chaudasse dans son petit porte-jarretelles. Je mimais des positions assez osées, à quatre pattes le cul bien relevé ou les jambes en l’air et bien écartées.

Là, j’ai vu sa longue tige se durcir à vue d’œil ! Il en a profité pour venir très promptement me prendre en levrette, de peur peut-être que son érection faiblisse. Pour être tout à fait franche, c’était un peu douloureux d’être pénétrée de cette façon, sans lubrifiant, sans préliminaire, sans doigt pour pouvoir se dilater au préalable. Mon sexe a bien mis quelques minutes avant de s’habituer à ce diamètre assez conséquent. Comme Éric voyait que je soufflais assez fort, il a eu la présence d’esprit de masser mon petit clitoris en même temps, histoire d’atténuer la douleur. Et là, j’ai commencé à vraiment prendre mon pied ! Voyant mon corps trembler de plaisir au rythme de ses coups de reins, il s’est retiré et a éjaculé sur mes sous-vêtements tout neufs.

J’aurais pu penser que c’était une bonne chose s’il ne m’avait pas fait le même coup lors de notre troisième et quatrième rencontre. Éric sonnait toujours à ma porte avec de la nouvelle lingerie fine entre les mains : un petit string en dentelle ou encore une nuisette transparente.

Je dois lui concéder qu’il avait vraiment du goût en la matière mais je trouvais son attitude un peu bizarre : je n’étais pas le genre de femme qui aimait être couverte de cadeau, j’ai toujours pensé que cela compensait autre chose.

Éric m’a avoué récemment que ça l’aidait à s’exciter, que grâce à ces petits accessoires il bandait mieux ! Depuis, je comprends pourquoi il agit comme ça et je suis impatiente de le recevoir chez moi la prochaine fois, un petit sac rose enrubanné à la main.

Je ne sais pas si cela concerne beaucoup d’hommes, mais en tout cas messieurs, si vous avez certaines fixations, n’hésitez pas à en parler à votre copine. Je suis sûre qu’elle comprendra et vous acceptera comme tel, comme cela a été le cas pour moi…

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

Elle avait un « petit truc en plus »

« Je l’ai pris dans toutes les positions, allant et venant dans son étui anal, le dominant, lui montrant ainsi que j’aimais le posséder et que j’étais son maître, ce qu’il semblait désirer plus que tout. Il adorait se donner à moi. De sa queue raidie n’arrêtait pas de s’écouler du sperme tant sa jouissance était puissante. » G., 30 ans.

Bon voyage !

« Et, tout à coup, sans crier gare, mon voisin a agrippé ma main et l’a posée sur sa queue palpitante. J’ai senti une chaleur soudaine, une chair étrangère sous mes doigts, mais je n’ai pas retiré ma main. Au contraire, j’ai resserré mes phalanges autour de son organe qui a aussitôt explosé. Deux petits jets, puis une troisième belle giclée de jus mousseux, quelques secondes après.« Stephanie, 40 ans.

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru