Nationale 7, une route qui fait recette !

Nanou Redacteur 10 février 2022

Samuel part vers le Sud et croise un couple en détresse. Le remontage d’une roue se transforme en véritable séance de démontage dans un plan à 3 torride !

Cet été j’ai décidé de partir en vacances dans le sud “à l’ancienne”, en empruntant la nationale 7 au lieu de la monotone Autoroute du soleil, et bien m’en a pris. Je m’étais concocté un petit itinéraire entre visites touristiques et étapes gourmandes. Ma femme et mes enfants étaient chez mes beaux-parents, j’avais tout mon temps.

Je m’appelle Samuel et voici mon histoire de sexe !

Un couple en détresse ?

Je les ai croisés un peu après Montélimar. Élodie et Fabian étaient arrêtés sur le bas-côté avec deux des pneus de leur voiture crevés. Et visiblement ni elle ni lui n’avaient de prédispositions quant à la mécanique. J’ai mis les warnings et je suis allé leur apporter mon aide. Par chance nos véhicules étaient les mêmes, j’ai donc remonté mes manches, sorti ma roue de secours ainsi que la leur, deux coups de cric plus tard, tout était arrangé.

Pendant que je réparais je les avais entendus échanger des messes-basses et Élodie m’avait frôlé à plusieurs reprises. Etant accroupi j’avais pu admirer ses longues jambes lisses et même un peu plus haut… Je ne m’étais pas caché de la regarder et elle ne semblait pas s’en être offusquée, bien au contraire.

J’étais en sueur et elle m’a tendu un mouchoir pour m’éponger le visage. Mais ces derniers ont rarement deux trous pour laisser passer les cuisses. Je me suis rendu compte que je m’essuyais de fait, avec sa culotte ! Elle m’a balancé un clin d’œil et a relevé vite fait sa mini-jupe, j’ai eu le temps de bien voir sa jolie chatte, épilée, bronzée et déjà bien gonflée de désir.

Je me suis mis à bander ! Je n’osais pas regarder Fabian, je ne comprenais pas bien ce qui se passait en réalité.

Ils m’ont invité à aller chez eux me rafraîchir et prendre une douche si je le voulais. J’ai accepté en me demandant dans quel traquenard j’étais tombé, mais la belle Élodie avait des arguments… convaincants.

Un rafraichissement très chaud !

J’ai dû boire un demi-litre d’eau arrivé sur place et me laver m’a rendu toute mon énergie. J’ai rapidement enfilé mes vêtements de rechange et je suis sorti de la salle de bain pour trouver mes deux naufragés de la route en train de s’envoyer en l’air sur le canapé du salon.

Élodie m’a fixé, l’affaire était entendue. J’ai retiré tout ce que je portais sur moi et je les ai rejoints.

Fabien, totalement imberbe, faisait jeune ado à côté de moi et ma pilosité fournie et je ne parle pas de son sexe. Il faisait figure de maquette en comparaison du mien. Élodie était en train de le sucer, je me suis rapproché d’eux et elle a avalé ma queue. Elle me pompait en émettant des « hummmm » comme si elle savourait mon mandrin. Je me suis mis à bander à mort, elle s’y prenait vraiment bien la petite garce. Elle savait y faire, nous fixant Fabian et moi chacun notre tour.

Son sourire extatique s’est bientôt mué en un rictus simiesque lorsque ma grosse bite l’a prise enfin. Cette gamine de vingt-cinq ans était faite pour la baise, pas de doute. Une affamée, s’offrant tout entière, avide de ma verge comme de celle de son compagnon. Elle voulait qu’on la touche, qu’on la lèche, qu’on la suce, qu’on la caresse, bref, qu’on la fasse jouir.

Son corps était comme un aimant, absorbant mes coups de reins, les appelant encore et encore. Fabian, lui, nous tournait autour, photographiant le visage d’Élodie en train de prendre son pied, de ma bite allant et venant dans sa fente ouverte pour mieux revenir se faire turluter en fermant les yeux.

Par tous les trous

Le salon était empli des bruits du sexe… Lorsque ce dernier ne s’encombre pas des sentiments, salive, mouille, grincements du canapé, grognements animaux, souffles rauques… Ça sentait la sueur, la chatte, la chaleur humide de la friction au creux de ce con serré, l’excitation sexuelle et l’exacerbation des sens.

À chaque orgasme Élodie recrachait la queue de Fabian pour s’égosiller en hurlements ou en râles. Les cuisses tremblantes, les yeux révulsés. Elle me griffait, comprimait le pauvre pénis de son homme dans sa main. Je n’avais jamais vu une jouisseuse aussi absolue, aussi libre de s’abandonner en toute impudeur.

Elle agrippait les poils de mon torse pour m’amener à elle et me rouler des pelles mouillées. Elle se tortillait comme un petit lézard pour venir laper son ambroisie de plaisir sur ma hampe veineuse avant de m’offrir son cul. Le corps prosterné, seins contre le sofa, fesses ouvertes vers moi. Elle se glissait un ou plusieurs doigts dans tous ses orifices, pour finir par guider ma large masculinité dans son anus.

J’ai eu la chance de sodomiser quelques femmes dans ma vie, mais, le plus souvent, elles me l’avaient permis comme un cadeau. L’histoire, ici, était tout autre. Elle adorait clairement se faire défoncer par-derrière. Doux et lent au départ, j’ai senti l’anneau céder… Se dilater pour devenir une sorte de ventouse qui aspirait ma bite lorsque je me retirais. J’ai attrapé les hanches de cette démone et je l’ai enculée jusqu’à la limite de mes forces. J’avais mal partout en vérité, mais je ne pouvais passer à côté de cet instant d’anthologie.

Un trio récurrent

Voir mon pieu aller et venir dans cet anneau qui s’enroulait et se déroulait au gré de mes coups de reins… Les couinements d’Élodie, sa jouissance à se laisser prendre le cul ainsi. J’étais en extase, j’avais l’impression d’avoir retrouvé mes vingt-cinq ans. C’est fou comme réussir à faire décoller sexuellement une jeune femme vous confère une fierté ridicule.

Fabian est arrivé au bout de sa résistance avant moi. Il a fermé les yeux. Je l’ai vu s’arquer sur la pointe de ses pieds et j’ai compris qu’il giclait au fond de la gorge de notre amante commune. Les joues d’Élodie se sont creusées puis elle a avalé le sperme qui venait d’être éjaculé dans sa bouche. La bite qu’elle a recrachée était une ridicule virgule flasque et insignifiante.

J’ai quitté la partie juste après. Élodie, excitée par cet abandon, a ondulé du bassin, s’empalant seule sur ma queue ! J’ai laissé le plaisir m’envahir à mon tour et j’ai tout lâché.

Je suis resté deux jours avec ce couple atypique. Lorsque j’ai retrouvé mon épouse, elle ne m’a pas reconnu, ma libido était redevenue ce qu’elle était au début de notre mariage. J’ai envie de faire l’amour avec elle tous les matins, tous les soirs. Je lui ai même proposé de sortir en boîte libertine. Malgré mes appréhensions, elle n’est pas contre l’idée.

Moi qui étais contrit de culpabilité, je ne rêve plus que de voir la femme de ma vie dans les bras d’un ou d’une autre.

(Source image à la une : Shutterstock)

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