Farah aime les sucettes

Nanou Redacteur 8 septembre 2023

Farah découvre la fellation en observant sa cousine. Après avoir été voyeuriste, elle deviendra LA championne de la pipe dans son université !

Je m’appelle Farah voici mon histoire de sexe ! Lorsque j’avais dix-sept ou dix-huit ans, j’ai surpris une de mes cousines en train de sucer un homme. Nous étions en vacances chez mes grands-parents au Maroc. Je savais ce que c’était qu’une pipe, j’avais vu quelques trucs pornos ici ou là… Mais rien de comparable à assister à une fellation de bout en bout, en vrai. Évidemment elle n’en a jamais rien su, mais je n’ai rien raté du spectacle.

Un premier plaisir voyeuriste

Le sexe tout mou, mais déjà assez gros du type ! Les caresses des petites mains de ma parente sur la hampe puis les coups de langues sur le gland circoncis. J’ai vu le pénis se gonfler ! Il était très courbé, ça m’a amusée, je pensais que toutes les bites étaient droites comme des i à l’époque. Une fois la queue en érection complète, Kenza a commencé à lécher le bout comme on le fait avec une glace.

Elle a avalé la moitié de la pine ! Commençant des va-et-vient avec sa tête pour faire ressortir le tube de sa bouche et l’avaler de nouveau. Le gars lui tripotait les seins sous sa djellaba ! Elle s’est arrêtée un moment, a enlevé sa tenue, elle était totalement nue dessous… Elle s’est accroupie pour reprendre sa tâche, les nénés triturés par les grosses mains velues.

Je ne pourrais dire combien de temps cela a duré. Moi je me suis masturbée, fascinée par le spectacle. J’avais envie de sucer cette queue autant que j’avais envie de palper les nichons ronds comme des melons de ma cousine.

J’ai vu d’un coup l’homme se crisper comme s’il avait mal. Il a pris sa bite à pleine main et s’est astiqué puissamment. Kenza a ouvert alors la bouche en grand et j’ai vu les filets de sperme fuser directement sur sa langue. Il y en avait une quantité incroyable ! Ma cousine a semblé goûter cet élixir comme s’il s’agissait du lait concentré sucré dont nous nous délections lorsque nous étions enfants. J’ai été radicalement stupéfaite et enthousiaste à l’idée que je puisse, moi aussi, un jour, prodiguer cette caresse.

Du plaisir en France aussi

J’allais entrer en fac de médecine à Orsay à l’époque et ce n’était ni les fêtes, ni les queues bien dures qui allaient me manquer. Tout était réuni pour que je devienne ce que je suis toujours aujourd’hui : une stakhanoviste du gamahuchage, comprenez, de la turlute ! Et j’en ai fourbis du candélabre !

Dès mon retour à Paris lors de la rentrée universitaire, je me suis mis en quête… de ma première quéquette ! Il ne m’a pas fallu plus d’une journée pour trouver une proie. J’ai fait les yeux doux à un jeune dans l’amphi, dix minutes plus tard, je lui suçais le poireau dans les toilettes ! J’en ris aujourd’hui, mais je m’étais entraînée (après avoir maté ma cousine suceuse) avec de grosses carottes que je dérobais dans le bac à légumes… Toute la fin des vacances en prenant bien soin de ne pas laisser de marques de dents sur ces phallus végétaux.

Je me souviens de son prénom ! C’est drôle, ça ne s’invente pas, Aimé. Lui avait une queue bien droite, assez fine mais longue. Elle était comme un gressin, ces longs bâtons apéritifs italiens. Sans veine apparente et avec une grosse touffe de poils blonds à la base. Je n’ai pas eu besoin de faire quoi que ce soit pour lui faire prendre du volume. Aimé bandait déjà bien dur quand j’ai extrait sa pine de son slip. Je l’ai sucé bien moins longtemps que ce que j’avais vu ma cousine faire.

Peut-être trois minutes après avoir commencé, le garçon se répandait en geignant dans ma bouche. Sa sève était épaisse et assez amer. Cela ne m’a pas dérangé. J’ai découvert ensuite qu’il y avait autant de textures et de goûts qu’il y avait de producteurs !

Une suceuse prolifique

J’ai commencé par ma promo, je suis ensuite allée chasser dans les plus anciens jusqu’aux internes et bien évidemment lors de mes stages en hôpital.

Je me souviens encore de ce grand professeur, le jour de son anniversaire de mariage, je l’ai pompé sur une table d’opération sous le scialytique. C’était drôle de voir sa queue et mon visage penché dessus sans aucune ombre. Il avait un appareil génital aussi démesuré que son ego ! J’ai failli m’en luxer la mâchoire. En revanche, son foutre était sucré et crémeux, un vrai régal.

Depuis je suce à domicile comme sur mon lieu de travail. Ce ne sont pas les membres masculins qui manquent. Soit je les butine entre deux consultations, soit je ramène du “travail” à la maison.

Au fil du temps j’ai fait une jolie collection de photos de mes pipes. J’ai avalé des quantités de semences, de tous les goûts, de toutes les consistances ! J’ai bien évidemment affiné ma technique. Je sais agacer idéalement le frein sous le gland, passer ma langue sous les couilles lorsque je pratique une gorge profonde. Je lèche l’anus de mes partenaires pour remonter lentement sous la hampe avant de gober toute la banane dans ma bouche.

Un tourisme particulier

J’ai vu des bites africaines, asiatiques, maghrébines, franchouillardes, belges, allemandes, sud-américaines… même deux tahitiennes, en même temps.

Quel plaisir de devenir experte en la matière, et plus besoin de chasser : le bouche à oreille fonctionne à plein régime. Surtout dans la communauté black (Antilles et Afrique). Je suis la pipeuse qu’il ne faut surtout pas rater si on veut un travail d’excellence et une jouissance hors pair.

Les hommes défilent, la queue à la main, pas d’âge, pas d’origine ethnique, je veux de la bite, de dix-huit à soixante-douze ans (c’est mon petit record gérontophile, avec un mandrin d’une vigueur incroyable !)

Qu’il est doux de savourer la victoire quand on sent le liquide salé couler sur sa langue. Puis les premières gouttes de liquide séminal arriver sur le palais avant l’éruption de l’éjaculation. Certains m’ont même demandé de les sucer deux fois de suite à moins d’une heure d’intervalle, j’avoue que le défi est plus important, mais la récompense moins gratifiante, le sperme est toujours en moindre quantité et plus fade.

J’ai trente-deux ans et j’ai un beau tableau de chasse à mon actif, je ne suis plus vierge depuis longtemps, mais j’avoue que mon grand plaisir, c’est sucer une belle queue bien dure et en extraire tout le jus pour ensuite me masturber en continuant de lécher mon appendice masculin favori.

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