La petite stagiaire beurette
2 juillet 2021Je m’appelle Khadidja, j’ai 19 ans et je suis ce qu’on appelle « une petite beurette », une jeune femme issue de l’immigration en d’autres termes. Je vis dans les Yvelines et j’y ai poursuivi des études de commerce. Dans le cadre de mes études il m’a fallu trouvé un stage, j’ai donc envoyé des CV, plus d’une centaine, et les retours étaient tous négatifs. J’ai donc changé de tactique et je suis allée directement déposer ma candidature en personne dans les entreprises. C’est là que pour la première fois j’ai rencontré Marc. Lui s’est totalement fichu de mon patronyme à consonance arabe et m’a reçu très gentiment en entretien. Dix minutes plus tard je repartais avec ma convention signée ! Je vous partage mon histoire porno.
Découvrir le milieu
Un stage dans un des plus grandes majors de l’assurance, ça aide toujours dans son parcours professionnel. À la date du stage je me suis présentée au bureau, habillée sobrement, robe au-dessus du genoux, petit chemisier et une veste noire. Marc m’a accueillie, présenté aux deux filles de l’équipe et, étant l’animateur commercial de l’agence, m’a prise sous son aile. J’ai rapidement appris les bases et aussi qu’il était marié à une maghrébine, c’est sans doute à cela que j’ai obtenu mon stage ! Il attendait un heureux événement. Pour moi c’était mon patron et « un vieux » j’avais dix-neuf ans, il en avait vingt-sept. Le printemps s’annonçait superbe et nous avons commencé à sillonner le département en long, en large et en travers. Les rendez-vous se succédaient et Marc était une boule d’énergie, faisant rire tous ses clients et moi avec. J’ai commencé à le regarder différemment, il était gentil, prévenant avec son équipe et hyper respectueux des femmes.
Il ne jugeait personne et, grâce aux quatre mots d’arabe qu’il parlait, avait une cote pas possible avec la population d’origine marocaine, tunisienne ou algérienne. Vous vous en doutez, la différence d’âge a commencé à s’estomper dans mon jugement et j’ai commencé à fantasmer sur ce grand brun aux yeux bleu océan. Mais j’avais un petit copain, lui était marié et attendait un gosse, autant vous dire que j’étais sûre qu’il ne se passerait rien entre nous. Il avait l’air fidèle et ne laissait rien paraître malgré tout, il y avait de plus en plus de contacts entre nous, je suis très tactile, je lui remettais son col où posais la tête contre lui lorsqu’il sortait une vanne qui me faisait exploser de rire. Lui portait sa main dans les cheveux, me caressais la joue tendrement ou encore me prenait la main pour m’installer dans la voiture dont il le tenait la porte ouverte.
La première approche
Quinze jours avant que mon stage se termine, nous rentrions de rendez-vous et Marc s’est garé un peu loin de l’agence. Nous étions plongés dans une discussion très personnelle. Lui se plaignait de son épouse et de ses récrimination perpétuelle, moi de mon copain immature qui ne m’apportait rien. Il s’est alors penché lentement sur moi, je me souviendrai toujours de ce premier baiser. Il a approché doucement son visage du mien, me laissant tout le temps de détourner la tête pour refuser ses lèvres. S’il avait su comme j’attendais ce moment ! Nos bouches se sont soudées l’une à l’autre et nous nous sommes embrassés avec fougue, presque avec précipitation. Puis nous en avions envie tous les deux ! Le reste de l’après-midi s’est déroulé dans un climat de tension extrême, nous n’avions qu’une seule envie, nous retrouver seuls. Ses collaboratrices sont enfin parties, il a fermé l’agence et nous nous sommes jetés dans les bras l’un de l’autre.
Il était déjà tard mais nous avions le temps de nous rapprocher un peu. Ce soir-là, il ne s’est rien passé de sexuel à proprement parlé, nous nous sommes embrassés encore et encore, il a caressé mes fesses, mes seins, que j’ai fini par sortir de mon corsage. Il me les a sucé avec une délicatesse et une maîtrise, qui m’a totalement fait fondre (au sens propre comme au sens figuré). Mon string était chaud et trempé entre mes cuisses, mes seins étaient réactifs à l’extrême ! Il avait une attirance envers mon corps, il me disait que j’étais sa déesse. J’étais déjà au septième ciel… Il m’a raccompagnée et nous nous sommes encore embrassés avant que je rentre chez mes parents.
Le lendemain matin il est venu le chercher, les baisers se sont succédés, il a glissé sa main dans mon soutien -gorge et a pincé doucement mes tétons roses, les faisant rouler à m’en rendre folle. J’ai osé, pour la première fois, poser ma main sur la bosse de son pantalon, il bandait dur et je sentais sa queue tressaillir sous les caresses. Mais il fallait y aller, nous avons ouvert l’agence, il m’a préparé mon thé, pour lui son café et nous avons bossé en attendant l’arrivée des filles de l’agence. Le déjeuner tous ensemble a été joyeux et à quatorze heure nous sommes partis en rendez-vous. En réalité, nous avons pris la direction de la maison de ses parents qui était inhabitée. A peine rentré, nous nous sommes jetés l’un sur l’autre et nous avons gagné l’étage en montant les marches quatre à quatre ! Je me suis jetée sur le lit, Marc m’a rejoint. « Tu es belle Khadidja, tu es sûre que tu as envie de moi !? » Pour toute réponse je l’ai fait tomber sur moi en le tirant par sa cravate. Nos langues ont dansé tandis qu’il me déshabillait.
Un homme mature
Il s’est figé lorsque j’ai été nue dans la pénombre de la chambre ! J’ai été affolée, quelque chose n’allait pas !? Je ne lui plaisais pas !? Mais je me fourvoyais, c’était tout l’inverse, j’ai vu son regard, il avait le regard de ces amateurs d’art lorsqu’ils s’émerveillent devant une œuvre qui les bouleverse. Il m’admirait réellement ! Genre au début, j’ai vu tout à la fois dans ses yeux le respect, le désir, l’admiration et la gourmandise ! J’ai mouillé comme une folle sur le champ ! Il s’est levé, s’est déshabillé et m’a rejoint sur le lit, son corps était brûlant, il a collé son torse contre moi et mes seins ont été électrisé par ce simple contact.
Il a glissé le long de mon corps, je soupirais de désir, sa respiration à lui était profonde, il le humait. « J’aime les parfums de ton corps Katy (mon diminutif), tu me rends fou ! » J’ai renversé la tête en arrière et j’ai fermé les yeux, la pudeur de mes dix-neuf ans le disputait au désir animal que je ressentais pour cet homme mûr. Il a sucé mes seins avec application, longtemps, ses mains dessinaient les courbes de mes hanches, il prenait son temps et faisait grimper nos désirs mutuels en flèche. Mon petit copain était plus rapide, moins doux. Entre les mains de Marc j’avais l’impression d’être une déesse grecque ! Je voulais lui donner du plaisir, je souhaitais tout lui donner de moi !
Il est descendu sur mon ventre, l’a couvert de baisers, il est remonté à la source de mes baisers et m’a roulé une pelle d’une sensualité folle ! Je ne m’appartenais plus. Il a calé un oreiller sous ma tête, toujours aux petits soins, et est allé rejoindre ma fournaise humide ! C’était le deuxième homme à me prodiguer cette caresse, sachant mon petit ami du moment était aussi jeune que moi et qu’il se prêtait à cette caresse plus par convenance que par réel plaisir. Mais là ! Là ! J’ai découvert ce dont un homme qui aime les femmes est capable. Le temps s’est allongé, il a commencé par embrasser mes cuisses, remontant lentement vers ma chatte. Il a ensuite parsemé mon sexe de ses doux baisers, donnant de tout petit coups de langue ici ou là … sur mes lèvres, sur le capuchon de mon clitoris, à l’orée de mon antre humide. Je le sentais me goûter tout en faisant grimper mon désir à son paroxysme.
Jamais on ne m’avait prodiguée telle caresse ! J’étais une boule de désir condensée, le centre de gravité de mes pensées était désormais sa langue sur ma fente… Et Marc m’a rendue Femme. Bien-sûr je n’étais pas vierge, mais être ainsi portée au nue par un homme si amoureux de LA Femme c’est une toute autre histoire que de se déniaiser avec un adolescent mal dégrossi. Il a ouvert mes cuisses, j’ai enlevé les draps qui retenait les dernières traces de ma pudeur, j’ai penché la tête, je voulais regarder cet homme fou de mon sexe et qui le léchait avec amour, déférence, délectation. Il a ouvert mon sillon poisseux d’une mouille épaisse en élargissant sa langue, je sentais son parcours millimétré par millimètre. Puis il a ouvert mes nymphes de ses doigts et dégageant mon clitoris et s’est mis à agiter la langue à une vitesse folle. Il variait rythme et pression, j’avais l’impression que mon bouton prenait vie !
La première ivresse est arrivée comme un flash. Les doigts de Marc se sont frayés un chemin dans mon intimité serrée. Il a fait quelque va-et-vient dans mon creuset de chair et j’ai joui comme jamais je n’avais joui. Mon vagin s’est contacté spasmodiquement sur ses phalanges engluées dans le plaisir qui s’échappait de moi. « Baise-moi ! Défonce-moi ! » me suis-je entendu lui dire, lui crier ! Il m’a retournée et j’ai su son désir instinctivement. Je me suis positionné en levrette et j’ai cambré les reins au maximum.
Il s’est positionné derrière moi et a écarté les globes voluptueux de mes fesses sans me pénétrer. J’ai senti ses yeux sur mon intimité, jamais aucun homme ne m’avait ainsi détaillée aussi crûment. « J’aime quand tu me regardes, ça me gêne et en même temps ça m’excite ! » Il a posé son gland à l’entrée de ma chatte et je me suis reculée lentement, m’empalant sur son membre dur et chaud. Ses mains saisissaient mes hanches et Marc m’a baisé comme sa vie en dépendait ! Sa queue entrait et sortait de mon con, je sentais l’air frais s’infiltrer quand il sortait et la brûlure divine de ses coups de boutoir lorsqu’il entrait de nouveau en moi avec force, jusqu’à la garde ! A chaque coup de rein, on entendait le claquement sec de son bas-ventre contre les fesses fermes ! Je hurlais de plaisir et je l’encourageais à me baiser encore et encore !
Marc a été le premier à caresser mon anus aussi ! Toujours cambrée à l’extrême il voyait ma petite étoile qu’il a été étonné de découvrir rose comme mes aréoles ! Je n’avais jamais laissé mon copain me faire ça mais la situation était folle et je sentais que cela lui plaisait ! Je lui ai lancé « Fais-moi ce que tu aimes ! Fais-moi ce que tu veux pour jouir ! » Cela a été aussi le séisme que je lui adressais lorsque je sentais qu’il avait envie de me sodomiser, pratique à laquelle Marc m’a également initiée !
Son pouce est entré doucement dans mon anneau secret en mouvements concentriques, sa queue me fouillait avec toujours autant de vigueur. J’ai glissé une main timide entre ses cuisses et j’ai caressé ses couilles serrées du bout des ongles ! C’était la clef de son plaisir ! Il a poussé sa bite à fond au fond ma chatte, son pouce m’a enculé, je n’ai pas cessé les effleurements de mes doigts sur ses bourses et j’ai senti la crispation de ses mains sur mon cul écarté ! Il a hurlé et giclant puissamment au fond de moi, son sperme coulait de mon vagin et maculait les draps !
C’était fort ! Pour lui comme pour moi ! Il s’est retiré, son sexe ne débandait pas ! Il m’a allongée sur le dos, mes jambes se sont retrouvées sur ses épaules, la danse effrénée de sa queue a repris dans mon sexe ouvert ! Il m’a emportée vers un second orgasme ainsi, plus profond, plus subtile … Petit à petit nous avons instauré nos rituels. Descendre à la salle de bain pour se doucher, désormais je pouvais être nue en plein jour devant lui, cela ne me gênait pas bien au contraire ! Parfois l’un de nous avait de nouveau envie et nous remontions pour une nouvelle joute ! C’est le premier homme que j’ai sucé ! Jusque dans sa voiture lorsqu’il conduisait pour aller à un rendez-vous … Mon stage s’est terminé avec des appréciations de mon tuteur, plus que dithyrambiques, Marc a même obtenu de mon établissement que j’effectue mon second stage avec lui ! Chose exceptionnelle ! Nous avons bien évidemment continué nos agapes … peut-être vous les raconterais-je bientôt ? Qui sait …
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