Plusieurs giclées avec mon polonais !

La rédaction 6 avril 2024

Sophie, 45 ans, Nantes, nous raconte son aventure cochonne dans sa jeunesse lorsqu’elle est partie en Pologne.

Quelle surprise en voyant qui était l’expéditeur d’un message privé reçu sur un réseau social ! Friedrich ! Nous avons été amants il y a de cela vingt ans lors d’un de mes séjours en Pologne. Je n’avais pas pensé à lui depuis un moment, aussi ai-je été ravie de lui répondre. S’en est suivi tout un déballage de nos frasques de l’époque, nos sorties, nos excès et, bien sûr, nos parties de jambes en l’air ! Nous étions jeunes, très portés sur la chose (je le suis toujours !), en revanche j’avais totalement oublié que nous avions pris des photos ! C’est en faisant du tri qu’il est tombé sur de vieilles pochettes, il m’a proposé de les scanner et de me les envoyer. Quel choc lorsque je les ai reçues ! Cette baise en particulier m’est revenue tout de suite en mémoire et j’ai mouillé ma culotte rien qu’en y repensant. Voici mon histoire de sexe.

Sacrée mouille !

Je me souviens de tout précisément, je venais de visiter le MNW, le musée national de Varsovie et plusieurs œuvres avaient mis le feu à mon désir. Dès que j’ai franchi le seuil de l’appartement, je me suis déshabillée dans un désordre monstre et je suis apparue totalement à poil dans le salon, un délicat filet de cyprine reliant ma chatte à l’une de mes cuisses. Je mouillais tellement que je flaquais sur le sol.

Friedrich n’a pas eu besoin de dire un mot ou de faire un geste, je me suis agenouillée devant lui, assis dans le canapé, j’ai enlevé son jean et lui ai fichu la bite à l’air. Je n’ai pas eu à le sucer beaucoup avant qu’il bande comme un renne. Il avait une bonne queue je me souviens et, pour ôter tous les doutes, il triquait effectivement tel un Polonais ! Bien dur et très, très longtemps ! Après cette fellation préparatoire, je me suis allongée sur lui, de son côté il était totalement dingue de mes gros nichons aux pastilles larges et très sensibles. Je m’amusais souvent à lui agacer le frein avec le bout de mes tétons ou à frotter ceux-ci sur son dos ou son torse.

Une queue jouissante

Nous n’avions pas bougé du canapé pour cette partie de sexe intense, après l’avoir turluté, nous avions inversé les rôles et les places, de suceuse, je suis devenue léchée et doigtée. Il avait un appendice très large et très mobile qui faisait des merveilles sur mon clitoris et mes nymphes. Il arrivait à les aspirer dans sa bouche et à créer un tel mouvement de pompe que je jouissais à tous les coups ! Cette fois-là n’avait pas échappé à la règle et je m’étais répandue en de longs jets liquides et chauds qui avaient imbibé le tissu gris anthracite du sofa. J’étais vraiment brûlante comme un brasero, j’ai demandé à Friedrich de se rasseoir pour venir m’empaler sur son gourdin viril et rigide à l’extrême. Mon bon gros fessier bien bombé en arrière, je l’ai laissé diriger son gland encore recouvert de ma salive. Dès que j’ai senti son contact à l’orée de ma chatte, je me suis balancée à reculons et j’ai avalé le membre d’un seul coup, jusqu’à la garde !

Bien calée, les jambes bien écartées et les pieds en appui sur la moquette épaisse, j’ai pu chalouper aisément des hanches pour me baiser à fond, excitée de surcroît par la vue que j’offrais à Friedrich qui me décrivait la scène en temps réels. Il louchait sur mon cul, mon petit trou a toujours été l’objet de toutes les attentions des garçons. Mignon entonnoir bien lisse et d’un rose soutenu, il est très souvent matière à diverses intrusions, godes, doigts quand ce n’est pas une queue entière qui y fourre son nez !

De grosses giclées de sperme !

J’ai joui lorsqu’il m’a plongé son pouce dedans. Il m’a crocheté le cul et m’a ouvert l’orifice en l’élargissant, cela m’a séchée sur place, le ventre plié en deux tellement mon orgasme a été violent. Je ne pouvais plus tenir sur mes gambettes, il a dû finir tout seul. Je me suis laissé couler sur le canapé, j’ai de nouveau écarté les cuisses, il a pris plusieurs clichés de ma minette puis m’a pénétrée en missionnaire avec des mouvements très lents, capturant la scène de sa bite épaisse fouissant mon doux con imberbe.

Quand il a senti qu’il allait jouir, il s’est retiré et toujours à gestes mesurés s’est branlé au-dessus de mes seins. Je voyais sa main puissante aller et venir très sensuellement, tirant son prépuce loin vers lui ce qui donnait un angle parfait à son beau gland qui suintait de perles brillantes. Et son sperme a jailli, plusieurs giclées qui sont parties consteller ma poitrine. Il a fini de presser son gros fruit entre mes lèvres et je me suis régalée des dernières gouttes de sa crème liquide. J’espère que ma lettre sera publiée, j’enverrai un exemplaire d’interstron.ru à mon ancien amant !

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