Le restaurant des plaisirs
18 novembre 2021Je m’appelle Cécilia, j’ai 28 ans et j’aimerais partager une petite histoire porno qui m’est arrivée dernièrement, lors d’une soirée entre amoureux.
Mission photo
Mon ami m’avait invitée dans un resto loin de chez nous, ce qui m’a tout de suite paru assez bizarre. Comme d’habitude lors de ces soirées, j’avais fait un effort côté « sexytude ». J’avais enfilé une robe blanche, courte, toute simple et un body blanc orné de croix rouges bien placées… Après un repas de qualité médiocre, il m’a glissé un petit message sur lequel était écrit : « Ta mission de ce soir : te rendre dans les toilettes au fond à gauche avec ton sac. T’asseoir sur le trône, prendre une photo de tes cuisses avec les jambes largement ouvertes, puis écarter la culotte ou le string pour en faire une autre. Ensuite, défaire ton haut et prendre tes seins en photo. Enfin, habille-toi et attend qu’on vienne frapper à la porte. »
Je me suis donc rendue aux toilettes et j’ai compris pourquoi il m’avait conseillé les wc de gauche. Ils permettaient d’être plus à son aise. J’ai pris les photos tant bien que mal. J’angoissais que quelqu’un ne remarque le flash, car les cabines des toilettes n’étaient pas fermées jusqu’en haut. J’ai entendu frapper à la porte cinq bonnes minutes après. J’ai éteint la lumière, fermé les yeux et tiré le loquet. Il m’a demandé de lui montrer les photos et a susurré dans le creux de mon oreille : « Tu as choisi une si belle tenue pour ce soir, ça mérite bien une récompense en nature.« Joignant le geste à la parole, il s’est positionné dans mon dos et a couvert ma nuque de suçons. La température commençait à monter, ses mains ont glissé le long de mes cuisses et ont soulevé ma robe. Il a posé l’appareil et nous a pris en photo avec le retardateur.
J’ai senti sa bite dure se caler contre mes fesses. Sa main a atteint mon entrejambe et a caressé mon pubis. Il a ensuite tiré sur l’échancrure de mon body, s’est agenouillé et a commencé par lécher mes tibias, mes genoux, mes cuisses… Mes jambes se sont écartées et il a saisi mes deux fesses pour les malaxer énergiquement pendant qu’il bouffait l’intérieur de mes cuisses. Il a tiré encore plus fort sur mon body et a plongé la tête sur mon minou bien baveux. Sa langue glissait sur mes grandes lèvres et venait s’acharner sur mon clitoris.
Après quelques minutes de ce traitement, il a violemment baissé les bretelles de ma robe et écarté le haut du body. Il a attrapé mes seins à pleines mains. Mes tétons étaient durs à couper du verre. Il les triturait sans relâcher son attention pour mon minou. Il me ravageait les sens. De temps à autre, il étalait ma mouille sur ma poitrine et tortillait mes bouts de sein avec. Lorsqu’il a faufilé un doigt puis deux dans ma chatte, je me suis mise à haleter et j’ai été prise d’un orgasme fulgurant. Il m’a forcée à m’agenouiller devant lui, et sa bite dressée s’est posée sur mes lèvres. Je n’ai pas ouvert la bouche et je l’ai branlé d’une main. Il s’est vidé sur mon visage. J’ai goûté son sperme du bout de la langue et je m’en suis pourléché les babines. L’abondante liqueur dégoulinait le long de mon menton. Il m’a essuyée avec du papier et m’a collée contre le mur pour me pénétrer par-derrière.
Même s’il avait déjà déchargé, son pal était encore solide comme l’acier. Il m’a prise de plus en plus fort, ses couilles venaient se balancer entre mes jambes, je me sentais partir. Je me mordais l’intérieur des joues. C’était trop bon. J’ai alors entendu une voix d’homme de l’autre côté de la porte : « Dites voir, moi aussi j’ai une sacrée envie, dépêchez-vous s’il vous plaît. » Mon homme m’a regardée dans les yeux et a répondu au type : « Entrez, je vous laisse la place. » Je me suis cachée comme je pouvais derrière mes vêtements. Mon ami a chuchoté : « Éclate-toi comme tu veux avec lui ce soir, tu as quartier libre. Je lui ai parlé de toi, et il est compris dans ton menu. » Visiblement, j’étais plus gênée que l’inconnu qui a proposé de me faire visiter les cuisines du restaurant.
Une visite des cuisines
Dans la salle, les derniers clients étaient en train de partir, ainsi que mon jules d’ailleurs ! J’ai suivi le mec, et il a fermé la porte des cuisines à clé derrière nous. Sur la table en inox, il restait encore des légumes et des outils du service. Il m’a versé une goutte d’un alcool très fort qui m’a fait tousser. Il rigolait.C’était un homme du genre rustique dans son apparence et dans ses manières. Il s’est approché de moi et a murmuré des obscénités dans mon oreille. « Alors comme ça, il paraît que tu aimes te faire sauter par des inconnus, hein ? Ben, je vais t’aider à réaliser ton fantasme, moi, petite cochonne ! »
Il me pelotait déjà les seins et les fesses en y allant de ses commentaires dégueulasses. « Tu en as de beaux nichons ! Il ne doit pas s’ennuyer ton mec. Montre-moi donc ton cul aussi, il m’a dit qu’il était bon à bouffer. » Il m’a gratifiée d’une claque bien ferme sur les fesses pour souligner son propos et a ajouté : « Monte sur la table. » Je me suis allongée dessus, mais aussitôt il m’a retournée. « Montre-moi un peu ta belle croupe que j’en profite. » Ses mains rugueuses ont soulevé ma robe et se sont posées sur mes fesses. Il m’a encore collé une petite fessée en soupirant, l’air ennuyé : « Une cochonne habillée comme ça, ce n’est pas une tenue pour visiter mon resto, ça, tss tss tss. » Il disait ça tout en m’appliquant de bonnes claques sur le derrière.
J’ai joué le jeu… « Arrêtez Monsieur ! » Il a continué, il s’est emporté, il a déchiré ma robe d’un coup sec. J’étais prise au piège, il s’est approché et a enfin pu goûter à ma raie. Il l’a léchée de bas en haut, sa langue tournoyait autour de mon anus. Puis il est vite passé à la phase suivante des festivités. Il a saisi un martinet et commencé à me fouetter. Mon petit cul changeait de couleur, il se marbrait, rougissait à vue d’oeil. La sensation était finalement assez agréable. Il m’a retournée et s’est mis à me triturer les seins. Il alternait entre des chatouilles sur mes tétons et des petits coups de langue sous les seins. Il soulevait ma poitrine et la massait de ses mains râpeuses.
Je me laissais faire, docile, je lapais même mes tétons quand ils étaient à portée de mon visage. Il est allé chercher quelque chose dans un placard et en a sorti un caméscope. Je lui ai dit que je ne voulais pas être filmée… Pour toute réponse, il m’a jeté une cagoule noire. Puis il a installé la caméra sur un pied. Il m’a montré sa bite et m’a ordonné : « Lèche-moi un peu là et surtout, prends ton temps. » J’ai avalé son gland, appliqué quelques coups de langue en partant des couilles et en remontant tout le long de sa queue. Je l’ai branlé d’une main avec douceur en lui malaxant les couilles. Sa bite était au moins aussi dure que du chêne, à présent.
Il m’a alors demandé de le fouetter avec le martinet. J’en avais justement bien envie. Je lui en ai filé des bons coups sur la poitrine. « Vas-y plus fort !« , a-t-il renchéri. Je n’ai pas hésité une seconde, je l’ai fouetté beaucoup plus puissamment, j’ai fait pleuvoir les coups, sur son visage, ses hanches, ses fesses. Il adorait ça, le cochonou. Quand il en a eu assez, il s’est mis à quatre pattes et m’a demandé de m’allonger devant lui… »Et écarte les cuisses !« , a-t-il précisé. J’ai fait comme il disait, je me sentais obéissante. Il m’a dévoré la chatte avec un appétit de sanglier. Il a enfilé deux doigts à l’intérieur et m’a masturbée très fort.
Quand ce jeu-ci l’a ennuyé, il a entrepris de me besogner. Son pieu gonflé à bloc m’a pénétrée d’un grand coup. Je haletais, j’étais à bout de souffle, il m’écrasait. J’étais au seuil de l’explosion lorsqu’il s’est retiré brutalement et a frotté son gourdin sur mon clitoris. Ses doigts ont commencé à s’aventurer du côté de mon cul. Il les a enduits de beurre. Ça glissait tout seul, je lui ai ordonné : « Vas-y, défonce-moi avec ta grosse queue, maintenant ! » J’ai levé les cuisses, il a attrapé mes fesses et il m’a enfilé le cul d’un coup sec, il m’a sodomisée d’un seul mouvement. J’en ai crié de plaisir et la mouille a coulé de ma chatte en dégoulinant sur sa bite. Il est allé et venu de plus en plus rapidement et il a giclé toute sa crème dans mon petit trou brûlant.
Après toutes ces galipettes, nous étions épuisés. Nous avons fini la soirée autour d’un gros gâteau à la chantilly… Qu’il a étalé sur ma poitrine. Il m’a léchée de partout et je lui ai rendu la pareille en recouvrant sa bite de la substance sucrée. Il a recommencé à bander juste au moment où mon ami est revenu me chercher. J’ai décidé qu’il en avait assez eu comme ça, mon restaurateur. Je l’ai laissé dans cet état intermédiaire, j’ai enfilé mon manteau par-dessus ce qu’il restait de ma robe et nous sommes partis, tout sourire.
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