Le sexe dans la ville rose

Paule 2 février 2024

En l’an deux mille, j’avais un peu plus de vingt ans, j’étais en sport-études rugby dans la ville rose. Et des filles nous retrouvaient dans les vestiaires.

Partouze à Toulouse

C’était mes jeunes années, pile en l’an deux mille, j’avais un peu plus de vingt ans, j’étais en sport-études rugby dans la ville rose. Et dans le monde de l’ovalie, il y a peu de limites, surtout lorsque des filles nous rejoignent dans les vestiaires ! Ce jour-là, la liesse était au rendez-vous et trois nanas nous avaient débusqués à poil, Thomas (le brun sur les photos) et moi, nous proposant de nous laver. Elles nous ont emmenés chez elles après nous avoir, effectivement, savonnés de partout et séchés ! Voici mon histoire de sexe.

Je me souviens d’une Juliette et peut-être d’une Anna et d’une Audrey, mais cela est flou, une quatrième nous avait suivis, mais n’avait que peu participé, si ce n’est en immortalisant ce moment fou avec ses clichés. Le terme d’orgie est le bon, je crois, tant la mêlée qui en a découlé a été chaude et totalement débridée. Les trois Grâces n’avaient qu’une chose en tête, nous sucer, nous embrasser, nous lécher et surtout, écarter leurs belles jambes pour que nous les baisions avec ce qui nous restait d’énergie après notre rencontre sportive !

Elles étaient si pressées de se faire mettre que nous n’avons même pas eu le temps de retirer nos chaussettes, ce détail me revient en regardant les clichés ! Ouvrant leurs cuisses sans aucune pudeur, elles mouillaient de s’exhiber ainsi devant nous, c’était ma première fois avec autant de participants et surtout avec trois nanas qui n’avaient pas froid aux yeux, mais chaud au cul, c’est le moins que l’on puisse dire. Je ne me lassais pas de toucher leur minou tout lisse, d’écarter la corolle de leur sexe, de laisser saillir leur petit clitoris, me pâmant face à tant de diversité et de parfums de cyprines différentes.

De leur côté, les demoiselles ne restaient pas inactives, bien au contraire, elles n’avaient de cesse que de nous sucer, parfois l’un après l’autre, parfois deux en même temps, je regardais, fasciné et excité comme jamais, mon chibre disparaître dans une bouche, se laisser astiquer par une main, être repris entre des lèvres gourmandes. J’ai même beaucoup apprécié le contact du gland de la queue de Thomas sur le mien, un peu comme deux marshmallows fusionnant avant d’être avalés par l’une de nos dévoreuses de bites !

Très vite, les princesses ont voulu que nous passions aux choses sérieuses, elles n’étaient pas difficiles question positions, tout ce qu’elles désiraient, c’était baiser, baiser et encore baiser jusqu’à n’en plus pouvoir, jusqu’à ce que leurs corps lâchent après le passage de plusieurs salves d’orgasmes orageux.

Malgré l’intensité du match de rugby que nous venions de disputer, thomas et moi étions transcendés par ces trois fées totalement libérées et exubérantes. Nous n’avions qu’à émettre un souhait pour qu’aussitôt il se réalise, se faire pomper le nœud, caresser ici ou là, donner à lécher nos trous de balle (une première pour moi) ou demander que l’une d’entre elles nous montre toute son intimité. Elles obéissaient sur le champ, ouvrant bien leurs fesses en particulier pour nous offrir leurs jolis anus roses et leurs fentes qui bavaient tant elles étaient chaudes.

La petite brune, Audrey, me semble-t-il, était celle qui affichait clairement le plus gros appétit et la taille de ma queue n’était visiblement pas pour lui déplaire. Thomas l’a ramonée en levrette, lui balançant de bonnes claques sur le cul de temps en temps, tandis que, par devant, je lui donnais ma bite à sucer. Une vraie reine de la fellation, cette Audrey, malgré le gabarit de mon engin, elle parvenait à le faire disparaître tout au fond de sa gorge en éructant parfois pour la ressortir toute gluante d’un mucus épais qui formait comme une toile d’araignée. Nous avons ensuite échangé nos places et la belle brunette m’a demandé de la sodomiser. J’avais un peu peur de lui éclater le trou de balle, mais, à ma grande surprise, c’est rentré tout seul. Elle a pris un pied phénoménal, soutenue par les bras de Thomas qui ne pouvait plus détacher ses yeux de son anneau dilaté à l’extrême qui enserrait ma queue enfoncée jusqu’à la garde.

Les filles n’en pouvaient plus, Thomas et moi, qui nous retenions depuis presque deux heures, étions épuisés aussi et une furieuse envie de jouir à notre tour s’est imposée. C’est de nouveau Audrey qui s’y est collée … elle nous a invités à venir de chaque côté de son corps et nous a branlés avec fluidité, de la main gauche comme de la droite, jusqu’à ce que nous jutions sur ses seins et son visage. Essai transformé pour sa part, la tête entre nos poteaux !

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Paule


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