Naturistes et partageurs
6 janvier 2020Diego, 30 ans
Bonjour interstron.ru ! Inspiré par votre guide 2010 des plages coquines, je vous raconte ici les aventures érotiques que nous avons vécues, mon épouse et moi-même, sur la plage naturiste de « Villata », en Corse. Cette plage, baignée d’eau turquoise, est de toute beauté. Je l’ai découverte, encore tout jeune adolescent, alors que je faisais escale avec mon dériveur. C’est avec toute la réserve que l’on a à cet âge-là que j’ai pu admirer pour la première fois la nudité féminine dans toute sa splendeur.
Je m’allongeais sur le sable, les fesses exposées au soleil, et je matais… En fait, sans le savoir, je me découvrais, voyeur. Mon jeune sexe d’adolescent durcissait à la vue des seins galbés, des fesses dorées et surtout de ces merveilleuses chattes qui, à l’époque ne subissaient pas un rasage agressif, et qui semblaient dire au jeune homme que j’étais : « Mon sexe est naturel, il ne demande qu’à être caressé ! »
Récemment j’y suis revenu, accompagné de mon épouse. Nous avons ancré notre yacht à quelques encablures du sable. Nous sommes tous les deux passionnés de naturisme car nous trouvons dans cette expression sociale une émotion qui peut conduire à l’érotisme le plus absolu. Après une baignade, ma femme, comme vous pouvez le voir sur la photo, s’est allongée une première fois à l’arrière du bateau pour profiter du soleil. Bien lui en a pris, car j’ai commencé à la mater. Mon sexe grossissait à vue d’oeil. Elle l’a remarqué et, excitée par la vision de mon pénis qui devenait de plus en plus gros, elle est venue s’allonger sur le plat-bord avant du bateau pendant que je la prenais en photo. Elle était si sexy ! Les voyeurs présents sur le rivage pouvaient eux aussi se délecter de la scène.
Ma femme sait que j’adore la voir s’exhiber. Au bout d’un certain temps, nous avons pu apercevoir un naturiste se caresser discrètement. Mon épouse et moi-même l’avons observé. Comprenant que son plaisir ne nous posait aucun problème, il s’est carrément mis à se branler des deux mains. Son sexe est bientôt devenu aussi énorme que le mien. Pour ajouter à l’excitation générale, j’ai commencé à lécher la chatte de ma chérie qui, justement, suintait de désir.
Attirés par cet homme qui ne demandait qu’à participer à nos ébats, nous avons pris la décision de nager jusqu’à lui. Il nous a d’ailleurs imités et nous nous sommes rejoints. Nous nous trouvions tous les trois debout, avec de l’eau jusqu’à la taille. Ma femme a fermé les yeux en attendant que ses deux mecs, tels des requins affamés, se mettent à table. L’homme de la plage bandait comme un taureau, il a contourné mon épouse de façon à se placer derrière elle et il a commencé à se branler dans la raie de son cul. Moi, je pelotais de mes deux mains ses seins gonflés de désir, mon sexe collé à sa chatte.
Le type, que j’ai discrètement encouragé du regard, a ensuite introduit son énorme bite dans le vagin humide et ouvert de ma femme, qui n’attendait que cela. Nous avons vécu un moment d’extase extraordinaire ensemble. Nous l’aurions voulu éternel. Après un bon quart d’heure de copulation collective, alors que je m’apprêtais à aller sur la plage pour terminer mon épouse en levrette, l’homme, trop excité pour attendre, a déchargé tout son sperme au plus profond de la partie intime de celle qui partage ma vie.
Néanmoins, toujours en transe sexuelle, j’ai décidé d’accomplir ce que j’avais envisagé. Nous sommes allés sur la plage. Des voyeurs se sont rassemblés autour de nous. J’ai pris ma femme en levrette en la branlant pendant une bonne dizaine de minutes alors que sa chatte luisait du sperme de mon prédécesseur. J’ai fait durer le plaisir afin que tous les obsédés sexuels présents puissent profiter du spectacle. Enfin, pour bien montrer aux observateurs la blancheur et la beauté de ma semence, j’ai éjaculé sur son dos et j’ai frotté le liquide jusque dans son cul. Le spectacle a vraisemblablement plu…
Quelques jours plus tard, alors que mon épouse somnolait et que la réputation de nos distractions avait fait le tour des naturistes, une jeune femme naturiste elle aussi, à califourchon sur une planche à voile, est venue rôder près du bateau. Je me suis posté à la proue pour l’observer. Évidemment, j’étais nu et je ressentais une vive émotion à la vue de cette beauté… Naturellement, mon sexe a commencé à se gorger de désir, à gonfler… Je n’étais plus un frêle adolescent, je n’éprouvais plus aucune honte à exhiber mon pénis en érection face à une jolie demoiselle.Mon attitude a dû lui plaire, car elle s’est approchée de moi et s’est caressé sensuellement les seins et la chatte.
J’ai commencé à me masturber franchement devant elle en accompagnant mes gestes de petits baisers virtuels dans sa direction. Je ne savais pas comment ma femme, qui somnolait, allait réagir à cette situation si elle se réveillait… Un peu inquiet, j’ai jeté un coup d’oeil dans sa direction et, à ma grande stupeur, j’ai découvert qu’elle avait écarté ses cuisses et qu’elle aussi se masturbait lentement à la vue du spectacle. Encouragé, j’ai amarré la planche au bord du bateau de façon à rejoindre la belle sur son esquif. Il était difficile de trouver notre équilibre là-dessus ! Elle s’est allongée sur le ventre, les deux jambes écartées vers l’extérieur.
Quelle vision inoubliable : son dos bronzé, ses cuisses ouvertes… J’ai immédiatement été pris d’une frénésie sexuelle. De son côté, mon épouse continuait à se masturber en nous regardant. Mon gland était aussi gonflé qu’un oeuf de poule, je l’ai plongé avec délice dans la chatte de la belle étrangère qui n’en demandait pas moins.
Pendant un long moment, ma queue a ramoné ses parois humides et visqueuses. Soudain, j’ai entendu un râle de plaisir sortir de la bouche de mon épouse et, quelques instants plus tard, ma conquête a poussé le même petit bruit charmant.
C’était cocasse et polisson, comme j’aime. J’ai compris que mon tour était venu de jouir… Tout mon sperme a jailli pour se répandre à l’intérieur et à l’extérieur de cette chatte merveilleuse. Entre-temps, la planche était devenue une sorte de sous-marin. À ce moment-là, j’ai décidé d’abandonner le navire…
(Image à la une : Getty Images)
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» J’ai alors senti la main étrangère prendre la mienne pour l’amener sur son pieu. J’ai commencé à branler l’inconnu ! Je masturbais deux hommes en même temps : mon mec et ce type bien monté. Je les décalottais et leur malaxais les couilles à l’unisson, quel bonheur ! » Alice
« Une fois la bite de R. bien raide, je décide de m’empaler dessus. Il faut dire aussi que j’aime dominer et décider qui, quoi, comment. Une fois bien prise, je sens que le visage de D. est très près de nos sexes, il voit ma mouille dégouliner de ma chatte remplie par la verge de mon homme. » Lucie