Travaux pratiques avec Mamie

La rédaction 1 mars 2021

Éric, 21 ans nous raconte son histoire de sexe avec la deuxième femme de son grand père.

Je m’appelle Éric, j’ai 21 ans, petit trapu, mais fort membré voici mon histoire de sexe. Je suis étudiant en fac de sciences et j’habite chez mes parents dans le Vaucluse où ils possèdent une jolie maison. Huguette, la seconde femme de mon papy, demeure également chez eux depuis cinq ans qu’elle est veuve. En fait, c’est elle qui s’occupe de tout, mes parents ne sont jamais là, ils travaillent aux quatre coins du monde et ne passent qu’un mois en France. Du coup, Mamie se charge de la maison, des repas, du ménage, repassage…

Elle avait la soixantaine, petite, avec de jolies rondeurs, les cheveux gris courts, toujours bien maquillée et parfumée. Elle adore plaisanter, et on s’entend bien. Elle aime boire l’apéro tout comme moi.

Un midi, il faisait beau et chaud, nous étions en short et en T-shirt, on trinquait accoudés au comptoir de la cuisine américaine. De la voir dans cette tenue m’avait fait de l’effet, j’avais une érection du diable, ça me gênait, mon short était tendu. Je me tâtais l’entrejambe. En me voyant me tripoter, elle m’a demandé ce que j’avais. Embarrassé, je lui ai avoué : « J’ai le machin tout raide, ça me serre…« . Sa réponse a été inattendue, elle m’a dit de me mettre à l’aise, que c’était normal d’avoir la trique à mon âge et que, comme nous n’étions que tous les deux, personne ne me verrait.

C’était la première fois qu’une femme allait regarder mon truc. Je sentais que je rougissais mais j’ai quitté mon short pour libérer mon engin. Il était énorme, tout décalotté. À la vue de ma bite, elle m’a trouvé sacrément bien monté et m’a raconté que je tenais ça de mon grand-père, qu’il avait le même morceau et qu’il était d’ailleurs fier de l’exhiber. Qu’il avait été un bon amant, et que tous les jours de sa vie, il avait eu besoin de faire l’amour, ce qui n’avait jamais été pour lui déplaire. Elle regardait ma queue sans arrêt, elle trouvait ça beau « un gros zizi comme ça« .

Elle m’a balancé d’un air envieux : « Ça doit y aller les filles avec ça… » Ben non justement, je lui ai confié que j’étais encore puceau. Elle n’en croyait pas ses oreilles. Je lui ai expliqué que je regardais des films porno sur mon ordi en me masturbant, et que c’était tout. Puis, je lui ai dit que je songeais à m’adresser à une professionnelle pour qu’elle puisse m’apprendre. Mamie ne pensait pas que c’était le mieux, mais qu’il me faudrait pour mes premiers pas une femme mûre. En riant, elle a alors regretté d’être ma grand-mère, même si ce n’était que par alliance.

Elle a resservi nos verres de rosé. Elle a avalé une gorgée, puis elle a balancé qu’il allait bien falloir « que je soulage mon sexe car mes couilles devaient être pleines ». Je lui ai adressé un sourire. Elle m’a raconté que mon grand-père était pareil, quand il giclait, il l’arrosait de partout et que cela ne lui était pas désagréable. Elle avait remarqué en mettant mes draps à laver que ces derniers étaient très souvent tachés. Je lui ai expliqué que je me masturbais au moins trois fois par jour. Malgré notre conversation, je ne débandais pas d’un millimètre. « Si tes parents nous voyaient« , a-t-elle lancé en rigolant. Je lui ai demandé de ne pas leur en parler, elle m’a assuré que non sinon de toute façon, c’était elle qui passerait pour une vieille vicieuse.

On a retrinqué. J’ai remarqué qu’elle ne quittait pas mon gourdin des yeux. Elle m’a alors dit être tout aussi excitée que moi, qu’elle sentait son minou était déjà tout mouillé. Elle a ôté son short et, en me dévoilant sa chatte épilée, elle a ouvert sa fente pour me montrer son gros clito. Je le trouvais très beau. Elle s’est assise sur le bord de la table de la cuisine et a écarté en grand ses cuisses. Elle m’a invité à venir près d’elle pour mieux voir. Timidement, je me suis approché, je me tenais debout face à elle, entre ses jambes. On s’est promis de ne rien répéter à personne et elle m’a donné ma première leçon pour que je passe, comme elle l’a dit, mon « permis de baiser« . Elle m’a pris la queue et a frotté mon gland le long de sa fente. Je ne tenais plus ! Dans un râle, j’ai déchargé plusieurs jets… Elle s’est badigeonnée sa chatte avec ma purée. « Recalé !, m’a-t-elle annoncé en riant. Tu as juté trop vite. » Je lui ai expliqué que je ne savais pas tenir plus longtemps. Alors elle a proposé de me refaire une autre leçon après manger. Nous sommes restés les fesses à l’air pour déjeuner. Le repas terminé, elle a fait la vaisselle, que j’ai essuyée, la bite pendante mais déjà assez gonflée.

Pour ma deuxième leçon, nous sommes restés dans la cuisine. Elle voulait que je me maîtrise un peu plus avant de passer à un essai sur le lit. Elle s’est remise comme la première fois sur le bord de la table. Elle a posé sa main sur sa chatte pour me montrer qu’elle était de nouveau toute gonflée et prête à jouir. Je me suis avancé, elle m’a fait durcir en deux secondes, puis elle s’est enfoncé mon morceau. Je me suis mis à remuer en elle, je trouvais ça trop bon. Elle a retiré son T-shirt, baissé son soutien-gorge, ses seins aux bouts dressés étaient énormes. Elle m’a demandé de les lui caresser, d’aller plus vite et de lui coller des grands coups de bite, elle voulait que je lui en mette plein la chatte. J’obéissais. Son souffle s’est accéléré. Elle m’a donné sa langue à sucer. « Tu vas me faire jouir, a-t-elle gémi en fermant les yeux. Vas y ça vient, ça vient… » Un liquide chaud dégoulinait de sa chatte. Je lui ai crié « Moi aussi… » Et nous avons déchargé ensemble.

Mamie était contente de mon baptême, elle a estimé que c’était même plutôt pas mal. Comme elle a souvent du temps à tuer, depuis, c’est devenu un apprentissage en alternance.

(Photo à la une : Getty Images)

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  • Djamal Bentizi

    De tres belles histoires

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