Adorable petite bourge !

La rédaction 30 septembre 2018

Hugo finit de payer son doctorat en donnant des cours à de jeunes étudiantes et il y en a une qui lui plaît bien. La jeune et jolie Tiffany lui fait les yeux doux… Hugo n’allait quand même pas la laisser mourir de faim. Mais le petit prof était loin d’imaginer l’experte sexuelle que dissimule ce corps de poupée bourgeoiose !

Je me suis collé derrière elle, tout près. Elle avait pris pour habitude de s’allonger avec une certaine nonchalance féline sur le lit pour m’y attirer. Je n’avais plus aucune raison de ne pas la rejoindre.

Ses jambes se sont écartées avec le plus grand naturel, elle savait qu’elle avait abattu toutes mes défenses. Cela faisait déjà trois semaines que je travaillais avec cette petite coquine. J’avais repoussé ses avances plusieurs fois parce que j’avais décidé de rester un peu fidèle à ma copine pour changer… Mais justement, elle avait décidé de me larguer la veille ! Fin du jeu. Cette fois, j’allais profiter de l’attitude sensuelle et très ouverte de mon étudiante.

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Ma main a rejoint son petit clito gonflé que j’ai massé bien fort à travers sa culotte de jeune fille. Elle avait mis un parfum un peu trop femme fatale.

C’était mignon tout plein. Son corps répondait parfaitement aux caresses. Son bassin ondulait comme un serpent… La petite Tiffany savait très bien se servir de son corps, on sentait l’entraînement et la pratique…

Elle a dégrafé son chemisier de fille sage en un tournemain et j’ai léché ses exquis petits tétons pendant qu’elle essayait tant bien que mal de finir son effeuillage à la hâte, tout en poussant des soupirs lourds d’envie.

Nous nous sommes roulé des pelles de compétition. Elle a passé une main innocente sur la bosse de mon jean. Son appétit était presque contenu maintenant qu’elle savait qu’elle m’avait pour elle. Je l’ai soulevée et l’ai posée sur le lit pour lui retirer sa culotte.

Elle a juste dit « enfin ». j’ai pris tout mon temps pour faire coulisser le petit morceau de tissu sur sa plastique parfaite. Ses cheveux tombaient en cascade sur son dos à la peau lisse et légèrement hâlée. Sa croupe rebondie a émergé. Son cul était soyeux et il avait la bombance dont on rêve pendant de longues nuits avant de tomber dessus.

Je soupçonnais déjà qu’elle avait une cambrure de reine, mais là, j’étais estomaqué ! Avec son nez en trompette et ses petits tétés, c’était vraiment la jolie poupée qu’on pourrait baiser tous les jours sans se lasser.

J’ai caressé son cul. Il était chaud comme un brasier et encore plus doux que je ne l’imaginais. Elle était incroyable cette fille. Elle m’a jeté un regard mutin : « Alors, tu vas me baiser comment ? Je me suis toujours demandé comment était ta bite. Je n’en peux plus tellement j’ai envie de te pomper. Allez, donne-la moi, s’il te plaît… »

Sa voix coulait comme le miel, j’avais pour ma part, une grande envie de laper son abricot que j’imaginais aussi tendre que sa poitrine.

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Je l’ai culbutée sur le matelas. Elle a ri et a écarté les jambes avec une décontraction qui m’a fait penser qu’elle devait passer tout son temps à poil dans son studio d’étudiante. Je m’en doutais un peu, mais bien évidemment, son sexe était entièrement épilé.

Elle a attrapé ma tête et l’a dirigée directement là où je voulais la mettre : entre ses cuisses.

Ma langue râpeuse a immédiatement pris possession de sa minette d’amour. je me suis appliqué à bien lui écarter les lèvres, tout doucement. j’étais résolu à faire durer le plaisir, à le faire monter pendant de longues minutes. Elle me frottait la nuque. J’étais son bon toutou, mi-sauvage, mi-domestique.

Sa chatte coulait, fondait sur ma langue. Son fleuve de plaisir était déchaîné. Je l’ai laissé se déverser dans ma bouche. J’ai aspiré tout ce qu’elle avait à me donner. Elle avait vraiment bon goût.

Sa production me rappelait les vacances d’été, les sodas glacés bus au bord de la piscine. Elle avait le goût du bonheur simple, à consommer sur place. Le genre de fille à monter dans votre voiture, direction la mer, sans regarder en arrière, cheveux au vent et musique à fond. Je me suis laissé aller sur sa fente débordante de mouille. Je gargouillais sur son entrejambe, je m’étranglais presque de son jus. Je plongeais de plus en plus loin en elle. Ma langue la fouillait. Je pouvais toucher son âme, j’en étais intimement persuadé.

Quand je suis enfin remonté vers son clitoris surgonflé, elle ne l’attendait même plus, je l’ai bien senti. Elle a accueilli ma langue comme le messie. Elle a jeté sa tête en arrière et s’est laissé faire. Elle n’avait même plus assez de souffle en elle pour geindre, ni couiner. Elle était devenue ma chose. je la menais du bout de ma langue.

Tout son corps s’est tendu comme une arbalète et sa jouissance est soudain partie comme un carreau, elle a décoché son orgasme en criant comme une amazone. Sa voix était cristalline, sur le point de se rompre, comme sa raison. Elle a déchargé tout ce qu’il lui restait de liqueur entre mes lèvres. Quel festival !

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Je l’ai laissée reprendre son souffle. Je me suis allongé à côté d’elle.

Elle m’a déshabillé sans me presser. Le plaisir était encore lourd dans ses veines. Ma queue en revanche était remplie à ras bord d’envie. Elle m’a longuement caressé sur tout le corps, puis elle a saisi ma hampe.

Elle l’a serrée entre ses petits doigts. Sa tête est tombée vers mon gland cramoisi, comme dans un songe. Elle a ouvert grand la bouche et elle m’a pris. Sa langue était brûlante.

Elle m’a roulé de gros patins sur le bout de la tige. Ensuite, elle est descendue et m’a offert une gorge profonde comme je n’en avais jamais connue. Aucun de ces bruits atroces de déglutition qu’on entend dans les films, oh non, mon serpent est entré en elle comme dans du velours et bientôt, ses lèvres ont touché mes couilles. Et là, j’ai même senti sa langue sortir et venir s’agiter au creux de mes bourses. Tout cela avait été pratiqué avec une décontraction olympique. J’avais affaire à une artiste du cul, quelqu’un qui ne vit que pour ça.

Elle est remontée, elle a pris une grande aspiration et m’a fait un sourire qui disait mieux que des mots où nous en étions de ce rapport quasi-mystique : cela venait à peine de commencer. Elle a déposé de petits baisers tendres sur mon sexe, elle lui rendait hommage avant de le chevaucher. C’était une véritable cérémonie. Elle m’a branlé énergiquement pour s’assurer que toute ma vitalité était concentrée dans mon tuyau de chair, puis elle est montée au-dessus de moi avec la grâce de l’étudiante bourgeoise qu’elle était et qui sait monter à cheval.

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Elle a pris ma queue et a tapoté l’entrée de sa chatte avec mon gland. Plaf plaf… Ensuite, elle a braqué ma lance sur sa cible et elle a simplement coulissé.

Son cul a ondulé à nouveau. Elle a fait rouler son bassin jusqu’à ce que je me trouve entièrement planté en elle. Le mot « roulure » a traversé mon esprit, tant elle « roulait » sur mon bassin.

J’étais son dada, son gentil petit cheval ! Mon piston la comblait totalement. Nos muqueuses étaient 100% collées l’une à l’autre. Mais il y avait un petit souci… À ce rythme-là, j’allais lui balancer tout mon foutre en quelques secondes !

Alors, je l’ai culbutée sur le côté, ou sur le « flanc » pourrait-on dire, car nous étions tous les deux devenus des bêtes de sexe. En tenant fermement sa cuisse, je pouvais à présent lui imprimer ma propre cadence. J’ai repris le contrôle et mes coups de reins se sont faits plus amples, moins saccadés.

Elle gémissait. Mon putsch lui convenait parfaitement. J’ai commencé à la travailler comme un danseur un peu bourré qui taquine sa partenaire consentante. Je lui enfonçais mon pieux de façon aussi suave que possible, il ne manquait que le rhum et le jus d’orange, on se serait cru à une fête étudiante. Je la baisais calmement. Je poussais toute ma viande jusqu’aux tréfonds de son puits poisseux.

Mes balloches claquaient mollement contre son bassin. Le match commençait à prendre de la vigueur. Elle s’agaçait les tétons du bout de ses ongles manucurés et poussait des feulements de crasseuse qui attend le chaland un jour de marché. J’adorais ses fausses manières de fille du peuple. On sentait qu’elle aimait traîner avec des mecs qui n’avaient ni son âge, ni la même chance qu’elle dans la vie…

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Tout cela m’a donné une immense envie de l’enculer. Je m’étais échauffé avec toutes ces idées dégueulasses et je ressentais à présent un besoin irrépressible de déplacer ses organes internes avec ma queue.

Quand je suis sorti d’elle et que la pointe de mon gland est venu appuyer sur ses petites coulisses toutes serrées, elle n’a pas eu une once d’hésitation : elle a elle-même tiré sur sa cuisse pour mieux me laisser la sodomiser. La poussée n’a pas été sans effort, mais je n’étais manifestement pas le premier à fureter dans sa bourbe.

Je suis allé doucement, j’y ai même mis beaucoup plus de tendresse que je n’en ressentais réellement, mais cela me semblait bien normal, après tout, la pauvre petite se faisait mettre le cul par son professeur… Quand j’ai été à fond de cale, je me suis mis à la faire tanguer. Elle fermait les yeux et lâchait des insanités qui auraient fait rougir un marin.

Quand cette visitation lui est devenue un peu pénible, elle a simplement pris mon pénis pour le sortir.

Ensuite, elle s’est installée en levrette et m’a demandé de revenir nourrir sa petite chatte qui avait très faim. « Miaou miaou » m’a-t-elle encouragé en se trémoussant. Ma foi, j’avais assez goûté à son cul. Je me suis collé derrière elle j’ai repris mon entreprise de marteau-pilon. Là, je suis devenu implacable. J’étais une machine qui ne connaissait plus deux modes : avant et arrière.

Je lui donnais tout ce qu’il y avait en moi, le meilleur et le pire. J’étais ange et démon, les flammes de l’enfer me léchaient les couilles et la belle petite étudiante se tordait sous mes coups de trident. J’appuyais mes mains fermement sur son bassin, je ne voulais pas que sa croupe échappe à ma prise d’acier. Elle ne manquerait pas un seul battement de mes reins. Elle a enfoui sa tête dans son oreiller et je l’ai attrapée par les cheveux pour relever son visage, je voulais entendre ses cris pendant que je la chevauchais.

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Mais mon amazone a de nouveau voulu reprendre le pilotage de sa machine… Elle s’est faufilée et elle est repassée sur moi pour venir s’empaler directement sur ma hallebarde dressée en son honneur.

Elle était plus belle que jamais ma petite bourge. J’entendais ses bracelets qui tintinnabulaient mignonnement au rythme de ses fesses. Elle avait posé ses mains sur ses hanches et me donnait le coup de grâce… Ou presque.

Je l’ai laissée me grimper un moment de la sorte et me suis régalé de ses tétons à croquer. Notre corps-à-corps avait sombré dans une sensualité mièvre qui me ravissait. Après les diableries, la guimauve ! Et pourquoi pas. Je profitais à présent de son joli visage mutin et si régulier.

Elle était très femme, là tout de suite. Elle avait une pratique que certaines de ses aînées n’auraient jamais. Elle dansait sur mon manche et le faisait dériver exactement là où elle voulait en elle. Je la sentais qui contractait expertement son intimité, je sentais que je n’allais pas y résister longtemps, sa chatte était vraiment trop bonne.

Mais tout à coup, elle s’est levée et s’est jetée en travers de mon corps pour nous mettre en 69. J’étais vraiment content de retrouver sa bouche sur ma tige, elle maîtrisait tellement bien l’art de la fellation ! Je me suis mis à l’ouvrage sur sa petite chatte qui avait maintenant le goût poivré des grosses parties de cul bien hard.

Je l’ai léchée avec passion, elle a joui une nouvelle fois quand j’ai pris son clito entre mes lèvres pour le suçoter vigoureusement. Ses hanches glissaient sous mes mains et son derrière s’écrasait sur mon visage. Elle jouissait avec une intensité renouvelée.

Sa pompe sur ma queue redoublait, elle aussi, de force. Elle voulait aspirer toute ma sève et s’en badigeonner les lèvres, je n’en avais aucun doute.

Elle m’a gratifiée d’une de ses gorges profondes absolument magique et j’ai eu l’impression de tutoyer l’infini pendant quelques instants.

Quelle sacrée louloute ! Je me suis laissé guider par les navigations circulaires de sa langue experte sur mon manche. J’étais à sa merci. Elle était les flots et j’étais l’embarcation, prise dans des remous incontrôlables, dans la tornade de la jouissance. Mon frêle esquif balotait et le torrent de sperme menaçait renverser tout à fait l’équipage ! J’ai senti que cela montait, telle la houle de sa bouche, inexorable jaillissement !

Ma sirène m’appelait et m’attirait vers les hauts-fonds pour mieux me chavirer et dévorer mes petits bonshommes ! Son chant presque silencieux résonnait en moi, dans tout mon corps lorsqu’elle gémissait une adorable complainte, faisant vibrer les parois de ma verge. J’ai lâché le gouvernail, j’étais rendu.

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Ma semence s’est déversée en plusieurs jets, quelle libération ! La petite mort roidissait tout mon être. Je n’étais plus qu’un seul muscle tendu vers l’éternité. Le temps n’avait plus prise. J’étais aveugle et sourd, écrasé par la puissance du plaisir.

Ma petite étudiante a poussé des soupirs de contentement. Elle se repaissait de ma production. Je la sentais déglutir sur ma hampe hyper sensible. Le petit monstre borgne a éructé un dernier jet de sperme que Tiffany n’a pas réussi à avaler tout de suite. Elle l’a lapé avec appétit et ma lance était aussi propre qu’au premier jour quand elle me l’a enfin rendue.

Elle s’est allongée à côté de moi, heureuse et a juste eu le temps de me dire qu’on allait recommencer « tout de suite » avant que nous nous ne sombrions tous les deux dans un sommeil profond et sans rêves. Comme morts noyés dans le plaisir !

Quel bonheur de se faire une étudiante qui sait si bien célébrer la vie !

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