Une baise de taille
29 juillet 2019Jenna, 25 ans, Nice.
Je m’appelle Jenna, j’ai 25 ans et je suis conseillère de clientèle dans une banque. Un de mes grands plaisirs est de me baigner tout habillée. Le plus souvent, je le fais en solo, chez moi ou chez mes parents qui ont une piscine (en leur absence, bien sûr!). Pour moi, il ne s’agit pas d’un divertissement mais d’un plaisir sexuel, violent, qui m’affole le cœur et me donne des bouffées de chaleur. Il me suffit de me figurer le bain du soir dès le matin et je commence à palpiter.
Je me regarde dans la glace, chic et pomponnée pour aller au travail, et je me dis à voix haute : « Tu vas être jolie ce soir ma chérie, dans la flotte… Avec ton tailleur jupe, ton body et tes petits escarpins pointus, dégoulinante comme une salope ! » La perspective m’excite tellement que je suis obligée de m’accorder plusieurs séances de caresses dans la journée avant de me foutre dans le bain en rentrant… Sans rien retirer, habillée de pied en cap ! À peine ai-je rempli mes escarpins que je suis au bord de l’orgasme. J’adore le bruit que je fais en marchant, ce délicieux son de ventouse ! À chaque pas, je sens l’eau gargouiller entre mes orteils. Je me régale du contact du nylon mouillé. Comment pourrais-je alors me retenir de me remettre à l’eau, les seins durs, mes mamelons perçant déjà mon chemisier ? J’aime sortir mouillée, luisante, ruisselante de partout, chaussures débordantes.
Alors, je me branle encore et encore, la moule en feu, le cul brûlant. Bien sûr, je ne fais pas ça tous les jours. Disons que j’ai des « périodes de crise », une ou deux fois par mois. À chaque fois, c’est un besoin impérieux qui peut me conduire directement sous la douche juste après le boulot. J’y vais avec ma tenue du jour. Pour ajouter à mon plaisir, je me traite de « petite pute » ou de « pétasse en chaleur » en me godant bien à fond.Je n’ai qu’une aventure à vous raconter. Je l’ai vécue avec le mari d’une collègue. L’été dernier, ils m’avaient invitée chez eux pour dîner et dormir. Je n’étais pas en « période de crise ». Mais, dès que j’ai vu leur piscine, je n’ai plus pensé qu’à me plonger dedans. J’ai attendu une heure du matin, ils dormaient.
J’y suis allée, vêtue de ma jupe et de mon corsage, chaussée de petits talons noirs qui me donnaient un air de lycéenne. Je me suis glissée dans l’eau avec une prudence de sioux.J’y suis allée progressivement pour bien faire monter le plaisir. J’avais déjà eu deux orgasmes tout habillée dans l’eau quand j’ai vu débouler Rodolphe, le mari : « Mais qu’est-ce tu fabriques Jenna ?, a-t-il demandé, l’air abasourdi. Tu te baignes tout habillée ? » Je lui ai répondu sans me démonter : « Oui, une envie comme ça… » Mais quand il m’a vue sortir de l’eau et me diriger vers lui, moulée, ruisselante, cambrée sur mes hauts talons… Sa surprise a fait place à d’autres sentiments. Il m’a saisie violemment par la taille, m’a collée contre lui. Sa bite était bien dure à travers son pantalon, ce qui m’a immédiatement privée de toute résistance. Il a murmuré: « Ta chatte ou ton cul ? », d’un ton sans réplique. « Ce que tu veux, enfile-moi comme une pute », ai-je répondu doucement. « À plat ventre, je vais t’enculer » Il m’a écarté les fesses. Si je n’ai pas vu sa bite arriver, je l’ai sentie, raide et énorme, conquérante et impitoyable.
Il est entré en une seule poussée, le vrai macho en rut et pressé. Mon dieu, ce qu’il m’a fait mal ! Elle était trop grosse pour mon petit cul, ça brûlait, il m’arrachait les muqueuses. Mais les deux orgasmes précédents n’étaient que des amusettes en comparaison de celui que j’ai éprouvé quand il a déchargé, calé à fond entre mes fesses. « Ferme-la, salope, tu vas réveiller ma femme« , m’a-t-il ordonné en posant la main sur ma bouche pour étouffer mon cri de jouissance.On est restés dix bonnes minutes sur l’herbe, à récupérer. J’étais dans mes vêtements tout mouillés. Lui avait le pantalon baissé, sa belle queue était à l’air. Il est bientôt repassé à l’action. Il a dégrafé mon corsage pour libérer mes seins. J’ai vu sa bite se redresser. « J’ai envie de ta bouche, taille-moi une pipe ! » Il a dirigé ma tête vers son engin, avec force, m’obligeant quasiment à le gober. Il m’avait fourragé le derche et en portait les traces sur le gland et sur la hampe. Mais loin de me dégoûter, cela m’a encore plus excitée. Je l’ai nettoyé dans ma bouche, j’y ai mis la langue. J’ai mêlé à son sperme ce qui venait de mon cul.
Je ne regrette qu’une chose : ne pas avoir avalé cette mixture sous ses yeux. Cela aurait révélé ma nature profonde de petite salope. Je suis restée une nuit de plus, et il m’a encore sautée comme un sauvage dans la piscine. Récemment, elle m’a confié qu’il lui avait demandé de venir sous la douche, tout habillée. Elle a refusé…
(Image à la une : Getty Images)
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À retrouver sur notre plateforme VOD
Après le départ des patrons les séances de baise se succèdent au bord de la piscine.
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marot
bonjour, je serai enchante de te rejoindre avec des escarpins de 11cm et ma queue bien dure
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OCHOUMARE Régis
J’aimerais bien te baiser écris moi sur gmail ([email protected])