Une fellation de rêve

La rédaction 30 mai 2020

Richard, 31 ans.

Bonjour à tous, voici une nouvelle aventure que j’ai estimé devoir vous raconter. Elle n’est pas extraordinaire, mais pour nous, elle représente une étape dans notre relation de couple. Moi c’est Richard, j’ai 31 ans, et ma femme Anaïs a 24 ans. Après qu’elle a fait une fausse couche, notre vie sexuelle a été quelque peu perturbée. Mais ce qui s’est passé le week-end dernier restera gravé dans ma mémoire pour très longtemps.

Nous étions tranquillement devant la télé à regarder une énième fois un grand classique des films romantiques. Anaïs s’est blottie dans mes bras, et j’ai machinalement laissé vagabonder mes mains sur son corps, lui caressant les épaules, le haut de la poitrine, les seins… Sa respiration trahissait à quel point mes câlins lui faisaient du bien. Elle s’est tournée un peu et a voulu m’embrasser, un baiser sensuel et intense. Ça a été le déclencheur. Nous nous sommes rendus dans notre chambre, et nos caresses n’ont pas arrêté, elles se sont même intensifiées. Nos vêtements n’ont pas résisté longtemps. J’ai parcouru son corps de baisers et je suis passé de son cou à ses seins, lui suçant les tétons au passage. Ses mains se sont posées sur ma nuque, dirigeant la manœuvre sur sa poitrine. Elle soupirait de plus en plus fort, trahissant le plaisir qu’elle prenait. J’ai poursuivi mes caresses buccales sur son ventre, ses cuisses, son sexe, lui léchant les grandes lèvres, puis insinuant ma langue entre les petites. Je suis allé titiller son joli clitoris que j’ai lapé et aspiré. Là, elle s’est cambrée, laissant échapper cette plainte signifiant que la course au septième ciel était lancée.

C’est ce moment précis que ma femme a choisi pour me prendre dans sa bouche. Elle qui ne raffole pas de cette caresse, me rendait le plaisir que je lui donnais. Je me suis redressé et je l’ai admirée pendant qu’elle me suçait avec toute la douceur que je lui connais. Je lui ai dit que ce qu’elle faisait me plaisait énormément. Et là, j’ai eu une idée. “Et si je te prenais en photo ?” Elle a eu un mouvement de recul et de surprise. Elle m’a répondu : “Non mais tu es fou !” J’ai bien cru que j’avais tout cassé. Mais, à mon grand étonnement, après quelques instants de réflexion, elle a ajouté : “Je veux bien, mais il ne faut pas qu’on me reconnaisse !” Nous avons donc cherché son bandeau. Les caresses ont repris là où nous les avions laissées quelques minutes auparavant. Alors que je lui offrais un cunni comme elle les aime, et au moment où son plaisir arrivait à son comble, j’ai senti sa bouche se refermer sur mon sexe et ce, de façon bien plus intense que précédemment. J’ai attrapé mon portable et, me redressant lentement pour ne pas la déstabiliser, je l’ai shootée pendant qu’elle m’offrait la meilleure fellation qu’on m’ait jamais faite. J’ai même dû la ralentir pour ne pas lui jouir en bouche.

Lorsqu’elle m’a demandé de la prendre, je ne me suis pas fait prier ! Je me suis installé entre ses cuisses largement ouvertes sur un sexe trempé par le désir. Après quelques caresses avec mon engin sur ses lèvres gonflées d’envie, je l’ai pénétrée doucement, mais elle m’a vite demandé de la prendre plus fort et plus profond. Je me suis démené comme un petit diable entre ses cuisses. Ensuite, elle a desserré l’étreinte de ses jambes autour de mes reins pour que je les place sur mes épaules. Encore une position dont ma femme ne raffole pas en temps normal, mais là, elle me voulait au plus profond d’elle. Je n’ai pas pu résister, me laissant aller en elle au moment où son sexe se resserrait sur ma hampe gonflée à bloc. Quelques baisers plus tard, nous nous sommes endormis aussi amoureux qu’il y a bientôt quatre ans, quand nous nous sommes rencontrés.

Encore merci à l’équipe de la rédaction pour toutes ces merveilles que vous nous faites découvrir chaque mois. De très gros bisous à toutes et à tous.

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À propos de l’auteur

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