La bourgeoise et ses ouvriers
28 juillet 2019Pierre, 49 ans, Grenoble.
Je m’appelle Pierre et je suis ingénieur dans le BTP. Je suis aussi un fidèle lecteur de votre revue. Pour être tout à fait franc, avant, je doutais de la véracité de certains des récits… Enfin, plutôt de l’existence de personnes si libérées. Les chutes de neige du mois de février m’ont propulsé, moi comme mes collègues, au chômage technique. Avec le retour des beaux jours, notre patron nous a proposé de travailler certains week-ends afin de combler les retards et surtout, le manque à gagner.
C’est ainsi que, ce samedi, nous étions sur le chantier d’une maison en construction. En fin de matinée, une dame dans la quarantaine s’est présentée à nous comme la future propriétaire. Un peu ronde, BCBG, en tailleur jupe et talons, elle n’était pas vêtue de la tenue idéale pour une visite de ce type. La différence de niveaux entre le sol et la dalle de béton ne l’aidait pas non plus. J’ai dû lui tendre la main : sa jupe est remontée et m’a offert une vue parfaite sur sa culotte de dentelle et le haut de ses bas blancs. Faussement naïve, elle a rougi. Guidée par mon patron, elle a fait le tour du propriétaire. Arrivée devant ce qui allait être son jardin, elle s’est arrêtée quelques instants. De dos, elle a déboutonné sa veste de tailleur. Quand elle s’est retournée, impossible de ne pas voir clair dans son jeu : elle ne portait qu’un soutien-gorge coordonné à sa culotte, mais bien trop petit pour ses énormes seins qui débordaient de toute part.
Mon patron, ne voulant pas d’ennuis, lui a demandé ce qu’elle désirait au juste. En glissant sa langue sur ses lèvres rouge vif, elle lui a rétorqué en souriant : « D’après vous ?! » Guido, le terrassier, a été plus direct : « Ce qu’elle veut ? Un peu d’amour, comme tout le monde. N’est-ce pas, Madame ? » Pour toute réponse, elle s’est approchée de lui, a soulevé son T-shirt et lui a caressé le torse. Guido a tenté de l’embrasser, mais elle a refusé. « T’embrasse pas ? Normalement, c’est les putes qui n’embrassent pas ! » Alors que je m’attendais à ce qu’elle parte, outrée, elle a été tout sourire : « Disons que, dans les prochaines minutes, je serai votre pute. » Je n’en croyais ni mes yeux, ni mes oreilles. J’étais encore sous le coup de l’étonnement, mais Guido, lui, avait déjà retiré son soutif, libérant deux énormes loches qu’il s’est empressé de malaxer. Mon patron, Lionel, s’est approché à son tour et lui a relevé la jupe au niveau de la taille, dévoilant la culotte de dentelle et les bas blancs. Guido y est allé d’une remarque salace : « Des dessous de bourgeoise qui vient sur les chantiers se faire baiser comme une chienne… » Lionel, qui venait de passer ses doigts sous le slip, a confirmé : « Pour une chienne, c’en est une : sa chatte est déjà toute baveuse. » Puis, il m’a interpellé : « Pierre, viens donc te joindre à nous ! La dame ne va pas te manger ! Quoique… »
Un peu penaud, mais bandant tout de même, je me suis approché du trio. La femme s’est dégagée de l’étreinte de mes collègues et s’est mise à genoux devant moi. Elle a sorti mon sexe et, sans un mot, l’a englouti dans sa bouche. J’étais aux anges. Pendant ce temps, Lionel et Guido ont pris position derrière elle. Ils l’ont pelotée et doigtée. Le slip était écarté, par-devant comme par-derrière… « C’est un véritable garage à bites ici ! » Lionel m’a ordonné d’aller chercher des couvertures dans le camion, afin que « Madame » soit plus à son aise. Quand je suis revenu, elle était accroupie devant eux, les mains sur les membres de mes compagnons d’aventure, la bouche active. Les couvertures ont été jetées au sol. Lionel et Guido lui ont dit de se mettre à quatre pattes. Elle n’a pas protesté. J’avais une vue imprenable sur son oeillet.
Elle a dû sentir mon regard. Elle s’est retournée pour me désigner son sac : « Mets une capote et baise-moi. » Je me suis couvert pour m’introduire en elle. Je n’ai ressenti aucune résistance. Elle était très excitée. D’ailleurs, le rythme auquel je la pénétrais ne semblait pas lui convenir : « Tu as oublié ? Je suis votre pute… Alors, défonce-moi comme telle. » J’ai lâché toute retenue et je lui ai envoyé des coups de bite plus profonds, plus rapides. Pas ingrats, Guido et Lionel ont pris en charge ses seins, un chacun. Ils les ont malaxés en prenant bien soin de ne pas oublier les gros tétons de cette « bourgeoise en chaleur ». Mais, bientôt, Guido et Lionel en ont eu marre de la sucette. Dans l’obligation de se couvrir avant d’aller plus loin, ils sont sortis de la bouche de notre pute d’un jour. Cette dernière, pas rassasiée, est venue se placer devant moi pour entamer une branlette espagnole. J’avais l’impression que ma bite allait se noyer dans son opulente poitrine.
Lionel s’est allongé sur les couvertures et a invité Madame à le chevaucher. Le sourire entendu entre mon patron et Guido ne masquait guère leurs intentions : la prendre en sandwich. À peine s’était-elle empalée sur le pieu de Lionel que Guido est venu presser son gland contre son anus. Cette salope a écarté ses fesses au maximum avec les deux mains. « Vous voyez patron, je savais qu’elle n’attendait que ça, se faire démonter le cul comme une pute. » Joignant le geste à la parole, il s’est enfoncé sans ciller dans l’anus de la propriétaire. Toujours grande gueule, Guido en a remis une couche : « Eh Pierre ! Tu attends quoi ? Tu n’as pas encore compris ? Elle veut être prise de partout. Enfonce-lui ta bite dans la bouche ! » Je ne me suis pas fait prier. Pendant de longues minutes, les cris de jouissance ont résonné sur le chantier. À certains moments, j’avais même l’impression qu’on nous matait. Je n’avais plus qu’une envie, la sodomiser. J’ai osé demander à Guido de me laisser sa place, mais il m’a envoyé balader. Lionel a plaidé ma cause en pariant que je n’étais « jamais passé par-là ». Notre partenaire m’a interrogé du regard, et je n’ai pu qu’acquiescer. C’est elle qui a repoussé Guido. « Puisque c’est ce que veut Madame… »
J’ai pris place derrière elle. Ses entrailles étaient étroites, mais sans plus. Il devait s’agir d’une pratique régulière chez elle. Ce n’était pas pour autant que j’allais bouder mon plaisir. Au fur et à mesure, mes inhibitions ont carrément disparu et je me suis même surpris à l’insulter, sous le regard amusé de mes deux compères. Finalement, c’est elle qui a mis fin aux réjouissances après avoir joui dans un cri rauque. Mais en Vampirella avide, il lui fallait aussi notre sperme. Elle nous l’a réclamé en essayant de reprendre son souffle. Guido n’a pas hésité pas une seule seconde et lui a planté son membre dans la bouche. Nous l’avons rejoint. Guido a craqué le premier et a éjaculé au fond de sa gorge. Un peu de liquide blanchâtre a coulé le long de ses lèvres. C’en était trop. J’ai balancé la sauce à mon tour, de manière désordonnée, si bien que j’ai atteint (involontairement) ses cheveux, son visage et ses seins. J’ai bientôt été rejoint par mon patron.
Toujours allongé, le corps de la propriétaire portait les stigmates de l’étreinte. Son slip était déformé et ses bas troués, sans parler de son visage et de sa gorge, souillés. Paradoxalement, elle nous souriait. Nous l’avons aidée à se relever et à retrouver une allure convenable. Chacun d’entre nous a eu droit à un merci. Puis, elle nous a quittés. Guido n’a pas pu s’empêcher de lui glisser : « Ce n’est qu’un au revoir… » Mais on a appris plus tard qu’elle n’était pas la vraie propriétaire, juste une amie de passage !
(Image à la une : Getty Images)
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