Dans les toilettes du bar
29 juillet 2020Adrien, 28 ans, se rend dans son bar habituel. Cette fois-ci, il rencontre un groupe de femmes très sexy dont une qui va attirer particulièrement son regard.
Il m’est arrivé récemment un truc dingue, un truc tellement incroyable que je me suis dit que, pour la première fois de ma vie, j’allais vous écrire mon histoire de sexe. Il y a un bar dans Paris, dans le 15e arrondissement dans lequel j’adore traîner avec mes potes. Il se trouve à égale distance de nos trois appartements, et nous nous y retrouvons presque tous les jeudis et vendredis soir pour parler de notre semaine, du boulot, de la vie, du monde qui doit changer, enfin, de tout et de n’importe quoi.
C’est un bar assez cosy, plutôt haut de gamme sans trop de prétention. La clientèle est d’habitude assez mélangée, il y a parfois quelques étudiants qui prennent une bière, des couples assez âgés qui viennent dîner, des collègues de bureau qui commandent une planche de charcuterie à la sortie du bureau. Bref, on voit passer de la cravate, des sacs à dos plein de polycopiés, des sacs à main de marques, mais là, c’est la première fois que je voyais une bande d’escarpins à talons hauts débarquer dans notre tanière.
Si nous sommes tous les trois d’un naturel assez sage, nous n’avions pas pu nous empêcher de tourner la tête d’un mouvement commun vers les quatre bombes qui venaient de pénétrer dans l’établissement. Cheveux lisses, sourcils épilés, mascara XXL, robes hyper moulantes… elles détonaient carrément par rapport à la population habituelle. Clément, le serveur, est allé prendre leur commande et est revenu trois minutes plus tard avec quatre cocktails aux couleurs rouges et roses.
J’étais un peu vexé, normalement, on met toujours plus de dix minutes à être servis ! J’ai hélé Clément et je lui ai dit que la prochaine tournée qu’elles prendraient, c’était pour moi. Il m’a fait un clin d’œil entendu, et une petite demi-heure après, les filles reprenaient des verres à nouveau. Elles se chauffaient certainement avant d’aller en boîte de nuit (même s’il n’y a absolument rien dans le quartier). Bref, apprenant que je leur payais cette tournée, nous avons été invités tous les trois à leur table pour discuter.
Mes potes m’ont donné de grandes tapes dans le dos pour me dire « merci », je leur ai dit que c’était à charge de revanche (même si je sais qu’ils n’oseront jamais, ils sont beaucoup trop timides pour ça). Arrivé à leur table, je n’arrivais pas trop à suivre leur conversation. Elles parlaient et riaient fort, avec un accent très prononcé, sûrement d’Amérique latine ou quelque chose comme ça. Une des filles m’obnubilait en particulier.
Elle avait un regard pénétrant, des dents parfaitement alignées, et un décolleté extrêmement osé ! Pour être honnête, j’avais une érection depuis que j’étais venu m’asseoir auprès d’elle. J’avais envie qu’elle serre ma queue de ses délicates mains et qu’elle la porte à sa bouche scintillante. N’en pouvant plus, je me suis levé pour aller aux toilettes, et, croyez-le ou non, elle m’a suivi !
C’était complètement dingue d’entendre ses talons derrière moi, taper d’un pas précis le parquet, puis les marches de l’escalier. Avant de pénétrer dans les toilettes des hommes, je me suis retourné vers elle et je l’ai embrassée dans la salle d’eau commune. Heureusement, personne ne pouvait nous voir. Elle m’a rendu mon baiser en triple, glissant bien sa langue jusqu’au fond de ma gorge. Elle a même pris l’initiative de me tirer par le col, d’un geste très autoritaire, dans les toilettes des filles, de fermer la porte à clé et de me faire la pipe de ma vie ! Elle suçait comme une acharnée, un peu à la façon « film porno ». Personne ne m’avait jamais sucé comme ça.
On a fait deux trois autres trucs sinon, je l’ai un peu doigtée et j’ai glissé ma bite à l’entrée de ses orifices. Comme nous n’avions pas de préservatif, elle ne voulait pas que j’aille plus loin, et je la comprenais très bien ! La scène a duré 5 minutes à peine, mais elle est restée gravée à jamais dans ma tête. Je n’ai rien dit à mes potes en me retournant m’asseoir, mais à mon sourire réjouit, ils savaient déjà. Mais ils ne m’ont jamais posé de questions.