Chaudes révisions chez ma tante

La rédaction 15 février 2021

Ludovic, 22 ans, un étudiant gonflé à bloc profite de sa visite chez sa tante pour se soulager avant les exams. Sa charmante tante va donc lui vider la tête…mais pas que !

Je m’appelle Ludo, j’ai 22 ans et voici mon histoire de sexe.

L’année dernière, l’été annonçait des vacances studieuses. En effet, je n’avais rien trouvé de mieux que de rater ma licence, et je me retrouvais donc avec des épreuves à rattraper en septembre. Je vivais encore chez mes parents, comme beaucoup d’autres Tanguy de mon âge.

Ma mère avait demandé à sa belle-soeur, Sabrina, qui habite en Gironde, de m’héberger une quinzaine de jours, afin que je puisse réviser à l’abri des tentations de Paris. D’origine tunisienne, Sabrina était divorcée et vivait seule. Elle m’a accueilli à bras ouverts, très heureuse d’avoir un peu de compagnie.

La première semaine, je suis resté enfermé dans la maison, à réviser sur la grande table de la salle à manger. Le soir, quand Sabrina rentrait de son travail, nous allions piquer une tête dans la piscine. Je profitais de ces moments de détente en maillot de bain (la chaleur était étouffante) pour me rincer l’oeil. Depuis l’adolescence, je fantasmais sur cette belle femme sensuelle à la peau cuivrée.

Sabrina avait des formes très appétissantes et, l’air de rien, j’essayais de deviner ses grandes lèvres à travers son slip de bain mouillé. Le samedi matin, je m’étais réveillé très tôt. La queue dressée dans mon slip (comme tous les garçons), j’ai filé aux toilettes. Là, surprise : ma tante était déjà levée. En petite tenue, une serviette nouée sur ses cheveux mouillés, elle buvait son café, appuyée contre le mur de la cuisine. En revenant des toilettes, je l’ai embrassée pour lui dire bonjour, la bite encore un peu gonflée. Je suis sûr qu’elle s’en est aperçue. Pendant que je prenais mon petit-déjeuner, elle m’a demandé : « Tu veux piquer une tête ou te faire une petite bronzette avant de reprendre tes révisions ? — Pourquoi pas ? »

Aussitôt la dernière gorgée de café  avalée, je l’ai rejointe au bord de la piscine. J’ai été un peu surpris de voir qu’elle prenait un bain de soleil en mini bikini. Elle m’a demandé si cela me dérangeait. Je lui ai répondu que non (évidemment !) et, plutôt que de plonger, je me suis allongé sur ma serviette, mais sur le ventre… Sabrina me troublait terriblement. Nous sommes restés un long moment à discuter, et elle a commencé à me poser des questions sur ma vie intime. Je lui ai expliqué que je venais de rompre avec ma copine, que je trouvais trop immature. J’ai ajouté que j’étais plutôt attiré par les femmes plus âgées. « Je comprends », m’a dit Sabrina d’une voix douce. « Tu sais, dans la vie, il faut prendre les choses comme elles viennent. » J’ai trouvé cette phrase très ambiguë. La discussion dérapait peu à peu.

Quand j’ai pris un tube de crème solaire pour m’en étaler sur le corps, elle m’a proposé son aide, que j’ai évidemment acceptée. Elle a commencé par mettre de la crème sur les épaules, puis a entrepris de m’en étaler sur tout le corps. Ses mains glissaient sur mes reins, mes cuisses et mes mollets. Mon sexe s’est mis à gonfler un peu. « À toi de me passer de la crème », a-t-elle lancé brusquement.

Et me voilà en train de tartiner de crème solaire le corps de ma tante. La situation devenait de plus en plus excitante… Et, comme c’était ma première journée de détente, j’étais bien décidé à en profiter. En lui passant la crème sur les cuisses, je me suis rendu compte que Sabrina les écartait imperceptiblement. Elle s’est retournée sur le ventre pour que je m’occupe de l’autre face. Comme je lui étalais de la crème dans le bas du dos, elle m’a tendu ses fesses. Je me suis lancé. J’ai glissé une main sous son maillot. Elle a poussé un soupir. Mon majeur s’est insinué dans sa raie, puis est descendu sur sa petite fente toute lisse et humide. Mon coeur battait à cent à l’heure. Elle respirait de plus en plus fort. Elle a passé sa main sur mes couilles, qu’elle a caressées à travers le tissu du maillot.

Je me suis levé et j’ai retiré ce slip encombrant. Ma bite a claqué contre mon ventre. Sabrina s’est mise à genoux pour me sucer. Elle me branlait bien tout en m’aspirant le gland, bavait sur ma queue en faisant des « mmmm » qui résonnaient sur mes chairs. Elle m’a regardé droit dans les yeux et m’a avoué : « J’ai envie de ta queue depuis ce matin… » Puis, elle a repris mon gland entre ses lèvres, tout en appuyant sur mon frein avec son pouce. De temps en temps, elle me prenait tout au fond de sa gorge tout en m’empoignant les fesses. Je sentais que j’allais jouir. J’ai essayé de faire le vide dans ma tête, et je me suis allongé sur le dos. Sabrina est venue s’empaler sur mon dard. Elle faisait entrer et sortir ma bite dans un bruit de claquement mouillé. Je me suis redressé pour prendre ses fesses dans mes mains. J’accompagnais ses va-et-vient.

J’ai récupéré un peu de sa mouille pour lui lubrifier la rosette et, quand j’ai glissé mon majeur dans son cul, elle a joui, secouée de spasmes, en laissant échapper des petits cris. Elle m’a roulé une pelle voluptueuse, puis s’est mise à me sucer comme une affamée, jusqu’à me faire gicler.

Inutile de vous dire que la semaine qui a suivi a été un peu laborieuse côté révisions. Par contre, côté sexe, je crois que je n’ai jamais autant appris.

J’ai finalement eu ma licence. Et j’ai dignement fêté ce succès, en pensant très fort à ma chère tante, bien sûr.

(Image à la une : Getty Images)

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