Sombre désir

La rédaction 14 juin 2021

Marina, 28 ans, a un fantasme bien connu : la coquine s’excite sur les hommes noirs, on la comprend, un beau black ça ne refuse pas !

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Cela va peut-être vous paraître cliché, mais je suis une jeune femme blanche qui fantasme éperdument sur les hommes noirs. Je ne veux « exotiser » personne ni faire de généralités, mais voilà : les hommes à la peau sombre exercent sur moi un puissant pouvoir d’attraction. Je vous raconte mon histoire porno.

Les représentations symboliques y sont sûrement pour quelque chose. Le corps de l’homme noir est souvent fantasmé car on projette sur lui toutes sortes de représentations : gros sexe, performance… J’en étais là de ces considérations quand j’avais 25 ans, à rêver de gang-bangs avec des hommes noirs et à jouir en me masturbant comme une démente, soulevée de plaisir par mon imaginaire transgressif. Je matais des films pornos « interraciaux » dans lesquels des femmes blanches et minces comme moi se font défoncer par de magnifiques blacks aux sexes énormes et aux muscles saillants. Ces images entretenaient mes rêveries érotiques et mes séances de plaisir solitaire frénétique. Mais comme souvent, la réalité diffère du fantasme. Elle le déçoit ou le dépasse, elle le taquine, le nourrit, le surpasse.

J’étais à une soirée avec des amies. Elles étaient fatiguées. Elles sont parties sur les coups de 3 heures du matin. Moi, j’avais envie de continuer de danser comme j’aime le faire. Seule, au milieu de la piste, à sentir les regards posés sur moi. Il s’est approché de moi. Évidemment, il n’était pas comme les hommes des pornos que je regardais. Et c’était très bien comme ça. C’était un homme noir, avec un peu de ventre, un visage doux et des épaules rondes. Nous avons dansé l’un contre l’autre. Je n’avais rien prémédité, je me suis laissée aller à ses mouvements de hanches. On s’est frottés comme ça pendant de longues minutes. J’ai senti son odeur, ses mains. Tout est monté d’un coup, comme si je mouillais, physiquement et mentalement. Nos bouches se sont unies. Son parfum m’enivrait, sa bouche et la pression de son corps contre le mien m’excitaient. Je sentais sa bite collée contre moi. J’étais en eau. « On s’en va ? », ai-je demandé. Il m’a suivie. On est allés chez lui. J’oubliais les films, j’oubliais les fantasmes, je savourais l’instant, sa différence, la forme de ses mains sur moi et l’image si belle de sa peau sombre sur ma peau claire. 

On s’est déshabillés. Je découvrais son corps d’homme, ses poils et son embonpoint que je trouvais charmants, son braquemart dressé qui n’avait rien d’un mastodonte, mais qui était juste beau tel qu’il était. Il a fait glisser ma petite culotte le long de mes jambes, a embrassé mon ventre, l’a caressé avec ses paumes qui le recouvraient presque entièrement. Puis il est descendu entre mes cuisses. Je sentais son souffle sur ma petite chatte humide. Il a sorti sa langue pour me goûter. Très délicatement. J’ai tressailli. Mon amant s’est mis à me donner des coups de langue plus francs et à battre mon clitoris de cette caresse que j’aime tant, avec des petites poussées appuyées qui viennent brosser mon petit bouton de chair. Ses mains couraient sur mon cul et mes hanches. Je voyais son visage se mêler à mes poils de chatte, sa tête s’unir à l’arc doux entre mes jambes, comme pour y trouver refuge. Je me suis cambrée pour accompagner ses caresses et j’ai joui d’une jouissance intense, galvanisée par cette image de lui, dévoué à mon plaisir.

L’homme s’est redressé et a glissé entre mes cuisses ouvertes. On avait chaud et nos deux corps se sont collés ensemble avec la transpiration. Il a frotté son chibre contre ma chatte palpitante de l’orgasme tout récent. Il a frotté, frotté, et j’étais encore plus tremblante de désir. 

Je voulais qu’il me remplisse jusqu’au délire. Il a senti mon impatience et est entré en moi. La pénétration était un peu douloureuse car il avait quand même un assez gros sexe pour mon petit trou. J’ai laissé échapper un petit cri et il y est allé tout doucement, en poussant son sexe au fond de moi lentement, jusqu’à ce que je l’engloutisse tout entier. Quand il a été bien calé à l’intérieur, il s’est mis à me baiser franchement, et là, la réalité rejoignait le fantasme. Il me prenait passionnément, sauvagement, comme j’en rêvais. Je me suis abandonnée à ses assauts et j’ai accompagné la baise de petits coups de hanches pour bien le sentir au plus profond de moi. Je me suis retournée pour qu’il me prenne en levrette et il m’a à nouveau baisée comme un fou. On criait, on suait, c’était comme dans mes pornos préférés, en mieux. Quand il a été au bord de jouir, j’ai sucé sa queue en le regardant à travers mes mèches de cheveux collées par la sueur. Son zob était délicieux sur ma langue et je l’avalais comme une friandise. Il a éjaculé sur ma poitrine avec ce foutre épais qui jaillissait de sa belle bite brune. 

Cet homme m’a rendue dingue. Nous ne nous sommes jamais revus, mais je pense souvent à lui quand je me masturbe. 

(Photo à la une : Getty Images)

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