Sodomisée par mon véto

La rédaction 25 janvier 2021

Romane, 27 ans emmène son chien chez le vétérinaire. Finalement c’est le docteur et sa cliente qui vont finir par baiser comme des bêtes.

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Je m’appelle Romane, et j’habite en Seine-Maritime et voici mon histoire de sexe.

Dans la maison que j’ai héritée de mes parents, avec mon vieux chien qui a dans les 11 ans. Je l’ai trouvé dans la rue, il y a environ six ans. Il ne devait pas avoir été très bien traité par ses anciens propriétaires, il était tout piteux, tout sale, il m’a lancé un grand regard triste, et moi, j’ai complètement fondu.

À l’époque, je venais de perdre mes parents, et Nietzsche (c’est le nom que j’ai donné à mon chien) m’a beaucoup aidée à surmonter mon deuil. Du coup, je suis hyper-protectrice avec lui, d’autant qu’il n’est vraiment plus tout jeune. Alors, le jour où il a été malade, j’ai un peu paniqué. En plus, c’était un dimanche, il a fallu que j’appelle le véto de garde…

D’une voix plutôt engageante, il a répondu au téléphone : « Pas de problème, on va pas la laisser souffrir comme ça la pauvre bête, je suis là dans moins de deux heures. » Et effectivement, il a débarqué, même pas une heure et demie plus tard. Moi, tout ce temps-là, je l’avais passé à caresser Nietzsche et à le rassurer. Les chiens comprennent tout, alors il ne faut pas hésiter à leur parler, à leur expliquer les choses… Le véto avait une allure nonchalante, un sourire en coin, il était assez sexy. Moi, je ne l’avais pas reconnu, mais lui oui. Il m’a dit : « Mais tu ne te souviens pas ? On était au lycée ensemble. T’étais en terminale et moi en seconde. T’étais déjà la plus belle… » Forcément, j’ai un peu rougi. Et je me suis souvenue : « Ah, c’est toi Kevin ? Le fils du véto? T’es devenu véto à ton tour, comme ton papa ? » Je me suis moquée un peu de lui. « L’amour des animaux, c’est de famille, que veux-tu…« , a-t-il répondu, plein d’assurance.

Franchement, j’ai complètement fondu pour lui à cet instant-là. J’avais hâte qu’il fasse sa piqûre à Nietzsche, qui avait finalement un truc pas bien grave mais douloureux, et qu’il s’occupe de moi. Quand Kevin s’est relevé, j’ai mis mon bassin en avant, rentré mes épaules, sorti ma poitrine, et je lui ai demandé, d’une voix sexy : « Tu t’occupes aussi des grands mammifères ? » Je lui ai fait comprendre du regard que je parlais de moi. Lui, il s’est tout de suite pris au jeu.

Alors que mon bon vieux Nietzsche dormait du sommeil du juste, le véto s’est mis à faire semblant de m’ausculter, il a palpé mes seins lourds en serrant très fort, et moi je lui ai montré mes fesses pour qu’il les examine aussi — on n’est jamais trop prudent avec sa santé, n’est-ce pas… Je n’ai plus pu résister après ces quelques minutes de touche-pipi, je lui ai roulé un énorme palot. Des sortes de décharges électriques ont envahi mon bas-ventre, et j’ai senti que je commençais à être sérieusement chaude. Le fond de ma petite culotte est devenu tout mouillé. Je lui ai empoigné les burnes et j’ai constaté, avec une grande fierté, que le véto de garde avait la bite au garde-à-vous. J’ai ouvert le zip de devant. Son bel organe a jailli. Je l’ai attrapé au vol, et je l’ai tendu contre son ventre (il atteignait presque son nombril !) pour pouvoir en lécher le dessous à mon aise. Ma langue est passée et repassée le long de sa colonne nervurée, puis je lui ai fait mon « spécial » : j’ai fait semblant de lui mordre les burnes, mais je me suis contentée d’en mordiller légèrement la peau élastique.

Puis j’ai enfourné sa queue comme l’affamée de la bite que je suis. Son gland gonflé me remplissait déjà pas mal la bouche, j’ai enserré les lèvres un maximum autour du noeud rouge, et j’ai balancé la tête d’avant en arrière, en me concentrant, de plus en plus fort, de plus en plus vite. J’avais ses fesses bien en main, le bout de mes doigts s’enfonçait légèrement dans sa peau, et j’ai senti qu’il se mettait à trembler, j’ai cru qu’il allait venir.

Mais non, il m’a repoussée gentiment et il m’a allongée. J’ai pressé mes deux seins durs l’un contre l’autre pendant qu’il m’écartait bien les jambes. Il a légèrement entrouvert mes petites lèvres et il y a craché un fin filet de salive avec une grande précision. J’ai senti sa bave noyer mon clitoris, dévaler doucement le long de ma fente, ses doigts ont vite suivi le chemin tracé : « Je suis un spécialiste des félins« , a-t-il soufflé et « en particulier des petites chattes. Laisse-moi m’occuper de la tienne. » Je l’ai plutôt attiré brutalement à moi. Chair contre chair, nos deux chaleurs se mélangeaient, nous brûlions, je brûlais.

Je l’ai forcé à rester allongé et à me laisser faire… Je me suis assise sur lui en lui tournant le dos, et je me suis encastrée, accroupie, en jouant du fessier, sur sa tour de contrôle. J’ai senti chaque nouveau centimètre en moi, je n’étais pas habituée à un peu, ça a même fait un son grinçant. Mais, une fois que ça y a été, ça y a été, et il m’a dévissée comme il fallait. Il me tenait virilement par la taille, et m’a fait sauter sur sa bite jusqu’à ce que je jouisse et que je n’en puisse plus.

Soudain, il m’a retournée, et j’ai senti un doigt s’introduire dans mon oeillet. J’allais avoir droit à la totale ! Tant mieux. Je suis plus anale que vaginale ou clitoridienne, mais c’est toujours difficile de dire à un type, la première fois : « Encule-moi, mon amour. » Y’en a que ça peut faire fuir, je vous jure ! Mais là, je n’ai pas eu à demander, et sa bite, toujours aussi dure que l’acier, m’a percé l’intimité. C’est entré comme dans du beurre. Il faut dire que j’en ai l’habitude.

J’avais les entrailles retournées, tout cela était trop intense, trop bon. Mes tempes sont devenues brûlantes, une pression incroyable s’y est accumulée, que j’ai laissé ressortir en jouissant une seconde fois, alors qu’on venait de changer de position. J’y suis allée de mon petit jet sur ses cuisses, et il a eu l’air ravi. Je l’ai nettoyé et fini à la bouche, et on a conclu en se roulant des grosses pelles, comme à l’époque du lycée.

Il avait une autre consultation, il a dû partir très peu de temps après. Mais il m’a promis de repasser en soirée pour voir comment le traitement agissait sur Nietzsche. Et puis, on avait pas mal de souvenirs du lycée à se raconter…

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Merci docteur


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