La mariée était en foncé
6 août 2019Émilie, Narbonne.
Coucou les interstron.ruistes ! Moi, c’est Émilie de Narbonne et pour les habitués de la revue vous me reconnaîtrez sur les photos. Sauf que là, je suis un peu habillée… Eh oui, je me suis mariée avec mon gros coquin ! Bon, trêve de blabla, après moultes aventures aussi cochonnes les unes que les autres partagées avec mon homme depuis maintenant deux ans et demi, nous avons décidé de sauter le pas et de nous unir pour le meilleur et pour la jouissance ! Je vous passe l’angoisse des préparatifs et vous invite directement à ce jour J.
Ce samedi de mai il faisait un temps superbe, pas de vent et du soleil pour nous bénir. Moi, je courais entre la coiffeuse et l’esthéticienne. Le timing était serré, car la cérémonie était à 11 heures. Mon futur mari gérait tout ce qui était restauration, animation et photographe. Il m’a appelée alors que j’étais encore chez ma coiffeuse pour me dire que le photographe allait passer prendre quelques clichés de ma préparation. J’ai à peine raccroché que la porte du salon s’est ouverte sur un gars d’une quarantaine d’années, 1,75 m, brun aux yeux bleu-vert, le visage bronzé et le corps très sportif.
« Je recherche la future mariée ! Je suis le photographe. » Je n’arrivais plus à placer un mot… Merci à ma coiffeuse. « Elle est là, la star ! » qu’elle a dit. Il a commencé à papoter avec moi et à prendre quelques clichés. C’était un mec vraiment très gentil. Il a même réussi à me faire redescendre la pression avant de passer à l’ultime épreuve !
À 11 heures, je suis sortie de la voiture devant la mairie. Mon futur n’a pas tardé à me rejoindre. Il était beau dans son costume. Les flashs crépitaient, les invités nous sautaient dessus, et les photos s’enchaînaient jusqu’à l’arrivée devant monsieur le maire. Malgré le stress, je ne pouvais m’empêcher de reluquer le photographe qui me regardait de manière bizarre. Je me suis dit que je me faisais des idées, et, de toute façon, il était là pour ça. La cérémonie terminée, nous sommes partis non loin de la maison pour les photos de mariage, les invités nous suivaient. J’étais très gênée car Sylvain (le photographe) n’en avait que pour moi !
Le vent s’est levé et comme le principal des photos avait été pris, nous sommes allés à l’apéro-dinatoire. Les festivités étaient maintenant entamées depuis au moins trois heures, ce qui m’a permis, avec mon mari, de faire le tour de nos convives pour les remercier. Entre temps, mon cher et tendre m’a confié que Sylvain me trouvait vraiment canon. Je lui ai répondu qu’il était tout à fait à mon goût, mais que c’était notre mariage, quand même !
Le repas s’est déroulé dans la joie et la bonne humeur. Sylvain est venu me voir et m’a proposé de refaire des clichés, car le vent était tombé. Je lui ai répondu que je ne pouvais pas laisser mes invités, mais il m’a répondu que mon mari s’occupait de tout. Je suis allée voir mon cœur, et il m’a encouragée : « Vas-y ! Au prix où je le paie, je veux de belles photos ! »
Et nous voilà partis… En route, j’ai découvert un autre homme, très charmant, mais très sûr de lui aussi. Arrivé sur le site, il m’a fait prendre des poses tout en m’aidant à réajuster ma robe. Mais ses gestes aussi précis étaient-ils, étaient quelque peu déplacés de temps en temps : dans le style, on remet le corsage en place et on s’attarde dessus, ou alors la robe fait un pli derrière et on me passe plusieurs fois la main aux fesses pour la remettre… Moi, il m’en faut peu pour m’émoustiller et, l’alcool aidant, je lui ai proposé une dernière série de clichés différents. Il m’a répondu qu’il était OK, mais que je me débrouillerais pour les poses.
J’ai cru qu’il allait faire tomber son appareil quand il m’a vu soulever ma robe, surtout que je n’avais rien dessous à part la jarretière. Là, il m’a bombardée de photos, mais je voyais que son bermuda n’allait pas supporter la chose bien longtemps !
« Allez, on rentre, j’ai lancé, sinon on va finir par faire des bêtises ! » Sylvain a sorti son sexe et m’a répondu : « Oui, faisons des bêtises. » Je me suis accroupie comme j’ai pu malgré ma robe et je l’ai pris en bouche. Je lui ai offert une pipe magistrale. Sa bite était gonflée à bloc ! Je lui ai demandé de se retenir et lui ai indiqué qu’il n’en aurait pas plus s’il n’arrivait pas à gagner la jarretière. Quelle salope je fais ! Mais je m’amusais bien !
Dès notre retour à la fête, j’ai fait part à mon mari de ce qu’il s’était passé, ce qui l’a amusé et excité aussi. La pièce montée servie, le DJ a ouvert le jeu de la jarretière, et devinez qui l’a emportée ? Et oui, Sylvain ! La musique battant son plein, le photographe est venu me rejoindre et m’a demandé si je n’avais rien oublié. « Premier étage, première porte à droite, mets-toi à l’aise, j’arrive ! » lui ai-je soufflé. Mon homme, que j’avais mis au parfum de la situation, m’a donné le feu vert et m’a dit qu’il se joindrait à nous.
Je suis entrée dans la chambre. Il était nu et très en forme. Il s’est allongé sur le dos et nous avons entamé un torride 69. Ensuite, je me suis tournée pour m’empaler sur son sexe, c’était trop bon ! La porte s’est ouverte, et mon mari est venu en renfort. Il m’a présenté sa bite pour que je la suce, ce que j’ai fait avec plaisir pendant que l’autre me bourrait bien fort. Mon cher et tendre est venu derrière moi et m’a lubrifié la rondelle… J’ai pensé : « Ok, j’ai compris, je vais douiller ! » Mais mon petit mari, pour se lubrifier lui-même, n’a rien trouvé de mieux que de m’offrir une double vaginale en préambule… Ce qui a grandement surpris notre photographe ! J’ai eu un premier gros orgasme.
C’est seulement ensuite que ma moitié a investi mon cul, et j’ai craqué une deuxième fois ! Par la suite, ils ont échangé les rôles et j’ai arrêté de compter les montées au septième ciel. Pour les finir, je les ai accueillis dans ma bouche. Miam, miam !
Nous sommes redescendus pour retrouver nos invités qui commençaient à se poser des questions… J’avais changé de robe entre temps, cela leur a suffi comme explication ! Bref, notre nuit de noces a été très palpitante et pour le voyage… Cela reste une autre histoire…
(Photo à la une : Getty Images)
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