Ma première sodo

La rédaction 10 juin 2019

Philippe, Val-d’Oise

ma premiere sodo histoire de sexe

Voici une histoire vécue qui sera peut-être à l’honneur sur un prochain numéro malgré les nombreux témoignages que vous devez recevoir. Lecteur assidu depuis de nombreuses années à interstron.ru et appréciant les DVD, au fil du temps, je me suis fait la réflexion suivante : à lire, voir et entendre les nombreux témoignages de femmes pratiquant la sodomie avec un vif plaisir, je me suis dit qu’il ne devait pas y avoir de différences entre le plaisir ressenti par une femme et celui par un homme pendant une sodomie, l’anatomie étant la même. Plus le temps a passé, plus cette conviction s’est amplifiée. J’en étais venu à me dire : si un jour l’occasion se présente pourquoi ne pas essayer ?

Naturiste et pratiquant la « randonnue » (hélas trop souvent seul), mon statut de nouveau retraité me permet de m’adonner à ces deux plaisirs en semaine, car on rencontre peu de monde. Vers Pâques 2015, alors que la météo annonçait deux très belles journées, j’ai décidé de me rendre à Berck-Plage afin de traquer quelques oiseaux sauvages avec mon appareil photo et peut-être m’y faire bronzer si la douceur était au rendez-vous. Effectivement c’était le cas, et vers midi je me suis installé nu dans le creux des dunes pour profiter des généreux rayons du soleil à l’abri d’un léger vent.

Alors que j’étais installé sur le ventre à dévorer un roman, j’ai remarqué une ombre tout près de moi. Il s’agissait d’un homme d’une cinquantaine d’années qui m’a dit : « Le coin a l’air idéal pour bronzer, cela ne vous dérange pas si je m’installe ? – Pas du tout », lui ai-je répondu. Pendant qu’il se déshabillait intégralement, nous avons échangé quelques banalités, puis j’ai repris ma lecture.
Après plusieurs minutes dans le silence, alors que j’étais absorbé par le roman, j’ai senti comme un effleurement dans mon dos.

Immédiatement, j’ai repensé à ma réflexion et me suis dit que c’était peut-être le bon jour. J’ai tourné la tête vers lui. Comme il me souriait, j’en ai fait de même et au lieu de me replonger dans ma lecture, j’ai posé ma tête sur mes avant-bras. Je m’abandonnais à ses caresses. Il a aussitôt compris le message, car sa main est descendue tout doucement sur mes fesses, les caressant, les malaxant.

J’appréciais, aussi pour lui faire part de ma satisfaction, j’ondulais légèrement le bassin. L’invitation à aller plus loin était sans ambiguïté. Il a délicatement insinué un doigt dans mon sillon et a entrepris de douces caresses sur ma rosette. J’ai écarté un peu les jambes pour lui faciliter le passage. Il en a profité pour introduire un, puis deux doigts. La sensation était nouvelle, mais très agréable.

C’est à ce moment-là qu’il m’a demandé poliment : « Je peux te prendre ? J’ai ce qu’il faut. – Je veux bien, mais c’est une première. – Ne t’inquiète pas, j’irai tout doucement. »

Sans plus attendre il s’est agenouillé entre mes jambes, a posé ses mains sur mes hanches et m’a attiré vers lui pour me prendre en levrette. Après quelques massages bien appliqués avec du gel, j’ai senti son membre, que je n’avais toujours pas vu, se placer contre l’entrée de ma grotte. Le désirant, je me suis détendu du mieux possible. Son gland a eu du mal à franchir la porte, et j’ai ressenti une légère douleur.

Après quelques instants à rester immobile, il est allé un peu plus loin et a commencé de timides va-et-vient auxquels j’ai répondu par des mouvements du bassin. Un vrai plaisir dont je lui ai fait part et qu’il a pris comme un feu vert pour me pilonner de plus en plus vite. Nous sachant seuls, je n’ai pas retenu mes râles de plaisir. À ce moment-là, je me suis dit « comme je comprends les femmes ! » Ces mouvements de plus en plus intenses m’ont rapidement mené à un orgasme d’un autre genre. Il s’est vidé dans le préservatif alors qu’il était encore en moi. Nous avons échangé un sourire et repus de plaisir nous nous sommes allongés sur le dos sans un mot pour reprendre nos esprits.

Ayant tellement apprécié cette première et ne sachant pas quand je pourrais la revivre, car nous habitions loin l’un de l’autre, j’ai voulu remettre le couvert une heure plus tard, mais d’une autre manière. Je me suis penché vers lui et j’ai commencé à le caresser.
D’abord la poitrine, qu’il avait lisse, puis je suis descendu vers son sexe également glabre. Il n’a pas été long à réagir et lorsqu’il a été bien dur et de bonne taille, je me suis demandé comment un tel engin avait bien pu aller au fond de moi. Heureusement que je ne l’avais pas vu avant qu’il me pénètre, j’aurais appréhendé et peut-être refusé. Je lui ai dit de se laisser faire et de mettre un préservatif. Je me suis enduit la rosette de gel et me suis accroupi au-dessus de son sexe. Je l’ai dirigé et une fois en contact, je me suis laissé descendre tout doucement. Cette fois, c’est moi qui étais maître de mon plaisir, imprimant ma propre cadence jusqu’à une nouvelle jouissance explosive.

Comme il n’avait pas joui, j’ai retiré son préservatif et l’ai masturbé jusqu’à ce qu’il explose et répande son foutre sur mes doigts et son ventre. Avant sa jouissance, j’ai été tenté de le prendre en bouche tant il me faisait envie et aussi pour connaître le plaisir ou le dégoût qu’y trouvent certaines femmes. Ce sera peut-être une prochaine étape !

Voilà, je suis devenu addict à la sodomie passive sans me sentir homo pour autant, car lorsqu’il a voulu me remercier en m’embrassant, j’ai refusé et je ne suis toujours pas prêt à franchir ce pas… À moins que…

(Photo à la une : Getty Images)

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  • GG

    Un très joli récit qui incite à passer à l’acte cet été sur les plages de l’atlantique vers Montalivet

  • Monkey

    Tout y est, et c’est dit avec beaucoup de simplicité, simplement prendre un instant de plaisir sans se poser trop de questions. Beau récit.

  • Gérald

    Hétéro, j’ai eu ma première expérience avec un homme tardivement et depuis difficile de m’en passer,je suis passif,soumis avec les hommes, j’ai découvert la pénétration et le plaisir ressentit qui est plus intense et délicieux.
    Je suis quand même hétéro,mais je ne pense qu’a faire l’amour avec les hommes.

    • pourlune75

      Moi c’est pareil. Si ça te dit…

      • Gérald

        Pourquoi pas !

    • Sébastien

      J’aimerai bien tenter et passer ce cape

  • Lati

    J aime bien essayer

  • Nicolas

    Bonjour,
    dragué par un mec dans le metro, à Paris, un soir de février dernier… Il me demanda de le suivre si je souhaitais continuer la conversation…je n’ai eu que quelques secondes avant la fermeture des portes…Je n’ai pas regretté même si ce fut assez brutal mais très excitant à la fois…J’ai pris un pied de folie…et suis resté 2 jours avec lui avant de rentrer chez moi (en boitant…lol) Depuis, je cogite beaucoup…c’est vraiment comme une drogue mais pas dangereux…sauf si on tombe sur des hommes qui vous méprise en même temps qu’ils ont envie de vous…
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