Nous irons au bois

La rédaction 7 juin 2021

Mireille, 61 ans nous raconte ses premières expériences naturistes avec son mari. Les deux coquins profitent des beaux jours pour louer un camping car et font une jolie rencontre.

Avec mon mari George, nous goûtons depuis que nous sommes retraités aux joies du naturisme. Nous sommes partis sur les routes, par un beau printemps ensoleillé, dans notre camping-car. Nous nous sommes trouvés un petit coin de paradis sur la côte vendéenne dans un bois avec des pins, face à la mer. Nous nous sentions à l’abri des regards, et comme il faisait doux, nous vivions à poil et nous mangions dehors sur notre table pliante, toujours tout nus. Les premiers jours, nous étions paisibles tous les deux à partager nos repas et la contemplation du paysage. Aujourd’hui je vous raconte mon histoire porno. 

Jusqu’au jour où nous nous sommes sentis épiés. Pour cause, un homme qui devait avoir moins de quarante ans nous observait derrière un tronc d’arbre. « Eh la, espèce de malotrus ! » a crié George. L’homme est sorti de derrière son tronc. Il était tout gêné, mais si beau ! C’était un Apollon, grand, fort, sensuel. On en aurait mangé. Il m’a regardée avec insistance car malgré mes 61 ans, je suis toujours une très belle femme et j’ai senti que les moments où il nous avait matés avaient éveillé un très fort désir en lui. Bon esprit, je l’ai invité à se joindre à nous pour prendre l’apéro.

George m’a tout de suite vue venir et il a eu un air intrigué. Il n’a pas bronché. L’homme s’est assis à notre table et s’est détendu. Il nous regardait toujours avec insistance, car nous étions encore tout nus. À peine avions-nous pris la peine de nouer un paréo autour de nos hanches. Notre convive s’est avéré un excellent compagnon de soirée et au bout de quelques heures, il s’était lui aussi mis à l’aise. Nous pouvions désormais admirer son beau sexe qui reposait encore sur ses bourses.

Mon mari, curieux de voir jusqu’où ces enfantillages pourraient nous mener, a proposé un jeu d’alcool et m’a donné pour gage de sucer notre ami. J’étais tout à fait partante, mais pas encore certaine que lui l’était vraiment, peut-être était-il juste un voyeur. Mais non, notre gaillard a accepté volontiers ! Je me suis alors retrouvé les genoux dans l’herbe à lui tailler une pipe mémorable. Sa bite était désormais au garde-à-vous et n’avait plus une once de mollesse.

Ça m’a beaucoup excitée de le voir bander comme ça, alors je me suis relevée pour m’asseoir jambes grandes écartées sur sa bite dressée vers le ciel, sur sa chaise pliante. Comme j’étais déjà nue, il m’a suffi d’un simple mouvement pour me percher sur sa branche. Sa queue m’a comblée : elle était grosse, tonique, vivace !

Mon mari nous regardait faire et je voyais que lui aussi avait commencé à bander et s’était mis à se toucher. J’ai alors redoublé d’ondulations du bassin sur la queue du convive qui était aux anges. Nous étions deux corps soudés sous le ciel étoilé, dans l’air printanier qui flottait autour de nous, éclairés par la lune et un vague néon qui diffusait une lumière douce dans le camping-car. J’ai fait jouir notre beau trentenaire qui visiblement n’aimait rien tant que se taper des femmes ayant le double de son âge, et je me suis dirigée vers mon mari qui avait adoré voir sa femme devenir l’objet de tant de désir.

Nous nous sommes roulés dans l’herbe l’un contre l’autre et je l’ai étreint, mes jambes nouées autour de son dos. Sa queue me martelait son amour avec une vigueur rare dans notre couple. Notre charmant voyeur s’était mis à nous observer avec fascination. Il n’avait plus besoin de se cacher pour satisfaire ses fantasmes : nous étions à sa disposition. Mes cris se répandaient dans le bois et nous étions comme deux loups en train de copuler tout en hurlant à la lune.

Notre ami est vite redevenu dur et alors que je chevauchais mon mari sur l’herbe, il est venu s’installer derrière moi pour me prendre en même temps par le cul. Ce dernier n’a pas opposé de résistance et l’homme savait y faire. J’ai donc pris en moi sa verge rendue à nouveau virile alors que ma chatte se régalait des pénétrations vaginales de mon tendre époux. Deux queues pour le prix d’une, voilà que j’avais été gâtée !

Leur double péné m’a libérée et fait jouir avec fracas, dans un océan de fluides, de bruits mouillés et de plaisir.

Je peux dire que ces vacances à la mer avaient été une bénédiction pour mon con !

A LIRE AUSSI : 

Touchons nous dans les bois 

Naturisme au bord du lac 

Double anniversaire 

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru