Libertins des Caraïbes

Bonjour interstron.ru, je me prénomme Juliette, j’ai 28 ans et mon mari en a 31. Nous sommes commerçants dans le Sud-Ouest. Depuis quelques mois, nous lisons votre revue que nous trouvons très bien, surtout les courriers de lecteurs! C’est ce qui nous a incité à vous raconter notre aventure de vacances. Nous partions pour passer quelques jours en Martinique.Dans l’avion, nous avons rencontré un couple de notre âge. Nous avons sympathisé, puis nous les avons rencontrés dans notre hôtel, drôle de hasard ! Nous avons fait table commune le midi même. Laurent était charmant, plein de délicatesse et d’humour. Il me plaisait beaucoup. Marianne était très jolie et draguait gentiment mon homme. Je voyais bien qu’il n’était pas insensible non plus. Nous sommes allés à la plage ensemble, puis nous sommes sortis en boîte.

Au petit matin, nous sommes rentrés à l’hôtel après avoir un peu trop bu. Nous avons parlé de sexe et nous racontant qu’ils étaient libertins. Ils voulaient essayer avec nous. J’ai regardé mon mec. Il était d’accord. Marianne a pris sa main et elle l’a entraîné sur le lit. Laurent a déposé un baiser sur mes lèvres. Je me suis laissée faire. Sa main a effleuré mes seins. Il était très doux, je me sentais sur un petit nuage. Il a fait glisser ma petite robe et ma culotte. Ses doigts ont envahi ma chatte et il a commencé à me masser le clitoris… e et immédiat, je mouillais. J’ai ouvert les yeux. Il était entièrement nu, son sexe en érection me paraissait énorme. Je l’ai pris en main et je l’ai sucé. Il poussait des grognements de satisfaction. J’ai entendu de petits cris, j’ai regardé vers le lit : mon mari était en train de bourriquer Marianne en levrette. Ses seins ballottaient sous ses coups de reins. Il m’a conseillée, tout sourire, d’en faire autant, «ça fait du bien, tu verras ! » Je me suis allongée sur le canapé et Laurent a écarté mes cuisses pour me lécher doucement, en introduisant ses doigts.

Ensuite, il m’a littéralement possédée. J’ai senti sa grosse queue entrer en moi et venir directement taper au fond, tel un sous-marin. Il a placé mes jambes sur mes épaules et il a poussé sa bite à grands coups au plus profond de moi. Très vite il a jouit en râlant. Il est resté sur moi un long moment. J’ai pris mon pied à mon tour en me branlant le clito avec sa belle queue qui était toujours dure. J’ai crié mon plaisir alors que mon homme se retirait de Marianne pour lui éjaculer sur les fesses. Elle avait sacrément joui elle aussi, en laissant de grandes traces humides sur le lit. C’était une femme fontaine ! Elle m’a regardée avec un petit sourire piteux… Elle s’est excusée pour les dégâts sur le lit…