Un coach sportif très attentif
15 septembre 2022Élodie se fait tranquillement bronzer en tenue d’Ève lorsqu’un appel de Gérald, son coach sportif, vient bouleverser ses plans de l’après-midi. Quoi, un cours particulier et dans un lit en prime ?! Bien décidée à ne pas laisser filer l’occasion, la jolie Élodie se jette à l’eau pour une bonne séance de cardio où le sport se conjugue en chambre.
Les sessions de gym avec un coach privé peuvent vite devenir une parenthèse de drague et de rapprochement physique. Cela faisait un petit moment déjà qu’Élodie sentait les regards plus appuyés de Gérald sur ses courbes. On ne peut nier que son corps sculpté, moulé dans un body stretch, ne laissait personne indifférent.
Ayant, de plus, adopté le “no bra” (plus de soutien-gorge) depuis longtemps, son 95 C ne passait pas inaperçu. De là à recevoir, en ce bel après-midi d’été, une invitation aussi franche, Élodie n’en revenait pas. Sa chatte s’humidifia immédiatement, elle avait rêvé plus d’une fois de confondre séance d’étirement et séance de “tirs”.
Elle remit son petit top rose et sa robe rouge, omettant sciemment sa culotte et fila chez son prof aux pectoraux de dieu grec.
Gérald était là, allongé et nu, un drap de bain recouvrant son intimité. D’un bond il se leva et vint embrasser Élodie, ses mains déjà affairées à la déshabiller. Les bretelles du débardeur roulèrent sur ses épaules et deux seins magnifiques jaillirent ! Gérald resta coi devant la beauté de l’opulente poitrine puis se ressaisit et en suça les mamelons.
Élodie capitula à cet assaut doux et masculin.
Son amant la caressa longtemps avant de gagner avec une lenteur calculée son sexe épilé. Elle avait conscience que sa fente était trempée tant elle était excitée, mais après tout, elle en avait le droit, elle ouvrit les cuisses afin de déposer aux pieds du désir de Gérald l’offrande de son con humide.
Ah ! Quand un homme aime dévorer le fruit d’une femme, cela se sent au premier coup de langue. Bouche grande ouverte, Gérald plaquait une ventouse diabolique, aspirant, léchant, humectant de sa salive l’abricot prêt à tous les assauts.Aucune hésitation à la goûter, à la savourer, à s’enfoncer loin dans ses moiteurs veloutées, jusqu’à déguster le petit trou étoilé là-bas, au creux des fesses.
Élodie était partagée entre se laisser jouir ici et maintenant, le plaisir d’admirer la plastique parfaite de cet Adonis de chair et de sang et l’envie de découvrir enfin cette belle et grosse queue qu’elle entrapercevait par intermittence. Souvent les hommes qui pratiquent la gonflette le font pour compenser un manque de taille au fond du caleçon. Cela ne concernait en rien Gérald qui affichait vingt bons centimètres de braquemart.
Rasée au niveau du pubis, sa bite semblait encore plus grande et dessinait une jolie courbe montante. Le gland était d’ores et déjà décalotté et il disait secrètement à Élodie « suce-moi».
Qu’à cela ne tienne, elle n’y tenait plus. Elle se redressa et saisi l’objet de son désir. Le pénis était chaud, bien dur, gonflé à souhait, les couilles, juste dessous, étaient elles aussi glabres et n’attendaient visiblement que de salvateurs effleurements.
Il avait été généreux, elle ne serait pas bégueule quant à sa pipe en retour. Elle fit d’abord le tour du gland du bout de la langue, paresseusement, elle voulait augmenter la tension de l’instant. Aucun comportement de Gérald ne la força à quoi que ce soit, il laissait faire, les yeux rivés sur cette bouche sensuelle qui commençait de le gober.
Elle pensait sans doute le faire venir avec une simple fellation, mais il avait l’expérience de son côté. Non pas qu’il n’aimât pas être sucé (quel homme n’affectionne pas cette pratique ?), mais il trouvait son plaisir ailleurs et il était plutôt performant et endurant, comme dans le sport.
Il laissa donc la belle à son affaire, elle s’y entendait, pas de doute là-dessus. De délicats coups de langues sous la hampe, des touches légères sur les bourses avant de remonter et d’avaler le fleuret presque entièrement. Elle le branlait en même temps et ses gestes étaient perfection, n’enserrant ni trop ni trop peu la section de bite qu’elle astiquait parfois lentement parfois avec un rythme plus saccadé.
Gérald ne tenait plus, il fallait qu’il possède cette beauté parfaite. Il avait longtemps hésité, ne sachant pas si une ouverture était possible avec Élodie, et là voilà qui se donnait à lui de façon éperdue.
Il accompagna sa silhouette gracile afin qu’elle s’allonge sur le dos, ses jambes ouvertes et son sillon luisant ne laissaient aucun doute sur son état d’excitation.
Ses seins ! Ses seins ! Qu’elle soit étendue, assise ou debout, ces monolithes de chairs restaient de marbre ! À la fois pesants et fermes. Leurs aréoles légèrement ourlées et d’un rose nuancé sur la corolle étaient deux aimants pour ses yeux et ses doigts.
Enfin, il glissa le bout de son membre dur le long de la cicatrice béante. Les lèvres intimes vinrent lécher son épiderme sensible et la muqueuse de son gland. Gérald joua longtemps avec ces oreillons charnus et imbibés, le visage crispé de son amante indiquait explicitement qu’il était sur le bon chemin. Il fit vibrer son engin, communiquant les secousses au clitoris d’Élodie, cette dernière gémit, paupières closes puis son gémissement se mua en un râle guttural surprenant lorsque le sabre, encore au clair, se logea dans son fourreau chauffé à blanc.
Les deux corps se figèrent dans leur chorégraphie, le choc était intense, l’attente avait été trop grande, tous deux voulaient savourer l’instant.
Un souffle, un soupir, voilà, charnellement liés, Élodie et Gérald commencèrent à se mouvoir avec grâce et onctuosité, le pieu coulissait entièrement dans la meurtrière lubrifiée par les abondantes sécrétions de la chatte affamée.
En cuillère, le couple était lové, enflammé lorsque la force du coach ne put se retenir d’exprimer dans toute sa puissance, tout son allant.
Gérald renversa cet entrelacs de courbes ultimes, il affectionnait les femmes soumises, qui s’offraient sans compter à l’imagination de leurs amants. Élodie ne dérogeait pas à la règle, d’une abnégation gourmande, elle savait qu’en se donnant pleinement, elle récolterait le fruit de sa passion en la concrétisation d’un orgasme somptueux, une catharsis libératrice. Le corps fabuleux de cet homme sportif de haut niveau lui prodigua alors toute l’ampleur de ses talents et de ses capacités.
C’était comme si une formidable machine s’ébranlait sous l’effet d’une impulsion secrète. Le pieu fiché en elle devint un piston, un vérin huilé et fourbi par une longue pratique. Un véritable travail de sape, les coups de reins s’enchaînèrent à une allure effrénée, de plus en plus généreux, soyeux, puissants, mais élégants, sans heurts, sans souffle court, sans même une goutte de sueur perlant au front de cet amant magique.
Les monts de Vénus lisses et satinés abandonnaient tout loisir à leurs épidermes de se frotter, de s’effleurer sans aucune gêne, le pistil d’Élodie était débordé de stimuli plus intenses les uns que les autres, elle gémissait librement, le son de ses propres cris alimentant son excitation.
Se relevant sur ses coudes, elle ne put s’empêcher de regarder son entrecuisse, la mécanique bien huilée se déchaînait, saluée par le claquement des chairs, par les clapotis de son vagin en crue, par ses ahanements de plus en plus forts, il lui demanda de se caresser les seins, ce qu’elle fit sur le champ. Pinçant ses tétons et jouant avec ses aréoles élastiques, ses obus si fiers se laissaient malmener et, ce faisant, montraient des pointes de plus en plus effilées.
Un simple « Tu es belle, tu es si belle quand tu es sur le point de jouir !» l’emporta comme une bourrasque orgasmique.
Comment avait-il su ? Par quoi avait-elle été trahie ? Impossible de le lire dans son regard, mais le feu lui arracha un hurlement interminable. Son antre s’embrasa, déversant une lave liquide et l’ignition d’un arc électrique qui enveloppa son corps et son âme dans une seule et même étincelle de bonheur physique.
Tous ses muscles bandés, les jambes recroquevillées autour des hanches de Gérald, elle se laissa couler dans les ondes de la petite mort.
Elle avait passé la ligne d’arrivée avant lui, les cuisses tremblantes, les yeux révulsés, elle était aux prises avec un voyage intérieur dont elle fut longue à revenir. Lorsqu’elle refit surface, Gérald était toujours en elle, immobile tel un Sphinx veillant sur une nécropole sacrée, il la regardait comme si elle avait été une déesse.
« Viens, viens-toi aussi, viens sur moi, libère-toi, je veux te voir jouir…»
Quittant le nid douillet et chaud à regret, le phallus victorieux apparut dans la gloire de son érection. Un javelot dur et brillant de mouille que Gérald emprisonna du bout des doigts. Cela aussi, Élodie adorait, contrairement aux hommes qui empoignent leur bite à pleine main, cachant par la même la beauté touchante de leur sexe.
Quelques va-et-vient, le regard sur la chatte qu’Élodie tenait ouverte avec son index et son majeur, et le méat laissa s’échapper plusieurs traits blancs et onctueux. Le sperme brûlant dessinant une esquisse à la Jackson Pollock sur son pubis.
Match nul ! Un orgasme partout, tout était à refaire, mais ils avaient tout le week-end pour jouer les prolongations, ils ne s’en privèrent pas. Comme quoi, l’entraînement, cela a du bon !