
Ca b……dur !
10 décembre 2025Quand on arrive à l’usine, la gaieté nous illumine », disait une chanson humoristique des années soixante-dix. Cela n’était pas vraiment le cas pour Alexander et Raphaël en entrant dans la fonderie, surtout pour travailler un dimanche, parce que l’entreprise avait accumulé trop de retard dans ses commandes !
Le premier était nostalgique de sa Pologne natale, quant au second, il rêvait des plages de sa chère Guadeloupe si lointaine. Cerise sur le gâteau, les deux amis venaient d’apercevoir Nathaline, la grande patronne du site, rôder dans l’atelier. Comme s’Ils avaient besoin de ça ! Être fliqués par cette blonde incendiaire, une bombe sexuelle déguisée en peau de vache, à qui il fallait donner du « madame la directrice » à tout bout de champ !

Ce ne pouvait pas être plus explicite…
Empli subitement d’une assurance qu’il n’arborait jamais avec les femmes, il se pencha vers les lèvres peintes de son employeur. Un parfum capiteux l’entourait telle une aura captivante. Le premier contact le fit trembler, les bouches s’entrouvrirent et les langues se mêlèrent, un cortège de frissons parcouru son épiderme. Il ne rêvait pas, il était en train de rouler une pelle à « Cruella » en personne, surnom dont tout le monde ici, affublait la boss. Ce premier baiser, aussi inattendu que revanchard, fut la première brique qui entraîna la chute de tous les dominos d’un désir contenu et primal.
En quelques secondes, les deux hommes étaient au chevet de cette beauté au charme sourd et dangereux.
Tantôt c’était Alexander qui lui mangeait les lèvres, l’instant suivant c’était au tour de Raphaël. Très vite, le duo s’en prit à la jupe serrée en tartan bleu. Soulevée d’un geste brusque, cette dernière laissa apparaître une culotte raffinée, assortie au soutien-gorge qui leur explosa au visage lorsqu’ils firent sauter, un à un, les boutons du chemisier en soie. Les doigts musclés eurent tôt fait de libérer les seins des bonnets et d’écarter le fin tissu de la culotte afin de mettre à jour la superbe chatte imberbe de leur patronne.
Tous les accès étaient libres. Alexander se pencha vers la petite moule, d’où s’échappaient de véritables filets d’une mouille épaisse et poisseuse, pour la lécher jusqu’à entendre gémir sa proie, quant à Raphaël, en bon caribéen, il alla goûter une source plus épicée, en appliquant sa large langue sur l’œil sombre du cyclone rectal de Nathaline. Cette dernière avait la tête qui lui tournait, elle réalisait ses deux plus grands fantasmes, la pluralité masculine d’une part et se faire baiser dans l’usine.
Cela faisait quelques temps qu’elle rêvait de se donner sans compter à ses ouvriers, de se laisser porter par leurs phalanges rêches, bercer par leurs effluves rugueux et, surtout, de se faire entreprendre par les grosses bites de ces bêtes en rut ! La lutte des classes allait trouver, enfin, un « con-promis » acceptable.
Jamais on ne lui avait fouillé l’anus avec la langue aussi profondément, elle en défaillait, penchée sur Alexander qui lui malaxait fermement la poitrine. Elle se cambrait outrageusement afin de permettre à Raphaël de la fouir au plus profond de son rectum. Elle s’écroula de plaisir lorsqu’elle sentit deux doigts s’enfoncer dans ses orifices. Ces hommes n’étaient finalement pas aussi rustres qu’elle l’aurait cru, même s’ils n’avaient, c’était évident, aucun tabou !

Elle n’émit aucune réserve quand sa culotte roula sur ses cuisses, non plus que lorsque son soutien-gorge tomba dans la poussière qui recouvrait le sol de l’atelier. Les garçons se concertèrent sur les talons aiguilles et décidèrent de les lui laisser, cela lui donnait un air encore plus salope qui les excitait au plus haut point.
Écuyère émérite, elle enfourcha, sans coup férir, les jambes robustes du polonais, se fichant sans l’ombre d’une hésitation sur son pieu à la largeur démesurée ! Ainsi pleine de cette énorme queue, elle convia le beau guadeloupéen à investir sa bouche avec son gros vit.
Nathaline était au milieu d’un rêve. Elle se faisait pilonner la fente plus qu’énergiquement, tandis que sa gorge était visitée en profondeur par un long chibre délicieusement parfumé. Elle resserra les muscles toniques de son vagin afin d’encore mieux savourer les sensations de ce barreau de chaise qui la défonçait en rythme et sans faiblir.
Sans aucun signe avant-coureur, sans les moindres prémices, un orgasme surpuissant s’invita en elle, libérant ses cordes vocales dans un cri dont elle ne se savait pas capable tant il fut fort !
C’est alors que les rôles s’inversèrent. Ce fut au tour de la patronne d’obéir aux ordres. Les hommes lui demandèrent de s’installer sur le plan de travail, le cul bien écarté. La grosse queue chocolat n’eut aucun mal à trouver le talon d’Achille de « madame la directrice » et se planta d’un coup en plein cœur de son anus déjà dilaté.
Raphaël n’en revenait pas, il était en train d’enculer celle qui le commandait au quotidien, celle sur laquelle il se masturbait souvent, fantasmant qu’il la sodomisait avec brutalité. Mais la réalité était tout autre, Nathaline s’offrait sans retenue, langoureuse, sensuelle, et, visiblement, elle prenait un pied fou à se faire limer le petit trou tout en pompant la colonne gonflée de son collègue.

Alors que le trio se remettait de ses émotions dans une pause passagère, les chaînes de l’usine qui pendaient ça-et-là firent naître une idée chez les deux hommes.
Un regard complice entre eux et le tour était joué, debout, en équilibre sur la table, Nathaline agrippa les extrémités des deux suspensoires. Ainsi crucifiée, toutes les zones de son corps étaient accessibles, et le duo ne se priva pas d’explorer la moindre parcelle de peau, de fait, libérée.
Les géants aux muscles saillants se partagèrent leur amante, lorsque l’un la pénétrait, l’autre donnait sa queue à branler ou à sucer selon son envie. Raphaël, le plus gourmand des deux, fut à l’initiative de ce qui fut le point d’orgue du plaisir de Nathaline, il demanda à leur désormais compagne de sexe de s’enculer sur l’énorme pieu d’Alexander, debout, à la hussarde.
Celle-ci obtempéra immédiatement et recula jusqu’à ce que la colonne au diamètre impressionnant investisse son cul en profondeur. Alors seulement, il s’accroupit devant la douce petite chatte qui perlait de mouille et d’une langue agile, il récupéra le miellat abondant, puis entama une dance frénétique qui parcourut les territoires les plus intimes, de l’orée de l’anus où la bite de son ami allait et venait, jusqu’au délicat clitoris, sans oublier de fouiller le vagin étroit et feutré de deux doigts alertes.
L’apogée fut tel que le trio manqua de peu de chuter. Les trois tourtereaux décidèrent donc de regagner le sol pour conclure leur joute.
Sensuellement, Nathaline se fit encore du bien en chevauchant la pine de Raphaël tout en administrant une nouvelle fellation à Alexander.
Un ultime orgasme la dévasta avant qu’elle n’invite ses deux amants à se libérer de leur semence en éjaculant sur son corps, allongé sur la table de l’atelier.

Mais, pourquoi ne pas l’y rejoindre …













