Coup fourré

La rédaction 7 septembre 2019

Virginie, 31 ans, Toulouse.

Image Coup fourre

Pendant les vacances de fin d’année, j’ai passé une journée avec Pauline, ma meilleure copine. Elle aime autant les garçons que les filles. Ça ne me dérange pas. Nous avons fait les magasins une bonne partie de la journée avant de finir l’après-midi chez moi. Je lui ai confié que j’étais embêtée car ma gynécologue avait arrêté d’exercer et que je ne savais plus chez qui aller. Elle m’a dit que la sienne était une « bonne amie » à elle et qu’elle pourrait m’avoir un rendez-vous assez vite.

Sans plus attendre, elle l’a appelée sur son portable. Vite fait, bien fait, et sans rien me demander, elle a dit ok pour le soir même, à 18 heures.
En raccrochant, Pauline m’a expliqué que j’avais de la chance, qu’une patiente avait annulé son rendez-vous. Je ne m’attendais pas à ce que ça soit si rapide. Le temps de prendre une douche, et c’était déjà l’heure de partir… Pauline a insisté pour m’accompagner.

La gynéco était une jolie jeune femme, très souriante. Elle m’a créé un dossier et m’a indiqué la pièce voisine. Je me suis mise en sous-vêtements pendant qu’elle discutait avec Pauline. À ma grande surprise, elles ont débarqué toutes les deux dans la salle d’examen. La gynécologue a redressé la table, m’a dit d’ôter le reste de mes vêtements et m’a installée dans les étriers.

La table d’examen était petite, remontée presque à la verticale. J’étais pratiquement pliée en deux, je voyais bien ma mounette. Le docteur m’a palpé le cou, m’a fait placer les mains sur la tête pour contrôler très minutieusement mes seins, en s’attardant sur mes tétons, qu’elle a pressés. Pauline me tenait la main. Elle la serrait anormalement fort, comme si c’était elle qui était examinée !
La gynéco a palpé mon ventre, disant que mon ticket de métro était très réussi. Lorsqu’elle a écarté mes lèvres, elle m’a demandé si je mouillais toujours aussi facilement. Je n’ai pas su quoi répondre. Je ne pouvais pas avouer que j’étais très excitée d’être à poil devant ma meilleure copine. Le contrôle au spéculum a été rapide. Par contre, la fouille avec les doigts, elle, a duré longtemps. J’avais du mal à dissimuler le bien que ça me faisait. Pauline matait mon entrecuisse, son regard s’est attardé sur mon clito qui pointait. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle saisisse mon petit bouton pour le décapuchonner et le titiller. C’en était trop, j’ai joui sans retenue.

Pauline a parlé à l’oreille de son amie. Celle-ci a pris une poire et a enduit la canule de gel. Pauline tenait une cuvette sous mes fesses.
La gynéco a écarté mon œillet, j’ai vu la canule disparaître dans mes fesses. La toubib a envoyé des jets tièdes à plusieurs reprises, je n’en pouvais plus, le bruit du liquide qui tombait dans la cuvette m’excitait trop. Cette salope était en train de me faire un lavement sous le regard émerveillé de Pauline. Elle a ensuite étalé une bonne dose de gel sur mon oignon avant d’y entrer un doigt, puis plusieurs. Mon anus était sacrément étiré.

Le docteur a ordonné que je me retourne, ce que j’ai fait, à genoux sur la table. Leurs regards m’échauffaient. J’ai senti que quelque chose forçait ma rondelle, je me suis un peu crispée. Pauline m’a fait un bisou en pelotant mes petits seins. Elle m’a expliqué que la gynéco m’enfonçait un cône en plastique pour vérifier la largeur de mon œillet. Quand la gynéco a décrété que mon anus était plus large que celui de ma copine, j’ai compris qu’elle lui avait fait « subir » le même examen.
Sur le chemin du retour, Pauline m’a dit que j’étais super bien foutue, et qu’elle espérait que je l’excusais pour tout à l’heure, qu’elle n’avait pas pu résister à l’envie de me toucher le bouton rose. Pour toute réponse, j’ai posé ma main sur sa cuisse. Elle a aussitôt ouvert les jambes en relevant sa jupe. Du coup, j’ai stoppé la voiture dans un endroit tranquille.

Mon string était bien mouillé. Je l’ai écarté, j’ai découvert son sexe complètement lisse et tout baveux. J’ai entré plusieurs doigts dans sa moule et je les ai agités. Elle a retiré ma main de sa chatte pour m’y mettre la tête. Je l’ai léchée du mieux que j’ai pu, je n’avais jamais fait ça avec une fille. Ce n’était pas désagréable. En même temps, elle se branlait le clitoris, il était beaucoup plus gros que le mien. Je l’ai aspiré et mordillé,  elle bougeait beaucoup. Tout à coup, elle s’est crispée en poussant des petits cris, et elle s’est lâchée sur mon visage. Je me suis ensuite relevée, la figure couverte de mouille, et Pauline m’a embrassée en me roulant une grosse pelle !

Depuis, nous avons passé une soirée en couple, avec nos chéris. Ils ne savent rien de notre relation. Nous avons réussi à nous éclipser dans la cuisine pour pouvoir échanger quelques baisers. Nous avons prévu de repasser bientôt une journée ensemble, et je sais que nous ne ferons pas les magasins. Pauline m’a fait découvrir l’amour entre filles, c’est beaucoup plus doux que l’amour avec un homme. Ça ne change rien à mon couple, j’aime mon homme, mais j’aime aussi faire l’amour avec ma copine.

J’ai hâte de découvrir son corps nu en entier, et de me blottir contre ses gros seins. À bientôt, donc…

(Image à la une : Getty Images)

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  • Franck

    Très excitant ce récit 🙂

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