Une aventure sensorielle avec un inconnu
23 octobre 2023Isa rêvait de réaliser son fantasme couché avec un inconnu dans l’obscurité chez elle et exploré à l’aveuglement chaque petit morceau de son intimité.
L’œuvre au noir
Je rêvais de réaliser un fantasme de longue date, fantasme que j’avais toujours gardé secret jusque-là. Il s’agissait de me faire baiser par un parfait inconnu chez moi, dans l’obscurité la plus totale, pour décupler mes sens. J’avais gardé cela longtemps en tête sans oser passer le cap, car j’avais peur de tomber sur un psychopathe. Voici mon histoire de sexe.
Et puis finalement, je me suis mise à discuter sur un site de rencontres avec un type pendant des semaines. Il a réussi à gagner ma confiance, car il ne cherchait pas du tout à accélérer les choses ni à me presser de quoi que ce soit. Il avait l’air sincèrement curieux de mes envies et de mes désirs, si bien que j’ai eu envie de lui parler de mon petit délire fantasmatique. Je lui ai dit que je voulais baiser avec un inconnu dans la pénombre, pour vivre cette aventure sensorielle à deux et découvrir mon potentiel orgasmiquedans le noir. Il a adoré l’idée et il m’a dit que si je le voulais, il était partant car il trouvait cela très excitant lui aussi. Nous avons échangé une photo un peu suggestive de nos corps et du bas de nos visages. A part ça et nos conversations, je ne savais quasiment rien de lui. Nous avons élaboré notre petit scénario ensemble et c’était déjà très émoustillant par anticipation. J’ai senti que c’était la bonne personne.
Il est arrivé chez moi à la nuit tombée. J’avais laissé la porte ouverte et je l’attendais dans ma chambre, volets fermés, lumière éteinte. J’ai senti son corps se glisser dans mon lit, entendu sa voix m’envelopper de son timbre chaud et doux. J’ai senti sa chaleur contre moi. Nous avons un peu discuté et ri de la situation, puis je l’ai aidé à se déshabiller. J’avais très envie de lui, après toutes ses discussions virtuelles. Nous avons commencé à nous chauffer et à retirer nos vêtements. Puis nous nous sommes mis à nous frotter l’un à l’autre, ce que j’adore faire. J’ai frotté ma chatte contre sa cuisse, puis mon clitoris contre sa trique bien dure.
l’ébullition sexuelle avec un inconnu
Nos peaux se réchauffaient au contact de l’autre. J’ai senti l’ébullition sexuelle monter au cœurde mon être, comme une eau frémissante sur le feu. J’ai découvert son corps dans le noir et le relief de ses épaules, de son torse et de son sexe. Je me suis frottée à lui telle une chatte en chaleur. Sa bouche a voyagé dans ma nuque, sur mes seins, ma touffe. Il a exploré à l’aveuglette chaque petit morceau de mon intimité. La jouissance était sans cesse renouvelée, il m’a fait jouir avec sa langue et avec ses doigts. Je coulais de plaisir entre ses mains, comme si j’étais faite de miel et que lui était une abeille venue s’abreuver à mon nectar.
Il a voulu faire des photos dans le noir pour m’éclairer de son flash, le temps de quelques secondes. J’ai dit oui, car cela m’excitait aussi. Il m’a prise en photo pendant que je le suçais ou que je lui léchais les couilles. Un bref instant, la lumière crue du flash était dirigée vers moi et je savais qu’il me regardait en train de le gober, tandis que moi, je ne pouvais toujours pas le discerner dans le noir. J’aimais être vue sans le voir, j’aimais qu’il me voie dans cet acte si intime de la fellation. Ensuite, je me suis installée sur sa queue, en lui tournant le dos. Je savais qu’il allait mettre son flash pour découvrir mon gros cul en train de s’agiter sur sa bite dans la pénombre. Ça devait être une vision folle à regarder, d’ailleurs. Je l’ai pris en moi et j’ai dansé sur son membre pour l’aspirer au plus profond de mon vagin. Je relâchais, il sortait un peu, puis je resserraisma chatte autour de lui et il s’enfonçait d’autant plus loin en moi. Je poussais sur mes jambes et ainsi, c’était moi qui le baisais en rebondissant sur son membre gonflé qui se fondait parfaitement dans l’antre de mon sexe. Nous avons joui comme des fous de tant de plaisirs, décuplés par la privation de la vue, et nous avons remis le couvert plusieurs fois dans la nuit.
Au petit jour, nous nous sommes découverts pour de vrai et désirés à nouveau fortement. Il m’a photographiée en plein jour dans les mêmes positions que la veille, cul en arrière, couchée à l’envers sur lui, en train de me prendre sa queue, puis toute nue assise sur un tabouret, car il vouait un culte à mon corps. Maintenant qu’il pouvait me voir, il ne voulait pas en perdre une miette. Je me suis prêtée au jeu. Réaliser ce fantasme avait boosté mon estime de moi et m’avait donné tant de plaisir que je peux dire que, lorsque c’est bien exécuté, la réalité peut parfois être à la hauteur de nos imaginaires érotiques les plus fous.
A LIRE AUSSI>>La chatte de la livreuse
A LIRE AUSSI>>Exhibition nocturne
A LIRE AUSSI>>L’inconnu de l’hotel d’en face