Les candaulistes sont de sortie !
30 octobre 2016Avec Tony, mon mari, nous cherchions à pimenter notre vie de couple mais hésitions à nous partager l’un et l’autre. Après en avoir longuement discuté tous les deux, c’est vers le candaulisme que nous avons trouvé de quoi satisfaire nos fantasmes !
Nous étions assis sur le canapé, et je regardais avec appétit la liste des hommes que Tony faisait défiler sous mon nez : Alphonse, John, Hercule, Milo… Évidemment, ce n’était que des pseudos, mais j’essayais de deviner à travers les deux ou trois photos que je voyais d’eux quelle était la vie de ces hommes que je pouvais m’offrir pour quelques heures.
Tony avait l’air de s’amuser de mon hésitation et de mes commentaires. Mais il me laissait à mes rêveries et ne m’interrompait pas. Nous avions convenu tous les deux que c’était à moi de sélectionner notre étalon, cet homme qui me prendrait devant Tony, avec sa complicité bien sûr. Je rêvais depuis longtemps de connaître d’autres hommes, mais Tony ne se voyait pas bourlinguer de clubs libertins en soirées échangistes.
Au final, la solution candauliste nous est apparue comme une évidence, à condition que l’homme me plaise, bien évidemment. À force d’éplucher le site Internet de rencontres, c’est vers un quarantenaire svelte et plutôt bien membré que mon choix s’est porté.
Avec Tony, nous avions préparé sa venue comme d’autres préparent des soirées mondaines : en ne laissant rien au hasard ! Je portais une robe noire superbe qui mettait en avant mon décolleté généreux. Mes bas cintraient mes cuisses musclées, et mes cheveux étaient soigneusement remontés en chignon. Tony avait opté pour une tenue plus simple, une chemise blanche et un jean. Nous attendions avec impatience l’entrée de cet homme qui se faisait appeler Georges, Tony m’a bandé les yeux pour faire monter l’excitation.
C’est donc plongée dans le noir que j’ai entendu la porte de notre appartement s’ouvrir et le pas assuré d’un homme s’avancer vers moi. Tony se tenait juste derrière moi, il caressait mes bras et mon cou pour me rassurer.
J’avais l’impression d’être dépossédée de mes moyens, de n’être plus qu’une petite poupée docile au service de ces deux hommes.
Tony s’est écarté de moi, comme s’il nous laissait un moment d’intimité avec cet inconnu, un moment nécessaire lors d’une rencontre sensuelle. Je sentais les mains de l’homme se déplacer avec douceur sur mon corps, il avait le geste sûr de lui, patient.
Il me savourait comme si j’étais sa friandise, et quelque part ça me plaisait ! Georges a relevé ma robe au-dessus de mes fesses, révélant ma culotte noire en dentelle. J’entendais au loin quelques froissements de canapé. Tony regardait le spectacle c’était sûr, mais je ne savais pas ce qu’il en pensait. Se sentait-il gêné ? Excité ? Impressionné ? J’ai essayé de l’oublier pour me concentrer sur mes sensations et mon plaisir, nous avions bien établi les règles au préalable : si ça n’allait pas, il mettait fin tout de suite au scénario !
L’homme m’a gentiment fait comprendre qu’il me voulait à quatre pattes devant lui en m’appuyant sur l’épaule. J’ai obéi, docile. Il a posé ma main sur sa braguette et je l’ai dézippée.
J’en ai sorti une queue dure et suffisamment longue pour battre en taille celle de mon homme. Georges a appuyé sur mes cheveux pour que je le suce, et encore une fois, j’ai obéi.
Sentir la bite d’un autre dans cette bouche qui n’avait pratiquement connue que celle de Tony était assez bizarre. Il m’a fallu un petit temps d’adaptation avant que j’y prenne du plaisir, j’étais obnubilée par ce nouveau jouet qui me pénétrait, me questionnant sur sa façon à lui d’avoir du plaisir, d’aimer être pris en bouche.
Fallait-il que je lui touche les couilles ? Aimait-il que je le branle en même temps ?
Je n’ai pas eu le temps de répondre à ces questions, Georges m’a fait me relever et m’a mise face au mur. « Cambre-toi ! » m’a-t-il soufflé chaudement à l’oreille.
C’est la première fois que j’entendais le son de sa voix, et cela m’a presque fait sursauter. Elle était rauque, virile, exactement comme je me l’imaginais. Je me suis donc cambrée comme je pouvais, et Georges a baissé ma culotte.
Il a écarté mes deux fesses pour bien mettre en évidence les trous dans lesquels il allait se perdre.
J’aurais tout donné pour voir la tête de mon chéri à ce moment-là. Je savais qu’il avait naturellement un penchant voyeuriste : certains week-ends, il prenait un malin plaisir à me demander de déambuler en lingerie fine, et ça ne manquait pas de lui mettre une gaule d’enfer à chaque fois !
Georges a doucement frotté le bout de son gland contre ma cuisse. Il était humide, et sa queue n’avait pas débandé d’un millimètre. Après m’avoir enfoncé un doigt pour s’assurer que j’étais bien prête, il a avancé sa queue à l’orée de mon entrée humide. Il faisait des petits tours concentriques autour de cette zone, comme pour retarder un peu plus le moment où il serait en moi.
J’haletais fort. Je me demandais à quoi il ressemblait, quelle taille il faisait, comment il était habillé. Bien sûr, j’avais ma petite idée, mais ne pas tout savoir de cet homme m’excitait à mort !
Enfin, j’ai senti son organe me combler. Il y allait assez doucement au début, certainement pour ne pas me brusquer, pour mesurer ma réceptivité. Pourtant, j’étais à 200 % pour qu’il continue. Il s’est finalement senti plus à son aise et, d’une poigne assurée sur mes hanches, il a amplifié ses coups de reins.
Je pouvais sentir ses couilles frapper sur le haut de mes cuisses, c’est qu’il devait en avoir des biens lourdes pour qu’elles valsent autant. J’anticipais déjà la bonne giclée de sperme que j’allais recevoir, je l’attendais avec impatience celle-là !
« Tu es superbe ma chérie », ai-je entendu du fin fond de la pièce. Tony avait toujours été d’un grand soutien, que ce soit dans les pires galères comme dans mes moments de doute, mais j’avoue qu’à cet instant, l’entendre m’encourager m’a fait un bien nullement comparable.
Quelque part, il fallait qu’il apprécie la scène, pour que je puisse renouer avec mon plaisir. Mon excitation passait par la sienne. C’était entre lui et moi que cela se passait, nous le savions.
« Je peux retirer mon bandeau chéri ? » ai-je osé.
Tony a certainement dû opiner de la tête et Georges a dénoué le tissu noir. J’ai cligné des yeux quelques instants, la bite toujours dans la chatte, et je me suis retournée vers notre invité. Il était beau. Bien plus que sur ses photos. Il était superbe avec les muscles de son visage tirés et la sueur qui lui dégoulinait dans le cou. J’ai souri à Tony, il m’a rendu mon sourire.
À ce moment-là, nous faisions quelque chose d’important pour nous deux, quelque chose qui bouleverserait notre couple à jamais.
Georges s’est retiré, m’a prise par la main et m’a conduite jusqu’au canapé. Il s’est assis très simplement et m’a invitée à m’accroupir sur lui. La position était assez périlleuse, mais j’ai réussi à m’activer sans trop de cascades. J’alternais les à-coups bien profonds et les petites glissades saccadées.
Georges m’aidait en tenant fermement mes mains, nos doigts étaient enlacés, nos paumes se frottaient, nous communions entièrement.
C’est à ce moment que j’ai senti que Tony devait se sentir esseulé. Je suis alors sortie de cette position plutôt inconfortable et je suis allée me lover dans ses bras. Il m’a accueillie d’un geste très tendre. J’ai glissé contre son torse et j’ai levé mes jambes bien haut pour donner à Georges toute la place qu’il désirait pour me besogner. Celui-ci m’a alors attrapée par les jambes et m’a attirée contre son corps…
C’était une sensation tout à fait incroyable d’être poussée contre le torse de son mari par les coups de bite d’un inconnu. Au creux de ma colonne vertébrale, je sentais que Tony avait une belle gaule bien dure. Le spectacle lui plaisait, parfait ! Il massait mes seins en me murmurant des cochonneries à l’oreille.
« Alors, tu l’aimes, hein, cette nouvelle queue ? C’est bien ma belle, tu es une bonne petite salope, tu te comportes très bien. »
Cela m’excitait énormément, il est même venu me tripoter le clitoris pour m’aider à jouir, il savait que je ne pouvais décoller que grâce à mon bouton magique. Georges continuait imperturbable à me pilonner, tel un ouvrier du BTP, et moi, je sentais mon orgasme monter. Tout à coup, j’ai joui très fort, mêlant mes hurlements aux encouragements ravis de Tony. Georges est venu quelques secondes à peine après moi et a tout étalé sur mon nombril.
Tony regardait mon ventre ainsi souillé, l’air ravi. « Tu étais vraiment belle… » m’a-t-il soufflé à l’oreille, encore un peu sous le choc de ce que nous venions de vivre à travers cette nouvelle expérience.
Je n’avais plus qu’une hâte, que Georges se rhabille et nous quitte, et que je recommence, dans les bras de mon homme cette fois-ci ! En effet, le candaulisme était vraiment une pratique qui nous allait comme un gant !
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Fabian
Pour nous, le candaulisme est presque aussi vieux que notre couple. Si l’un comme l’autre nous avions eu quelques « aventures » secrètes avant de découvrir ce qui allait pimenter nos vies, le candaulisme nous a permis de vivre ensemble toutes nos envies sexuelles.
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Jéjé
Bonjour,
Quelqu’un connaitrait-il le nom de cette actrice ?
Merci.