Elle se tape le petit frère

La rédaction 13 août 2019

Amandine, 25 ans, Caen.

Elle se tape le petit frère

Je suis Amandine, j’ai 25 ans, brune aux cheveux courts, avec une belle poitrine. J’étudie à Caen. Moi, je suis indépendante, mais mon copain Bastien et son petit frère Romain vivent toujours chez leurs parents. Bastien a deux ans que moins que moi, et son frangin en a 19. Il vient tout juste d’avoir son bac.

À la fin du mois de juillet, les parents de Bastien et Romain sont partis en vacances dans leur maison de campagne. Les garçons n’ont pas voulu les suivre, ils s’y ennuient à mourir. Et puis, ils aiment bien avoir l’appart’ rien que pour eux. Du coup, Bastien m’a invitée à passer la semaine chez ses parents, leur appartement est tout de même plus confortable que mon petit studio, même si, pour reprendre les mots de mon jules, il allait falloir « se taper Romain ». Les deux frères, même grands, sont toujours en train de se disputer. Je sais qu’ils s’apprécient, mais à les voir agir au quotidien, on ne dirait vraiment pas !

Bastien avait un petit boulot pendant la journée, donc en l’attendant, je traînais au lit, je matais la télé avec son petit frère… Mais le mardi, je n’ai pas vu Romain de toute la journée. Du coup, j’ai glandé seule devant la télé. Vers 17 heures, j’ai enfin pris ma douche et j’ai voulu mettre mon petit ensemble de lingerie rouge, mais impossible de retrouver le string assorti dans mon sac. Je l’ai cherché partout dans la chambre de mon mec et, en désespoir de cause, je me suis pointée dans la chambre de Romain. Je suis entrée sans frapper, persuadée qu’il était sorti. Et là, surprise. Le petit frère de mon copain était nu, sur son lit, et il se caressait la queue avec mon string rouge. Quel culot ! C’était abusé…
Il est devenu écarlate en me voyant. Je lui ai hurlé dessus : « Alors, c’est bon de se branler avec mes sous-vêtements, espèce de taré mental ? Rends-moi ça tout de suite ! » Il n’a rien répondu, mais ses yeux étaient rivés sur moi. À ce moment-là, je me suis rendu compte que je n’avais pas boutonné correctement la chemise que j’avais passée, et que ma chatte était complètement à l’air.

Romain me fixait bouche bée, la queue toujours en main, ne bougeant plus. Il avait l’air tellement crétin, j’ai éclaté de rire. À vrai dire, je le trouvais plutôt craquant, utilisation abusive de mes sous-vêtements ou pas. Je me suis assise sur le lit près de lui, et ma main s’est insinuée sur sa queue et entre ses jambes pour lui caresser les boules, bien dures et assez poilues. « Suffisait de demander », lui ai-je glissé. Il a laissé échapper un « Oh Amandine » d’une voix étranglée.

Dans ma main, je sentais son pénis grossir de plus en plus. Romain voulait me caresser les seins, mais je ne l’ai pas laissé faire. À la place, je lui ai collé la bouche contre mes tétons qui pointaient dur, hypersensibilisés vu que j’étais super excitée. Ses yeux se sont écarquillés, et je lui ai dit : « Suce-les comme si je te donnais le sein. » J’ai pressé sa nuque, il m’a mordu fermement les mamelons, puis il a aspiré assez fort. J’ai senti des petites étincelles de joie naître dans mon bassin en même temps que je poussais des gémissements aigus. Je l’ai branlé de plus en plus vite. Romain a hasardé une main sur ma petite chatte à demi épilée et a introduit un doigt dans le sillon de mes lèvres chaudes et humides. C’était tellement bon ! Le petit frère de mon copain me dévorait les seins en me chatouillant le bouton, et la situation me semblait tout ce qu’il y a de plus naturel. Il m’a fait des petits bisous dans le cou et a voulu m’embrasser sur la bouche. Je l’ai repoussé gentiment et, en le regardant droit dans les yeux d’un air salace, je me suis glissée entre ses cuisses.

J’ai posé mes lèvres sur son gland luisant et, doucement, je l’ai avalé. Sa colonne de chair rose m’a bientôt rempli la bouche et la gorge. Romain soupirait de plus belle, je le suçais avec gourmandise. J’ai senti sa sève monter et je me suis écartée un peu en continuant à le masturber vigoureusement, de haut en bas et de bas en haut, sans oublier ses couilles. Le petit frère de mon copain a déchargé avec une violence inouïe, sa liqueur chaude et épaisse est venue m’arroser le visage. Moi, je tenais toujours sa bite et je l’ai frottée contre mes seins jusqu’à ce qu’il me donne sa dernière goutte. Je n’ai pas voulu coucher avec lui cet après-midi-là. J’ai récupéré mon string et je suis sortie de sa chambre.
Le lendemain, Bastien apprenait de la bouche de son petit frère ce qui s’était passé. Cet abruti n’a pas su tenir sa langue, mais je m’en foutais un peu. Je me suis fait larguer, mais j’ai gagné une belle histoire à vous raconter.

(Image à la une : Getty Images)

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« Je m’abreuvais de sa liqueur, Bérangère couinait de plus en plus, ondulant du bassin. J’ai plongé mon visage dans sa fente, pénétrant son intimité avec ma langue, lapant toute sa jouissance. Puis, elle m’a demandé de lui donner ma queue. Elle l’a gobée, je gémissais de bonheur, elle savait vraiment bien se servir de sa bouche. » Vincent.

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  • Justin amego

    Cool votre histoire j’aime çà

  • Oli

    Bonjour, voilà une bien jolie histoire! Le verbe est vert mais le plaisir est là!

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