Mon premier candaulisme
10 juin 2019Luc, 50 ans, enseignant.
Le « candaulisme », je ne connaissais pas le mot, mais je me suis bien retrouvé dans l’analyse que vous en avez fait dans votre dossier du mois d’avril 2016. Mon expérience est très récente, je ne sais pas si elle intéressera les lecteurs, mais j’ai pris beaucoup de plaisir à la vivre et à la raconter.
C’était il y a deux mois environ. Mon amie et moi étions allés passer deux semaines à la Martinique où les chaleurs tropicales ont passablement exacerbé nos sens, au point que nous faisions l’amour matin et soir.
Murielle est une femme de trente-six ans. Elle est plus jeune que moi. Elle a suscité en moi un coup de foudre dont je ne me croyais plus capable. Il est vrai qu’elle a tout pour combler l’homme blasé que j’étais devenu : un très joli visage aux yeux rieurs, un corps svelte avec des jambes finement galbées et surtout des fesses dont le délicieux arrondi appelle irrésistiblement les caresses. Ses seins, un peu petits et qui l’ont longtemps complexée, sont très fermes et se terminent par de longs tétons extrêmement sensibles.
Inutile de le préciser : elle attire beaucoup les hommes qu’elle sait dissuader avec un certain à propos. Il est vrai qu’elle occupe des fonctions qui l’obligent à préserver sa réputation de femme BCBG peu intéressée par la drague et le sexe. Pourtant, depuis plus d’un an que nous avons cette relation suivie, j’ai pu observer avec une pointe de jalousie qu’elle était attirée par les jeunes mecs de la vingtaine. Elle m’a d’ailleurs avoué qu’après son divorce, il y a trois ans, elle a vécu des vacances d’été un peu folles sur la côte espagnole où elle a collectionné les aventures avec des jeunes mecs sensibles charmés par une trentenaire comme elle, libérée et sans tabous.
Il m’arrive de plus en plus souvent de ressentir une étrange excitation lorsqu’elle me raconte ses relations avec un de ces jeunes amants. Parfois, à ma demande, elle me détaille le plaisir sexuel qu’elle y a pris. Et comme nous n’habitons pas ensemble, je me masturbe en imaginant ces scènes troublantes et si précises.
Ce jour-là, donc, nous étions allés déjeuner dans un restaurant gastronomique de l’île. Avant de rentrer à notre appartement, nous avions décidé de faire une petite sieste dans la voiture. Nous nous étions engagés dans la mangrove qui longe une plage sauvage. Après avoir allongé le fauteuil et avoir enclenché le verrouillage des portes pour être tranquilles, nous nous sommes assoupis presque aussitôt. À mon réveil, j’ai vu un homme immobile, tout près derrière la vitre de ma compagne. Passé le premier moment de surprise, j’ai vite compris qu’il était en train de mater Murielle, toujours endormie.
Elle avait allongé ses jambes en posant ses pieds sur le tableau de bord et, comme sa jupe était remontée, elle offrait un point de vue très excitant sur ses cuisses légèrement ouvertes.
Le voyeur, un jeune Martiniquais à la peau noire, m’a souri et a levé le pouce avec une mimique explicite pour me signifier qu’il appréciait le spectacle. Il avait l’air plutôt séduisant, avec un visage avenant et un corps musclé. Il ne portait qu’un maillot de bain. Ses cheveux crépus étaient ramenés en arrière par une sorte de catogan.
Bizarrement, j’étais plutôt émoustillé par cette sorte de connivence muette entre nous. Au lieu de lui faire signe de partir, j’ai été pris d’une forte envie de lui montrer un peu plus le corps de mon amie. Avec d’infinies précautions, j’ai remonté davantage la jupe pour découvrir le haut de ses cuisses et sa toison soyeuse à peine voilée par un minislip transparent. Il appréciait l’exhibition et avait passé la main dans son maillot de bain pour se caresser le sexe.
Au bout d’un moment, Murielle a ouvert les yeux et, se voyant observée, elle s’est précipitamment assise en ramenant la jupe sur ses cuisses. Comprenant la situation, elle m’a demandé ce qui m’avait pris de relever la jupe à son insu. Que dire ? J’ai avoué que j’avais été excité par l’attitude du voyeur qui la trouvait désirable au point de se masturber en la regardant.
Tout en me traitant de pervers, elle a tourné les yeux vers le jeune homme qui ne s’est pas démonté : il a levé un pouce comme il l’avait fait avec moi et il lui a souri. Elle s’est tout de suite détendue. Il en a profité pour nous faire signe qu’il souhaitait que nous le laissions monter à l’arrière de la voiture. Nous avons hésité et Murielle a proposé d’accepter, mais à condition que ce soit uniquement pour bavarder.
La gentillesse souriante du jeune, la manière dont il s’exprimait et surtout sa franchise ont visiblement plu à mon amie. Il était étudiant en sociologie et venait assez souvent sur cette plage sauvage derrière la mangrove, un lieu de drague où se retrouvaient les homos du coin, mais aussi quelques couples de touristes libertins dont les femmes acceptaient de se laisser draguer. Signe de leur disponibilité : elles ne portaient ni maillot ni slip et exhibaient leur sexe nu tout en se laissant caresser par leurs maris ou leurs compagnons, tout à fait complices.
Il aimait beaucoup la compagnie de ces femmes sensuelles et expérimentées qui acceptaient sans difficulté qu’il s’allonge à côté d’elles et qui finissaient souvent par le suivre à l’intérieur de la mangrove pour une petite aventure passagère, exotique, avant de regagner la métropole et de retrouver le train-train des tâches familiales et professionnelles…
À une question de Murielle, il a répondu que les filles de son âge étaient chichiteuses, bêtement sentimentales et manquaient de sel, de sex appeal. Il a su parler de manière flatteuse de l’émotion qu’il avait ressentie en regardant mon amie abandonnée au sommeil, à moitié nue, offrant involontairement son beau corps très excitant. Il a fini par demander si elle accepterait de le rejoindre à l’arrière pour échanger quelques douces caresses. Je l’ai sentie tentée, mais elle s’est reprise, elle ne voulait pas être surprise par des promeneurs ni par la police. Devant la frustration du jeune homme, elle a ajouté que s’il voulait nous rejoindre à l’appartement, elle pourrait se montrer compréhensive.
Nous sommes rentrés et, en l’attendant, elle a préparé un punch. J’avoue que j’étais troublé et mal à l’aise. J’appréhendais ce qui allait suivre et n’arrivais pas à maîtriser des poussées de jalousie à l’idée que la femme que j’aimais puisse se laisser entraîner plus loin qu’elle le pensait par sa sensualité et le pouvoir de séduction du jeune Martiniquais. Mais, en même temps, j’étais bien obligé de reconnaître que c’était moi qui avais lancé cette aventure imprévue. Je ne voulais pas non plus me montrer trop possessif comme l’avait été son ex-mari. J’ai donc décidé de faire comme les hommes sur la plage sauvage : jouer la carte du libertinage avec l’intuition que j’allais y trouver des plaisirs inconnus…
Il est arrivé à moto, et nous nous sommes installés dans le séjour en mettant de la musique créole. Murielle a continué à lui poser des questions, très curieuse de savoir comment se passaient ces aventures à trois. L’alcool aidant, elle n’a pas protesté lorsque je lui ai à nouveau remonté la jupe. Elle s’est même laissée enlever la petite culotte sous le regard ravi du jeune assis dans le fauteuil en face de nous. J’étais moi aussi gagné par l’atmosphère complice qui s’installait doucement et j’ai eu une montée d’excitation lorsque mon amie lui a demandé d’enlever le short et le slip. Il ne s’est pas fait prier pour exhiber devant elle son long sexe noir, imposant et dressé.
Elle a été surprise par la taille et la raideur de cette queue qui rendait un bel hommage à son pouvoir de séduction et elle n’a pu s’empêcher de passer sa main sur toute sa longueur. Il s’est assis à côté d’elle. Elle s’est laissé déboutonner. Il a enlevé son corsage. Ses petits seins sont apparus. Il s’est mis à faire rouler ses longs tétons entre le pouce et l’index tout en les suçant alternativement. Ils ont grossi de manière spectaculaire, tout en virant au rouge vif. La tête appuyée en arrière sur le dossier du canapé, elle avait fermé les yeux et respirait fort. Manifestement très expérimenté pour son âge, il a profité de son abandon pour caresser le haut de ses cuisses et la toison sans chercher à pénétrer l’entrée de sa chatte.
Elle a écarté largement ses cuisses pour ouvrir son sexe ruisselant de mouille en le suppliant de lui caresser le clitoris. Il n’attendait que cela et elle s’est mise à gémir en soulevant le ventre au rythme imprimé par le doigt expert qui a fait lentement monter le plaisir jusqu’à la pointe de jouissance.
J’éprouvais une fascination un peu masochiste à regarder la femme que j’aimais s’abandonner ainsi avec un quasi-inconnu. Un peu apaisée, elle a redressé la tête et il a approché les lèvres pour l’embrasser. Mais bizarrement, elle s’est dérobée en lui disant que le baiser était pour elle un acte d’amour très intime qu’elle préférait me réserver. Il a paru surpris et frustré par ce refus. Mais elle a ajouté en souriant qu’elle était prête à le sucer en revanche…
Elle s’est agenouillée entre ses jambes et j’ai assisté au spectacle dingue de ma tendre amie léchant la longue hampe noire et acceptant entre ses lèvres distendues la pénétration du gros gland turgescent. Au comble de l’excitation, je me suis levé, j’ai empoigné ses hanches pour placer l’entrée de sa chatte au niveau de ma queue et j’ai pénétré d’un seul coup dans ses moiteurs intimes. En la tenant bien, je me suis mis à imprimer les mouvements tournants qu’elle adore sur mon sexe très dur.
Elle a crié de plaisir, mais je me suis aperçu qu’elle avait abandonné la fellation au grand dam du jeune homme. J’ai ralenti le rythme en lui ordonnant de continuer à le sucer. Je voulais qu’elle puisse profiter de nos deux queues en même temps. Pendant un long moment, j’ai partagé avec notre invité le plaisir que nous donnait ma délicieuse amie, reléguant aux oubliettes mes accès de jalousie. J’ai senti qu’elle venait et j’ai à nouveau accéléré le rythme. J’ai explosé au fond de sa chatte et j’ai senti les contractions de l’orgasme sur ma queue, rythmées par ses cris.
Elle a dit très tendrement au jeune homme qu’elle adorait les douches de sperme sur son ventre et sur les seins. Elle s’est allongée sur le canapé, la tête sur l’accoudoir. Elle l’a invité à la chevaucher pour qu’elle puisse le masturber tout en caressant ses tétons avec son gland. Elle lui a demandé de la regarder. Elle voulait pouvoir lire dans ses yeux la montée du plaisir. Toujours les yeux dans les yeux, elle accélérait ou ralentissait le rythme de sa main, au gré des caresses sur ses tétons.
L’éjaculation a été soudaine et la première giclée est partie sur son visage ! Elle a mieux géré les autres et lorsque enfin il s’est relevé, elle l’a remercié en se passant les mains sur les seins pour bien étaler sur elle tout le sperme qu’elle venait de recevoir.
Nous avons ensuite échangé nos portables… Le garçon avait très envie de la revoir. Elle n’a pas répondu à ses supplications, mais quand il est parti elle l’a embrassé très longuement pour lui faire plaisir. À suivre
(Photo à la une : Getty Images)
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Il l’a prise sur le capot
« Au bout d’un quart d’heure, il lui a fait poser un pied sur la roue et lui a demandé d’écarter largement les cuisses pour la prendre en levrette, le dos bien cambré. Il l’a pénétrée à grands coups de reins. » Frank.
Un quicky bien foutu
« Je m’appelle Aurore, mon mari et moi lisons avec plaisir chacun de vos numéros depuis plusieurs années maintenant. Et c’est pour mon mari que j’écris aujourd’hui. Nous sommes en couple depuis quinze ans, et ce qui l’excite le plus, c’est de me voir avec d’autres hommes. » Aurore.
À retrouver sur notre plateforme VOD
Kenza Suck et Nikita Bellucci accompagnés de leurs maris respectifs jouent à des jeux de société très spéciaux. Va s’en suivre une partouze et un mélange d’une intensité rare.
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Alfred
La description de Murielle et de son laisser-aller progressif vers les plaisirs de la chair est décrite d’une telle façon que ce récit m’a beaucoup excité, autant que les échanges lisibles sur – Cet environnement candauliste est tellement porteur de plaisirs…