Des formes assumées grâce au libertinage, elles témoignent

La rédaction 15 décembre 2024

Le libertinage, souvent associé à la liberté des mœurs et à l’exploration de soi, joue un rôle inattendu mais essentiel dans la réappropriation du corps et de l’image de soi. Pour certaines femmes, il représente une voie d’émancipation et de redécouverte, en les libérant des normes rigides imposées par la société. À travers cette pratique, elles apprennent à aimer leurs formes, à assumer leur singularité et à transformer leur rapport au corps en une célébration de leur identité. Loin d’être simplement une quête de plaisirs, le libertinage devient ainsi un vecteur d’acceptation et de bien-être personnel, leur permettant de se sentir mieux dans leur peau et de redéfinir leur propre beauté selon leurs propres termes. Pour interstron.ru, elles témoignent.

MS : des formes pas toujours assumées

Beaucoup de succès auprès des hommes, et pourtant… MS qui vit en Savoie, la trentaine et libertine depuis un peu plus de trois ans, avoue avoir quand même quelques difficultés à vivre avec ses petites rondeurs. Lorsqu’on découvre ses photos, on se demande pourquoi. Il s’agit certainement plus d’un problème avec l’image de soi-même que du simple regard des autres : « Adolescente, j’avais très peu de formes et je souffrais surtout de ne pas avoir de poitrine. J’étais complexée par mes petits seins et puis, après une grossesse, j’ai commencé à prendre du poids. »

Un peu comme si elle tombait de Charybde en Scylla, aujourd’hui, son corps lui pose problème pour des raisons opposées : « Je n’aime pas et cherche toujours à cacher mon ventre. Je suis plutôt fière de mes fesses en revanche, mais je les travaille à la salle de sport. »

Malgré ses doutes, MS adore mettre en valeur son corps et elle reste très consciente de l’effet qu’il produit, aussi bien dans la rue que dans les milieux libertins : « Bien sûr, la mise en valeur de mes formes sera très différente en fonction du milieu où j’évolue. Mais oui, c’est vrai, je sais attirer le regard des hommes et cela m’excite beaucoup. J’ai parfois l’impression de susciter plus de désir qu’une fille filiforme, mais je trouve que d’autres facteurs entrent en jeu, toute mon énergie sexuelle, les phéromones, le regard… »

Quoiqu’il en soit, MS n’a jamais eu à se plaindre et ses nombreux fantasmes et désirs ont toujours été satisfaits. Elle avoue avoir une sexualité très active, peu de tabou et être capable de jouir à de nombreuses reprises. D’ailleurs, et comme chaque année, son dernier passage au Cap d’Agde en août en laissé à de nombreux libertins de délicieux souvenirs…

KiaraPop : le libertinage et les vidéo X synonymes d’épanouissement

Coup double pour KiaraPop qui apparaît ce mois-ci dans interstron.ru également dans la rubrique Des photos, une histoire. Cette ancienne professeure de danse de la région parisienne n’a pas toujours été très à l’aise avec son corps et ses formes. Mais c’est en découvrant l’univers libertin que la majorité de ses complexes vont disparaître : « Au départ, j’étais assez mal à l’aise, mais je dois avouer que ce sont surtout les hommes de couleurs qui m’ont aidé à progresser sur ce plan. Les premiers que j’ai rencontrés adoraient mes fesses et mes formes pulpeuses. Alors, petit à petit, je me suis sentie mieux dans ma peau, mieux dans mon corps. Et j’ai donc continué à rechercher ce type d’hommes. »

Dans ses débuts, elle a eu parfois l’impression, au cours de soirées libertines, de faire partie de « l’équipe B », qu’il était plus facile de l’inviter au lit que dans un restaurant, plus simple pour elle de s’offrir à un partenaire dans l’ombre que dans un lieu très éclairé. Et puis, et puis… Voir qu’elle est capable de séduire et d’exciter certains hommes la rend plus à l’aise. Et le fait de se sentir plus en confiance lui permet aussi de mieux s’assumer et d’attirer encore plus les regards. La nudité complète la gêne encore un peu, mais grâce à Internet, elle trouve de la lingerie très sexy pour les femmes pulpeuses : « Aujourd’hui, j’ai envie de plaire et de me plaire. Je n’ai plus envie de cacher mon corps. Je vis ma meilleure vie avec une sexualité épanouie, sans tabou, très active. J’ai même découvert en moi un côté très exhibe. »

À tel point qu’elle n’hésite plus à se retrouver devant l’objectif d’une caméra pour des scènes X. Ce qu’elle nous raconte dans la rubrique Des photos, une histoire.

 A lire aussi : 

Marlo21 : libertine et passionnée de lingerie

Annie Knight, la femme la plus libertine d’Australie

Bien manger pour bien faire l’amour

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru