Anne-Line (cpledu61), ma nuit chez Maud
12 janvier 2025
Anne-Line et son mari Frédéric sont libertins depuis 5 ans. Le couple, la quarantaine, a franchi le pas sous l’impulsion d’Anne-Line qui rêvait d’une expérience avec une femme bi. Frédéric a tout de suite accepté de l’aider à réaliser ce désir. Une première soirée privée qui s’est bien déroulée, des sorties en club, d’autres soirées privées et depuis, Anne-Line a pu rencontrer plusieurs partenaires féminines. L’une d’elle l’a particulièrement marquée : Maud. Anne-Line a accepté de nous raconter sa soirée passée chez Maud, ou plutôt… chez Maîtresse Maud !
Jusque-là, la recherche d’Anne-Line avec ses partenaires féminines était plutôt basée sur la douceur, la complicité, la tendresse, les préliminaires langoureux, les caresses, la réciprocité : « Maud a dû réveiller en moi des choses qui devaient être très enfouies car ce n’était pas du tout le type de profil que je recherchais. »
Elles se sont croisées sur un site libertin (c’est toujours Anne-Line qui pianote avec ses ex ou futures complices). Maud habite à quelques kilomètres de chez elle, elle se décrit plutôt comme dominante que réellement dominatrice, directive, joueuse, cérébrale, parfois sévère : « Nous avons eu plusieurs discussions ensemble et j’ai fini par me sentir très excitée par tout ce qu’elle m’écrivait. J’ai fini par accepter de la rencontrer après une conversation téléphonique où j’étais à la fois émue et assez stressée. »
La rencontre devait se faire sans la présence du mari d’Anne-Line, mais ce n’était pas la première fois qu’elle se rendait seule à un rendez-vous : « J’avais vu des photos d’elle sur Internet, mais face à Maud, j’ai été totalement séduite par cette femme un peu plus âgée que moi. »
Il n’y aura pas de discussions interminables devant un verre. Très vite, Maud déshabille sa partenaire, la complimente sur son corps, caresse ses seins, son ventre, glisse une main dans sa petite culotte tout en la fixant dans les yeux : « J’étais encore plus intimidée et anxieuse que ma première fois avec une femme. »
Maud la dirige ensuite vers une chambre où plusieurs sextoys sont déposés sur un petit meuble : « À partir de là, Maud s’est mise à me parler avec plus d’autorité, elle m’a donné des ordres et je n’avais qu’une envie, qu’une seule possibilité dans ma tête : lui obéir. »
Plus la tension monte et plus le langage de Maud devient cru. Anne-Line doit la lécher partout, sexe, seins, anus, cuisses avant de devoir s’offrir à Maud équipée d’un gode-ceinture. Pas de sodomie, mais une pénétration en levrette accompagnée de claques sur ses fesses : « J’ai joui à plusieurs reprises d’être son jouet, son objet et de me soumettre à tous les désirs de cette femme dont la perversité s’accentuait au fil des minutes passées ensemble. »
En quittant son appartement, elle n’avait qu’une envie : revoir au plus vite cette femme qui avait révélé en elle une zone cachée, mais extrêmement jouissive, de sa sexualité.
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