Sodomisée par le boss

La rédaction 25 janvier 2019

Lulu, 26 ans, femme au foyer, Dordogne.

J’ai 26 ans, je m’appelle Lulu, je suis mariée et j’ai trois enfants. Bonjour à tous les lecteurs et lectrices d’Union.

Cette histoire, je l’ai vécue avec l’homme qui est devenu mon mari, je l’appellerai simplement A. Avant que nous ne fondions notre petite famille, je me conduisais très différemment… En termes quelque peu fleuris, on pourrait peut-être même employer le terme de « fille de joie ». À l’époque, je n’avais que 19 ans. J’avais difficilement obtenu mes diplômes et, dans la naïveté de ma jeunesse, j’étais toute surprise que A. me trouve assez de qualités pour m’embaucher. Je suis vite devenue la préférée du boss et j’en étais plutôt fière. Mais, je ne m’en doutais pas le moins du monde, ce bel homme m’appréciait aussi pour des qualités qui n’avaient rien à voir avec mes diplômes…

Mes collègues, dans la cinquantaine, ont jugé bon de me prévenir et nous en avons discuté entre filles : « Tu sais, à chercher le mouton à cinq pattes, on finit par ne trouver personne et A. est un beau parti, mais il faut aussi faire attention à toi… Tu as une belle carrière ici ! » Elles m’embrouillaient l’esprit et je sentais qu’elles étaient un peu jalouses de ma jeunesse, des faveurs de A. et surtout de mon cul insolent qui tortillait quand je me rendais dans le bureau du boss, ce qui arrivait de plus en plus fréquemment. C’est le moment qu’il a choisi pour m’appeler à le rejoindre et fermer la porte derrière moi. Je ne me suis pas fait prier. Mais bientôt, je n’ai plus fait ma maligne… L’heure de vérité était venue ! II tapotait tranquillement l’accoudoir de son fauteuil. « Approche. » Son ton ne souffrait pas la contradiction. Je me suis donc approchée en silence. J’avais peur, mais j’avais envie de lui en même temps.

Il m’a demandé de me mettre à genoux devant lui. Je me sentais comme la dernière des marie-couche-toi-là, et le pire, c’est que ça me plaisait ! Il a ouvert sa braguette et a sorti son gros machin. Ça gonflait déjà… Il m’a simplement informée que maintenant, ça ferait partie de mon travail quotidien. Il a souri, j’ai souri. J’ai tendu la langue vers son beau fruit de la passion. Je l’ai léché, pris en main, j’ai joué avec. J’ai passé ma langue sur ses grosses couilles en le branlant. J’étais très émue, pourtant je savais exactement quoi faire. C’était magique. J’avais conscience d’être une jeune proie facile, c’était très excitant et puis, j’étais du côté du manche où on ne discute pas ! Je l’ai avalé pendant qu’il soupirait très fort. Il m’a complimentée. À partir de ce moment, j’ai passé plus de temps sous son bureau que dans l’open-space…

Un jour, il s’est montré plus entreprenant et il a voulu passer une main sur ma hanche, puis sous ma jupe. Il s’est mis à caresser ma chatte à travers ma petite culotte. C’était très doux. Je n’étais certes plus vierge depuis bien longtemps, alors je me suis laissé aller tranquillement. J’en avais envie. Je suis montée sur son bureau et je me suis allongée sur le dos. Il a retiré cette petite culotte trempée de ma mouille de jeune fille presque innocente. J’ai accueilli sa queue comme un trésor sacré et brûlant. Ma petite chatoune a bien failli exploser. Il s’est défoulé la teub, tout en triturant mes petits nichons de jeunette nubile. Tous les dossiers ont fini par terre et j’ai joui en me mordant les lèvres pour retenir mes cris. Il a fini son oeuvre dans ma bouche. J’ai avalé, comme une fille obéissante. C’était complètement fou, très cliché et super bon. Je me suis relevée pour me rhabiller. A. m’a mis une bonne claque sur la fesse gauche et en rigolant, il a juste conclu d’un « allez, au travail salope. » J’étais sa chose.

Une autre fois, il m’a demandé de venir dans son bureau et il m’a déclaré comme ça : « Aujourd’hui, petite truie, je t’encule. Mets-toi à l’aise. » Je me suis appuyée sur le burlingue, la croupe en arrière, j’ai fermé les yeux. Il a soulevé ma robe et arraché mon string d’un coup sec. Il a léché ma minette et ma rondelle toute tendre et encore vierge. Mes jambes tremblaient de bonheur sous ses coups de langue. Une vraie guimauve. Et là, j’ai eu comme une décharge d’adrénaline quand j’ai senti la pointe de sa grosse queue épaisse appuyer sur ma pastille… Toc toc, qui est là ? J’avais très peur maintenant, je savais bien qu’il allait me démolir l’arrière-cour sans aucune retenue. Il est entré centimètre par centimètre, je croyais que ça n’allait jamais s’arrêter, j’étais remplie, mais ça entrait encore ! Mon petit trou a complètement abandonné et je me suis ouverte. C’est devenu bon. Très bon même. Il a pris de la vitesse et de l’amplitude. J’en prenais plein le merdier. Je me sentais très souple du fondement. A. savait vraiment y faire.

Je me suis complètement livrée à lui. Il a saisi mes deux fesses avec ses mains puissantes et me les a écartées pour aller tout au fond. Un vrai carreleur, le salaud ! J’aimais beaucoup la sodomie, c’était très… différent, mais je me sentais une vraie femme maintenant. Lui, il prenait son pied à me bourrer la patchole, il me secouait dans tous les sens. J’avais l’impression d’être un gant de femme très doux et très serré, fourré par une main d’ouvrier. En fermant les yeux, je me suis concentrée sur ces sensations inédites. J’aimais son animalité éhontée, sa queue puissante, son souffle de bête. Il m’a tout craché dans le cul. Il se vidait en râlant, heureux, satisfait. Quel plaisir de savoir contenter un homme ! II a fait un bisou sur ma fesse. « T’es bonne. Allez hop, au boulot. » C’était tout… J’ai ramassé ma dignité et mon string déchiré. J’ai passé une main dans mes cheveux pour les remettre à plat et je suis sortie en titubant, le cul totalement démoli.

Étonnamment, après m’avoir bien enculée, il s’est mis à me faire la cour de façon très traditionnelle et romantique. Ça a très bien marché. Nous sommes tombés très amoureux l’un de l’autre et notre histoire est devenue quelque chose de solide, en dehors du boulot. Il m’a fait trois beaux enfants et j’ai quitté l’entreprise… Maintenant, c’est à la maison qu’il me sodomise !

(Photo à la une : Getty Images)

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