Voisines en chaleur, justement !
22 mai 2019Malik, 45 ans.
Suite à la publication de votre numéro spécial « Voisines en chaleur », j’ai une petite anecdote à vous faire partager. J’ai 45 ans, je suis divorcé depuis longtemps. Un couple de voisins — et amis — m’a récemment demandé de les aider pour quelques travaux dans leur appartement, un samedi matin. Je n’avais rien de prévu. Et comme j’adore le bricolage, j’ai dit oui.
Thomas et Aurélie étaient plutôt détendus, malgré la chaleur accablante. Je transpirais à grosses gouttes, et je n’étais pas le seul. Thomas avait le T-shirt trempé. Quant à Aurélie, dans son débardeur moulant blanc, on aurait dit qu’elle faisait un concours de T-shirts mouillés. La sueur collait le tissu contre sa poitrine gonflée. J’aime beaucoup Thomas, je ne voudrais pas lui manquer de respect, à lui ou à sa femme d’ailleurs, mais je dois dire qu’elle était sacrément bandante. J’essayais de la regarder le moins possible. Au bout de quatre heures environ, on avait fini ce qu’on avait à faire. Thomas a pris une douche très rapidement et est parti chercher sa fille chez sa mère, à une centaine de kilomètres de là. Il l’a un week-end sur deux. Aurélie, bavarde comme une pie, m’a proposé un thé glacé, et on est restés à papoter. Je me suis levé en disant que j’allais rentrer prendre une douche, mais elle m’a suggéré de la prendre chez elle. Pourquoi pas.
Quand je suis sorti de la douche, ruisselant, j’ai dû appeler pour qu’Aurélie m’apporte une serviette. Gêné, je lui ai tourné le dos quand elle est entrée. « Ne t’en fais pas Malik, je sais ce qu’est un homme. » Pendant que je me séchais, elle s’est déshabillée et, arguant qu’elle avait décidément trop chaud, elle est entrée dans la douche à son tour. Elle avait un corps magnifique. De gros seins très fermes, un ventre assez plat, et des hanches un peu larges mais très sensuelles. Son sexe était complètement épilé, elle avait juste un V dessiné sur la vulve, c’était surprenant mais je trouvais ça beau. L’eau dégringolait sur son corps, et elle se savonnait énergiquement tout en continuant son flot de paroles. Ma voisine m’a expliqué qu’elle n’était pas pudique.
Elle a même ajouté qu’étant adepte du naturisme, par ces températures, elle avait plutôt l’habitude de vivre à poil chez elle. Pour blaguer, je lui ai dit : « Eh bien on n’a qu’à rester nus. » Sauf qu’Aurélie a été très emballée par l’idée. On est retournés au salon en tenue d’Adam et Ève, et Aurélie est partie nous prendre deux sodas glacés. Ce cul, mon dieu, ce cul ! Pas spécialement musclé, mais soutenu par un bassin large, il avait une belle forme de poire. Elle s’est assise en face de moi, et j’ai eu du mal à avaler mon soda. J’avais la gorge nouée par l’émotion. J’essayais de dissimuler mon trouble mais rien n’y faisait, surtout qu’Aurélie avait une pose plutôt ambiguë. Ses jambes décroisées étaient légèrement écartées, assez pour que je discerne entre ses cuisses dorées l’entrée de sa caverne d’Ali Baba.
Le moulin à paroles fonctionnait toujours, sauf que je n’écoutais plus. Et ce que je craignais est arrivé, j’ai été pris d’une érection que je n’ai pas pu dissimuler longtemps. Ma cruelle voisine n’a pas sauvé les apparences. Elle a posé un regard inquisiteur sur mon bas-ventre et m’a glissé ironiquement : « Je vois que le naturisme te réussit… » Elle a ajouté, après une petite pause (moi, j’étais mortifié, je n’osais plus bouger ni parler) : « C’est un bel objet. On peut toucher ? »
Elle n’a pas attendu ma réponse, elle s’est assise à côté de moi et s’est mise à me caresser le bâton. Je me suis relaxé au fur et à mesure que sa main montait et redescendait sur mon pénis en équerre, exerçant une petite pression bienvenue, même si elle avait un peu de mal à refermer sa main autour de ma queue. Je l’ai observée en train de se pencher jusqu’à ce que son visage soit à hauteur de mon gland. La langue d’Aurélie est sortie de sa bouche et m’a enduit le noeud de salive. Je lâchais des gémissements qui prouvaient que j’appréciais son traitement. J’étais conquis. Ma voisine suce vraiment très bien. Je lui ai dit de se retourner à genoux, elle a obéi.
Son superbe corps avait la forme d’un violon. J’ai malaxé ses seins par-derrière, puis je suis passé sur ses fesses. Je les ai écartées, et mon nez est allé renifler sa raie musquée. Je lui ai lapé l’anus tout doucement. Elle gémissait, se tortillait, elle aimait ça. Mes doigts l’ont envahie de tous les côtés. Je lui ai mis l’index et le majeur dans le vagin, et le pouce de l’autre main dans son oeillet. Je l’ai masturbée plusieurs minutes jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un râle tonitruant. Sans retirer mon pouce de son cul, j’ai enfoncé ma tige gonflée à bloc dans sa caverne.
C’était très serré, elle ne devait pas être habituée à mon calibre. J’en avais des frissons partout. Je l’ai pénétrée violemment, les bruits que faisait mon sexe dans son intimité m’excitaient énormément. Aurélie s’est à nouveau étranglée dans la jouissance. J’ai ralenti le rythme pour qu’elle reprenne son souffle. Je suis sorti de sa grotte, mon pouce toujours dans son joli cul, j’ai regardé son vagin béant et trempé et j’ai donné quelques coups de langue pour la goûter. Ma voisine avait un goût de paradis. Je me suis enfoncé à nouveau en elle et, m’accrochant à son sein jusqu’à y laisser la trace de mes doigts, je suis reparti de plus belle et je l’ai pistonnée comme un enragé. Je suis sorti juste à temps pour arroser son dos et sa nuque de ma crème d’homme. Avant que mon jus ne soit sec, je l’ai étalé sur son dos en la massant, et Aurélie a voulu me lécher les mains. Je ne la pensais pas aussi « salope ». Je suis reparti avant que Thomas ne rentre, j’avais un peu honte de le recroiser.
Un soir, une semaine après environ, il est venu frapper à ma porte. Je lui ai offert une bière, je n’étais pas vraiment rassuré à vrai dire, même si je suis beaucoup plus musclé que lui. J’avais peur qu’il ne me force à me battre avec lui. En fait, il était très détendu et, avec un clin d’oeil, il m’a invité à dîner le samedi soir suivant. Je me demande ce que ces deux-là me réservent…
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Ma voisine est nympho
« Nadège ne m’a pas laissé le temps de réfléchir plus longtemps. Elle est venue m’enjamber directement sur le sofa, en remontant sa jupe au-dessus de ses cuisses. Je voyais alors apparaître sa petite culotte noire en dentelle et j’avais très envie de savoir ce qu’il y avait dessous. » Adrien.
Gros coup de pine pour ma voisine
« Katia a fini par enlever elle-même le string et j’ai découvert sa teuch bien rasée… et son clito géant. Ça m’a mis la trique encore plus fort. » Kevin.
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Badgirl
Hummm j’avoue, j’aime bien. Une suite ?
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Leon
J aime bcps vos histoires mais je me dis tout ses gens on de la chance rien ne m arrive jamais des choses comme sa alors que ss me plairais tellement surtout mon plus gd souhait rencontré des lesbiennes très cochonnes et m occuper d elles en même temps