Quand brico rime avec sodo

La rédaction 19 janvier 2017

Edgar, le beau voisin de Cynthia est venu lui prêter main forte pour un peu de bricolage dominical. Mais après le « montage » vient le temps du « démontage » où Edgar fera preuve d’une fougue rare afin de tester la résistance du canapé. Il y a des dimanches comme ça…

La voisine est bien jolie, mais évidemment, quand il s’agit de réparer un truc chez elle, comme elle n’a pas de bonhomme, c’est tout vu : elle vient sonner chez moi ! Pas que ça me dérange, remarquez. C’est juste que… c’est comme aller chez le concessionnaire pour aller rêver en regardant des voitures de luxe qui vous font de l’œil, mais sans acheter.

Elle est comme ça ma Cynthia : ultra-bandante, mais intouchable… Enfin, ça, c’est ce que je croyais !

L’autre jour, quand elle est venue chez moi pour que je l’aide avec son nouveau canapé, j’ai senti son regard qui me coulait tout le long de la mécanique. Elle souriait encore plus largement que d’habitude. Je me suis dit que c’était mon jour de chance… Elle a commencé à me parler de mes tatouages sur les bras et à me demander si j’en avais d’autres. Je lui ai dit que j’allais finir de monter son sofa et que je lui montrerais les autres après. Je mentais, je n’en avais pas sur le corps. Mais quand elle a simplement répondu : « Je préférerais que tu me montes moi d’abord. » Il n’était plus question d’hésiter.

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J’ai fixé les trois derniers éléments et je l’ai assise sur moi.

Ses petits tétons pointaient sous le t-shirt. J’ai léché pour les sentir darder. J’ai posé mes mains d’ouvriers sur son micro-cul. Elle roulait des hanches à la perfection. J’ai la tige en feu dans mon jean ! Elle s’en est aperçue, évidemment… Alors, elle a commencé à me déloquer le nœud, qui a jailli comme un diable hors de sa boîte.

Quelle pipeuse, mes amis ! Oh lala… On ne m’avait plus pompé aussi bien depuis au moins deux semaines ! Elle s’y prenait comme une pro. On pourrait penser que c’était un peu artificiel, mais non, en fait, c’était encore plus chaud. Elle cambrait son petit cul de bonnasse en faisant tourner sa tête et sa langue tout autour de mon gland. C’était la perfection même, cette fille ! J’adorais son odeur de chatte en chaleur. Elle me foutait tellement le feu que je devais déjà me retenir pour ne pas éjaculer… Je me suis relevé pour reprendre le contrôle de mes émotions.

Mais aussitôt, elle m’a repompé de plus belle ! Gorge profonde de huit sur l’échelle de Richter et bien entendu, avec les petits sons bien salaces en option de série, mais oui monsieur !

L’ambiance était quelque part entre la fête foraine aux petites heures de la nuit et le paradis, avec les oiseaux qui chantent et les filles nubiles qui vous apportent à boire. J’étais comme un dingue. Je me laissais
câliner par ma petite voisine sans aucun scrupule. Elle devait vraiment être contente que je sois venu pour son canapé, elle mettait tellement de cœur à l’ouvrage, c’était émouvant à voir… Mais après tout, chacun sa spécialité ! Moi je montais des canapés, elle, taillait des pipes comme une reine… Et elle avait un boule de princesse ! J’avais tellement envie de lui casser la raie putain !

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J’ai senti une vague de foutre remonter le long de mes couilles. J’ai retenu sa tête alors qu’elle était en train de m’avaler profond. « Attends, je vais te baiser. » Là, elle me regarde, genre choquée : « Tu ne vas pas me baiser, Edgar… »

Je me suis rendu compte que j’avais peut-être mal parlé, mais elle a ajouté : « Tu vas m’enculer et à fond même. Je veux que tu me sodomises très fort, je veux que tu ailles tout au bout de mon couloir, que tu retournes les meubles dans mon corridor et que tu me restitues les lieux complètement saccagés. Tu ne quitteras pas cette pièce avant ça, c’est hors de question. Ok ? »

Bon ben, au moins, elle savait ce qu’elle voulait la voisine !

J’ai commencé à lui travailler le cul. Je l’ai bien doigtée de partout en lui écartant ses petites brioches dorées. Elle en crevait vraiment d’envie, c’était ouf. Je n’avais jamais vu un truc pareil : un corps d’avion de chasse avec un tempérament de fille de cinéma.

Plus je lui triturais l’oignon, plus elle se cambrait, la petite chatte. Elle mouillait sévèrement, c’était beau. Elle poussait des feulements de libertine aguerrie. Quel chantier ! Je commençais à avoir une sacrée fringale pour son cul rebondi. J’allais la faire couiner la sirène ! J’ai tiré sur ses lèvres intimes. Elle a adoré. Elle était prête.

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Alors j’ai pointé mon gros dard sur sa petite rondelle rose de princesse. Et j’ai poussé, sans me presser.

Tout son 36 plis y est passé. Je voulais prendre mon temps et bien lui faire sentir ma grosse largeur. Aussitôt, elle a senti que ce n’était plus pour jouer. Les choses sérieuses commençaient enfin. Sa voix qui était jusqu’à présent un peu féline, mais encore dans le jeu, est tout à coup
devenue animale.

C’était plus rauque. Elle était surprise. Ça allait être sauvage.

Pas question de tricher : elle voulait du lourd, j’allais lui en donner ! Je l’ai vraiment enculée à l’ancienne. Je lui ai défoncé le cul.

C’était opération chou-fleur. Son couloir était assez étroit finalement. Elle était obligée de se tirer les fesses pour me laisser passer. J’ai rapidement pris une cadence d’étalon. Son petit fion m’excitait tellement que j’aurais pu y passer toute la journée en fait. Mon envie de jouir était repartie au loin et je prenais un grand plaisir à la faire gueuler dans son propre appartement.

Elle en prenait pour son grade. J’alternais les positions, mais je restais tout le temps dans son cul pour qu’il reste bien déformé par mon gros chibre d’ouvrier. Ah la petite bourgeoise ! C’était un peu comme une lutte syndicale, mais en rabattant les cartes… Et c’était un peu plus sympa aussi !

Mes allers-retours étaient toujours plus puissants et profonds. J’allais vite vite vite ! Ça coulissait bien là-dedans. Mes couilles claquaient de plus en plus fort sur sa minette. J’étais une vraie machine. Elle m’en demandait encore plus, la coquine !

Elle s’égosillait : « Défonce-moi le cul, petit salaud, vas-y, cambriole-moi tout, encule-moi, encule-moi, je veux que tu me troues vraiment la paillasse, sois pas molasson comme ça ! Trouillotte-moi bien, bordel de queue ! »

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Elle avait les arguments qui savaient me convaincre et le langage cru a la particularité de m’exciter très fort. Donc je lui en ai mis pour son compte. J’ai tellement poussé que je crois avoir touché quelque chose d’un peu honteux avec le bout de ma queue à un moment. Mais dans l’excitation du moment, j’avoue que je n’en avais rien à foutre.

J’avais presque peur de lui plier le bassin à force de l’enculer aussi durement. Mais en fait, elle encaissait bien la bougresse.

Je me suis mis en mode tourneur-fraiseur. Je lui ai laminé le conduit à grands coups de reins, de la maçonnerie presque ! De la boucherie en tout cas…

« Et là, je t’encule assez fort Cynthia ? ».

Mais elle n’arrivait déjà plus à articuler de vrais mots. Elle a juste répondu « glaarabrouiaarglarp » ou un truc du genre. J’ai commencé à lui claquer sévèrement le cul pour la réveiller et ça a marché : elle s’est mise au-dessus de moi pour me chevaucher en amazone. L’enculer, mais avec un contrôle total. J’aimais bien l’idée ! Cette position me permettait aussi de jouir du charmant panorama de ses toutounes d’amour, très mignonnes.

Elle faisait frotter son clito sur mon pubis et cela la faisait décoller à vue d’œil. Elle montait haut vers le ciel. Sa gamme de petits « oh » et de petits « ah » est passée dans les aigus, puis dans les suraigus ! Une vraie chanteuse, maintenant ma bourgeoise. Elle couinait comme un oiseau de rêve. Ça pépiait comme au paradis. Alors j’ai saisi fermement mon petit cuicui par les hanches et je l’ai enculé le plus fort possible.

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J’ai senti tout son corps se tendre comme une arbalète. Allait-elle s’évanouir ? Eh bien non, elle a seulement joui du cul et du clito simultanément. C’était extrêmement puissant, sublime à voir toute cette intensité, une vague de beauté dans un monde si moche.

Si je n’avais pas été en train de l’enculer, j’aurais presque eu la la larme à l’œil tiens. Mais j’étais tout à mon affaire. En pleine sodomie des familles. Un vrai truc de gars pas sage. Je lui brigandais l’anus, je lui piratais la petite arrière-cour. J’étais là pour saccager et tout retourner.

Ma dernière cavalcade a été tout à fait dans cet esprit. J’ai fait mon Zorro, je maniais ma queue comme un fouet vengeur pour rétablir l’ordre dans l’univers. Je devais mener ma mission à bien et réellement lui fendre le cul. J’ai tout donné dans les 100 derniers mètres.

Elle s’est cambrée sur moi et s’est cramponnée à mes épaules. C’était sportif, on était à bout de souffle et en sueur. Ça sentait la bête dans l’appartement. Il allait falloir qu’elle allume des bougies parfumées de « richarde » après ça ! Mon engin était en feu, je ne le sentais presque plus, je ne faisais plus qu’un avec son fondement. On bougeait en cadence.

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J’ai senti que le jus montait. Ça me faisait comme des étoiles dans tout le bassin, dans tout le ventre, je n’avais jamais ressenti un truc pareil, j’avais l’impression d’être une gonzesse. J’ai dit « attends » Et je me suis retiré.

Je me suis mis debout derrière elle et j’ai demandé de tendre son œillet vers moi, « je vais te repeindre ma salope. Tu vas l’avoir ton foutre d’ouvrier, je vais te tartiner. »

Son petit cul béant me foutait en vrac, c’était magnifique. J’ai commencé à cracher. Un vrai geyser putain ! Des hectolitres sont sortis. Ça lui zébrait son petit boule de princesse d’un bout à l’autre. Je me suis entièrement vidé, mais j’ai surtout visé son trou-trou mignon, c’était là que je voulais tout mettre.

Elle était contente de se faire un plan porno, elle m’encourageait avec sa voix féline. On était heureux d’avoir fait un truc aussi beau !

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