Belle-maman serre les dents !

La rédaction 21 mai 2019

Eric, 32 ans, Paris.

Belle-maman sert les dents !

Je m’appelle Eric, j’ai 32 ans et je suis marié depuis quatre ans à une femme superbe, Sophie. Elle est brune, elle a des jambes de rêve et une poitrine vraiment jolie. L’histoire qui va suivre s’est déroulée au cours de l’été dernier. Nous étions en vacances chez sa mère et un jour, nous sommes allés à la plage tous les trois. Le soleil tapait fort. Les femmes « faisaient seins nus ».

Dès mon retour à la maison, je suis parti prendre une bonne douche. Sophie est venue dans la salle de bain pour me prévenir qu’elle s’absenterait pendant une heure pour faire des courses. J’avais oublié mes vêtements dans la chambre à l’étage et je n’avais pas eu la présence d’esprit de demander à ma femme de me les apporter. Une fois ma douche terminée, il a fallu que je monte les escaliers quatre à quatre et que je longe un couloir, et ce, tout nu. J’étais persuadé d’être seul quand, tout à coup, ma belle-mère est sortie d’une chambre à l’étage. Elle portait une petite robe légère et venait aussi de prendre sa douche dans l’autre salle d’eau. Je n’ai même pas eu le réflexe de cacher mon sexe. Elle avait déjà tout vu et, à dire vrai, ça ne me gênait pas vraiment de me trouver face à elle dans cette tenue. « Elle en a de la chance, ma fille ! », a-t-elle commenté en souriant. Elle dévorait ma queue des yeux.

C’est con, mais ça m’a filé la gaule. Elle s’est approchée et immobilisée devant moi. Elle m’a bien examiné sous toutes les coutures et a réitéré son charmant compliment. Mais cette fois, elle a joint le geste à la parole et a posé la main sur mon pénis qui semblait n’attendre que ça, au garde-à-vous. Je ne bougeais pas, je ne tentais rien pour l’arrêter. Qui ne dit mot consent… Elle s’est mise à genoux et m’a sucé comme une déesse. Je la voyais faire disparaître mon membre gonflé à bloc dans sa bouche chaude. Je reluquais ses seins dans le large décolleté de sa robe. J’ai posé les mains sur ses cheveux pour imprimer le rythme de la fellation comme j’en avais envie. C’était délicieux. Ensuite, je l’ai relevée pour faire glisser sa robe. Elle ne portait qu’un string en dessous. Je l’ai allongée sur le lit de la chambre et j’ai retiré le petit sous-vêtement. J’ai plongé la langue entre ses cuisses. Elle haletait, elle gémissait… Je suis remonté vers son visage et je l’ai embrassée pendant que ma queue entrait en elle. Son corps brûlant, douillet, était là, sous moi, offert. Je lui ai fait l’amour avec tendresse, dans le lit. Plus son plaisir montait, plus ses jambes s’enserraient autour des miennes.

Son souffle était de plus en plus saccadé, elle était excitée. Nos corps glissaient l’un contre l’autre. Je sentais l’air frais venir de la fenêtre sur nos peaux mouillées. Elle a crié des « Oh oui ! Oh oui ! » lorsque sa jouissance a explosé. Cet instant de grâce m’a fait chavirer et, quelques va-et-vient plus tard, j’ai moi-même succombé à la chaleur de son sexe. Bien calé au plus profond d’elle, j’ai balancé toute ma sève dans la chatte de ma belle-mère en hurlant, comme une libération. Je venais de lui faire l’amour comme je faisais l’amour à sa fille. Je me suis retiré d’elle et j’ai essuyé mon foutre avec son string pour lui laisser un petit souvenir. Puis, je me suis ravisé et je lui ai demandé si je pouvais le garder. Elle a eu l’air touché et a accepté. Elle a passé le reste de la soirée simplement vêtue de sa robe, sans culotte. Nous sommes convenus de ne rien dire à Sophie.

Depuis ce jour, il ne s’est plus rien passé entre nous, mais le souvenir d’avoir fait jouir la mère de ma femme reste très présent en moi. Parfois, je me surprends même à me demander si s’être tapé son gendre lui a plu à elle aussi. Je l’espère en tout cas.

(Image à la une : Getty Images)

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