Ma première sodomie
26 avril 2020Nora, 20 ans.
Bonjour interstron.ru, je m’appelle Nora, et je vais vous raconter une histoire que j’ai vécue la semaine passée. J’ai toujours été passionnée par les fesses, mais je n’ai jamais pu accomplir mon fantasme : me faire prendre par derrière, sentir le sexe de quelqu’un coulisser dans mon fondement et m’abandonner complètement à cette personne. J’y pense souvent, et il m’arrive parfois dans mes moments d’intimité de diriger lentement les caresses vers mon anus. Le simple fait d’y penser me donne des frissons, et je procède alors très lentement, glissant tout d’abord une main dans ma culotte, à la rencontre de ma vulve humide que je caresse pendant de longues secondes, laissant glisser mes doigts sur mon bouton gonflé par le désir. Puis l’autre main, jusqu’alors occupée à malaxer mes petits seins bien ronds, prend le relais, pendant que mes doigts lubrifiés s’approchent de ma rosette. Ces caresses combinées me font toujours jouir avec une force exceptionnelle, me laissant repue, et j’apprécie beaucoup me goûter, après ces séances de caresses intimes.
J’aimerais beaucoup trouver une personne qui partage ce goût pour l’anus. La semaine dernière, lors d’un événement déguisé avec des amis, j’ai donc tout naturellement opté pour une blouse de proctologue assez sexy, laissant ouverts quelques boutons pour donner aux autres une vue plongeante sur mon décolleté. J’avais également avec moi tout le nécessaire lié à la profession : des gants en latex et du lubrifiant. La soirée avançait, et l’alcool aidant, les esprits se faisaient plus libres. Nous étions regroupés dans un parc de Grenoble, et je m’amusais, dans mon discours, à me faire passer pour une véritable proctologue. À un moment, mon ami Vincent m’a proposée de joindre les gestes à la parole, et j’ai alors enfilé un gant en latex, avant de commencer ma tournée des touchers rectaux.
Au début, je n’osais pas vraiment, mais Vincent se faisait insistant, et je sentais à son regard coquin et à la bosse qui déformait son pantalon que le bougre était au moins aussi excité que moi à cette idée. Je me suis alors approchée de Jules, avec un mélange de timidité et d’excitation.
Je suis arrivée dans son dos ; il était occupé à se servir un verre, j’ai alors attendu quelques secondes, la bouche ouverte, mais aucun mot n’arrivait à sortir de ma bouche. J’ai alors attrapé sa ceinture et lui ai susurré à l’oreille : « Ça te dirait un petit toucher rectal ? » Le salaud n’a pas pris le temps de me répondre qu’il s’était déjà mis nu, m’offrant toute entière son étoile plissée. J’avais toujours rêvé de faire partager les sensations que je ressentais lors de mes caresses avec d’autres, et face au fait accompli je n’ai pas hésité une seconde : j’ai enfoncé mon index au fond de lui. Il s’est alors redressé net : j’avais oublié le lubrifiant.
J’ai voulu m’excuser, mais quand j’ai vu son visage écarlate, je me suis contentée d’enduire ma main de lubrifiant avant de recommencer mon toucher rectal. Je faisais coulisser mon doigt depuis presque une dizaine de secondes, sentant son anus comprimer mon index, ressentant chacune des caresses que je lui prodiguais quand il s’est tourné vers moi pour me dire : « Cela ne serait pas plus efficace avec un deuxième doigt ? » J’ai alors plongé mon majeur, augmentant la cadence. Il effectuait des mouvements de bassin pour accompagner mes caresses. Son jeu se faisait irrégulier, puis il s’est arc-bouté et a déposé son verre. Je voyais l’ombre de son sexe, qu’il masturbait allègrement, devant une vingtaine d’autres fanfarons à la fois surpris et terriblement excités devant cette situation peu orthodoxe. De mon côté, je n’en pouvais plus, seconde après seconde, je sentais ma culotte s’humidifier un peu plus. J’avais une telle envie qu’on me rende la pareille… Ce petit manège a encore duré presque une minute, avant que l’envie de me masturber se fasse trop forte. J’ai alors retiré mes doigts, ai bafouillé un « Euh… tout est en règle merci » et je suis partie chercher un endroit à l’abri des regards indiscrets, laissant Jules sur sa faim.
Je me suis allongée sur le banc le plus proche après m’être dénudée totalement, et ne prenant pas la peine de retirer mes gants ayant caressé le fondement de mon camarade, j’ai commencé à me masturber frénétiquement. La sensation du latex était étrange, froide et plastique, mais également terriblement excitante quand on sait où il était allé quelques minutes auparavant. C’est alors que j’ai entendu du bruit dans un buisson aux alentours : c’était Vincent. Il me regardait, confus, et un silence s’est installé. Voyant qu’il était bien plus gêné que moi, je me suis rassise et lui ai dit « Toi aussi tu voulais profiter de mes talents ? » Il n’a pas répondu, s’est approché et m’a embrassée à pleine bouche. Sa main gauche a agrippé un de mes seins, fermement, et sa main droite a remonté le long de ma cuisse. Il s’est arrêté furtivement sur mon sexe, et à ma grande surprise, m’a retournée pour me placer à quatre pattes, avant de poser sa bouche sur ma rosette. C’était chaud, c’était bon. Je ne sais pas combien de temps je suis restée là, haletante, des perles de cyprine coulant d’entre mes cuisses pour venir maculer le banc, sentant le souffle de Vincent qui dégustait allègrement mon trou. J’ajoutais rapidement à ses caresses buccales celles de mes propres mains, maintenant débarrassées du latex, et je n’ai pas tardé à jouir. L’orgasme m’a frappée avec une puissance sans pareil. Je me suis mise à trembler de tout mon corps, puis, impuissante devant cette vague de plaisir, je me suis alors écroulée dans un râle sur ce banc. Mais Vincent ne me laissa pas de répit. Il chercha rapidement dans ma blouse laissée au sol le flacon de lubrifiant, donc il enduisit tant son sexe que mon anus (bien que cette dernière précaution était à mon sens bien inutile), avant d’entrer tout entier en moi. Son sexe, d’une taille tout à fait respectable, semblait tout à coup énorme au fond de moi. C’était tellement bon ! Je perdais tous mes moyens. Je n’étais plus moi-même, j’étais animale. Une bête sauvage ne recherchant qu’une seule chose : le plaisir. Nos corps allaient à l’unisson, et Vincent, dans un puissant orgasme, ne tarda pas à décharger à l’intérieur de mon cul, pour mon plus
grand plaisir.
Quand nous sommes revenus vers les autres, j’étais nue sous ma blouse. Je n’ai pas pris la peine de me nettoyer, et sentir le foutre chaud de Vincent au fond de mon fondement m’électrisait à chacun de mes pas. Jules m’échangea un regard complice, et il m’expliqua plus tard qu’il était venu nous observer Vincent et moi, et que le spectacle lui avait semblé des plus délectables. Je suis heureuse de voir que je ne suis pas la seule à aimer me donner du plaisir par les fesses, et que ce sujet est peut-être moins tabou que je ne le croyais. En tout cas, j’ai vraiment pris mon pied !
Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…
« Ensuite, il m’a installée comme pour une levrette, mais j’ai senti son gland appuyer contre mon petit trou. Je lui ai dit tout net : « Non, pas ça. N’insiste pas. » ll ne m’a pas écoutée. Il m’a dit qu’avec le cul que j’avais, c’était bien dommage que je m’y soustraie. Je me suis mise à contorsionner les fesses pour qu’il me laisse tranquille, mais mon anus, lui, s’ouvrait à lui. Quand j’ai compris que ça allait arriver » Marie-Clémence, 25 ans.
« Mon chéri me mangeait littéralement les fesses et je branlais sa queue toute dure avec mes pieds. Je me sentais prête à enfin lui céder mon petit trou qu’il m’avait si souvent réclamé. Je me suis moi-même mise à quatre pattes et j’ai écarté au maximum mes fesses pour lui faciliter le passage. »Aurélie, 25 ans.